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Enregistrements furtifs
du Mois de Saint Joseph





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Lectures de la Messe de l'Aurore, Vendredi 1er mars
Si 6, 5-17 ; Psaume 118 (119), 12...35 ; Marc 10, 1-12

  Homélie de la Messe de l'Aurore
Une homélie pour discerner sur l'amour humain : y a-t-il une continuité entre l'amour sensible et l'amour sexuel (position freudienne athée) ? Dieu a créé l'être humain à Son Image et à Sa Ressemblance ; la Sponsalité ; la Nuptialité de l'Un c'est la loi de la différentiation sexuelle ; la virginité, le passage à la 5ème demeure de l'Oraison et la vie contemplative johannique sont nécessaires ; l'Immaculée Conception



Messe de l'Aurore, des lectures à l'action de grâce, Samedi 2 mars
Si 17, 1-15 ; Psaume 102 (103), 13-18 ; Marc 10, 13-16

Vêpres et début de la Messe du Soir

Lectures de la Messe du Soir
Si 17, 1-15 ; Psaume 102 (103), 13-18 ; Marc 10, 13-16

  Homélie de la Messe du Soir
Jésus se met en colère, c’est très rare : « Laissez les enfants venir à moi, ne les empêchez pas » (Marc 10, 13-16) ; « Il les embrassait et les bénissait en leur imposant les mains » ; « Dieu a posé son regard sur le cœur de l’homme » (Siracide 17, 1-15) ; le péché et ses conséquences sur la nature humaine toute entière ; naître au Monde Nouveau ; le catholique est responsable de l’humanité toute entière ; le Royaume de Dieu est immaculé ; les 14 ans de Chemin de Croix depuis le 8 mars 2005 ; il est nécessaire de vivre de la nouvelle Naissance, de se laisser saisir, assumer, embrasser, étreindre, transVerbérer, transformer par Dieu ; « Introibo ad Altare Dei » ; la première fois que le petit enfant reçoit la Présence réelle de l’Eucharistie ; l’Eucharistie



Tierce, psaume 90 et début de la Messe de l'Aurore, Dimanche 3 mars
Si 27, 4-7 ; Psaume 91 (92), 2-16 ; 1 Co 15, 54-58 ; Luc 6, 39-45

Lectures de la Messe du Soir,
Si 27, 4-7 ; Psaume 91 (92), 2-16 ; 1 Co 15, 54-58 ; Luc 6, 39-45

  Homélie de la Messe du Soir
Le Verbe de Dieu : lire la Bible au rythme que l’Eglise propose ; Saint Joseph est Palmier et Cèdre du Liban ; le grand Saint montre son fruit à la Fin, avec les deux Ailes du grand Aigle ; la vie humaine est un Parcours entre le premier homme et celui de la fin : le parcours assumant de la 5ème demeure ; grandir .. jusqu’à la Fin du monde ; l’Aveugle, la Paille et la Poutre : triple jugement ; le péché : ne pas pénétrer dans la Lumière intérieure et vivante de Dieu par la foi accomplie ; la formation de la Vie divine de Jésus dans la nature humaine entière ; la leçon : attache-toi à St Joseph enfant dans le parfum de la Sponsalité de l’Un jaillissant du fond de La Croix glorieuse et déposer dans les âmes humaines l’émanation des Fruits

Suite de la Messe du Soir, à partir du Credo



Lectures de la Messe de l'Aurore, Lundi 4 mars
Si 17, 24-29 ; Psaume 31 (32), 1...7 ; Marc 10, 17-27

  Homélie de la Messe de l'Aurore
Pour ceux qui se repentent, Dieu ouvre un Chemin pour le Retour (Siracide) ; les trois moments de la vie de l'être de repentir : la loi éternelle de cet appel intérieur de chaque jour à se repentir ; Pélagianisme et Illuminisme les deux extrêmes opposés à l'être de repentir. « En toute Justice (St Joseph), Grâce (L'Immaculée), Sainteté (Jésus vivant) tout au long de nos jours » est possible pour Dieu... Catéchisme : Tout le bien que nous faisons, c'est Dieu, c'est Jésus qui le fait ; tout le mal que nous faisons, c'est nous qui le faisons ... La pauvreté, l'Esprit de pauvreté, c'est ce qui te manque pour sortir à jamais du péché dès cette terre

Prière et début de la Messe du Soir
Si 17, 24-29 ; Psaume 31 (32), 1...7 ; Marc 10, 17-27

  Homélie de la Messe du Soir
Dès qu’Il le crée, Dieu pose son Regard sur le cœur de l’homme ; l’être humain est pauvre mais il est capable de se tourner vers Dieu, de recevoir Dieu, de se laisser emporter en Dieu, de Le remercier, de Le louer (Siracide 17, 24-29) ; le Juste détourne ses yeux de tout ce qui n’est pas tourné vers le face à face avec Dieu ; en toute Justice, Grâce et Sainteté ; il n’y a rien de plus pauvre qu’un être humain et il n’y a rien de plus grand que ce que Dieu donne à la pauvreté d’un être humain, puisque des deux Il fait un seul Etre, c’est Jésus ; le jeune homme riche disparaît (Marc 10, 17-27) ; Jésus regarde l’humanité dans son Fruit accompli, la pauvreté substantielle, aucun honneur, aucune gloire, aucune œuvre, aucune décoration, uniquement ce vol libre de celui qui est entièrement dépouillé et qui est tellement agile qu’un simple Souffle très délicat du Saint-Esprit l’attire, et comme il n’a rien et qu’il n’est rien, il s’envole ; l’humanité de la Fin c’est une humilité parfaite, la Jérusalem dernière c’est une vie qui s’écoule merveilleusement dans l’attraction vers l’Accomplissement des temps : c’est le seul moyen de répondre à la détresse du monde, à la mort instituée comme substance de toute chose dans l’univers et au pouvoir de la mort scandaleusement et orgueilleusement établie ; heureusement il y a Marie, il y a la Jérusalem dernière, il y a la Fécondité de la pauvreté établie à l’intérieur de la Richesse incréée de Dieu à l’état pur, les deux se mariant parfaitement pour engendrer en nous les jours de la Pénitence de la Fin ; nous n’appartenons pas à la nuit, à l’esprit de ce monde ni aux ténèbres, nous appartenons à la Jérusalem dernière, et pour ça il faut un miracle où Dieu intervient directement, c’est pour ça que c’est la Messe qui se prolonge à l’intérieur des Processions incréées de Dieu qui va réaliser cela ; être accueillant et recevoir tout de Dieu ; le Carême de Saint Joseph



Lectures de la Messe de l'Aurore, Mardi 5 mars
Si 35, 1-15 ; Psaume 49 (50), 4...23 ; Marc 10, 28-31

  Homélie de la Messe de l'Aurore
L'homme est fait pour Dieu ; dévoiler le dialogue avec notre Ange Gardien ; la relation à l'Autre, c'est l'Un ; l'espérance ; St Joseph ; les fiançailles spirituelles et l'Union parfaite du mariage spirituel ; l'humilité parfaite et la virginité parfaite : lorsque l'espérance accomplie et la lumière de la foi ultime s'entremêlent dans un désir ardent, la charité apparaît ; l'importance du Carême et de l'Oraison



Lectures de la Messe de l'Aurore, Mercredi des Cendres 6 mars
Joël 2, 6-12 ; Psaume 50 (51), 3...17 ; 2 Co 5, 20 - 6, 2 ; Matthieu 6, 1...18

  Homélie de la Messe de l'Aurore
Ave Maria in Hora mortis nostre : la persévérance finale, clé profonde du Carême ; pénitence ou impénitence finale ; c'est ce que le Père seul voit dans le secret qui compte ; passer de la ferveur de grâce actuelle (bordure du scandale) à la ferveur sainte (bordure de la seule bénédiction reçue et donnée inscrite dans la mémoire de Dieu) ; secret pour le Père : sceaux scellés de l'Apocalypse, pénitence de la Pentecôte de la Croix glorieuse ; mettre notre carême dans le dernier souffle inscrit dans la communication de la Lumière de gloire à l'ouverture du rideau du secret des sceaux, amour conjoint à la communication de cette lumière de gloire elle-même dans St Joseph notre père : le Grand Sabbat ; Carême 2019 au 333ème jour ... de la Dernière fécondité du Secret de la Paternité éternelle de Dieu : qui peut le voir ? Le poids en toi du corps spirituel venu d'en Haut, qui va faire éclater tous ses bourgeons en toi dans l'apocalypse dernière de ta persévérance finale, voilà la clé de tes actes de Carême ; le véritable temps de la fête des Tentes, du véritable Soukot du dernier Israël de Dieu, c'est sous et dans le voile de la Sainte Famille obombrant le secret de mon Carême ; les 7 Coupes : vivre miraculeusement la lecture de l'Apocalypse ... pour la dernière confession

Bénédiction et imposition des Cendres

  Les Cendres, Lectures et Homélie de la Messe du Soir
Nous appartenons à Dieu



Lectures de la Messe de l'Aurore, Jeudi 7 mars
Deutéronome 30, 15-20 ; Psaume 1, 1-6 ; Luc 9, 22-25

  Homélie de la Messe de l'Aurore
Méditation avec Ste Elisabeth de la Trinité ; la Thora : Bénédiction où Malédiction ; passer sur les douze pierres  et se laisser transplanter sur la Terre Promise ; le Corps entier du Christ ; mettre nos pas dans chacun de ses pas ; Carême et Sacrements ; je connais un prêtre qui a confessé à son évêque ses souillures plusieurs fois avant sa mort : l’Alpha et l’Omega sont semblables ; les deux réalisent les versets du Ps. 90 : obombration dans l’Immaculée Conception assumée ; l’intelligence n’est peut être pas la Clé de David, le sommet de la dignité divine de l’homme ; le dernier cheveu fait la différence entre la recherche excessive de la vie contemplative au détriment de la vie de l’Immaculée dans son mystère de compassion ; les larmes de Marie enfant sont-elles contemplatives ?

Lectures de la Messe du Soir
Deutéronome 30, 15-20 ; Psaume 1, 1-6 ; Luc 9, 22-25

  Homélie de la Messe du Soir
Pour rentrer dans le Carême



Lectures de la Messe de l'Aurore, Vendredi 8 mars
Isaïe 58, 1-9 ; Psaume 50 (51), 3-19 ; Matthieu 9, 14-15

  Homélie de la Messe de l'Aurore
Premier vendredi du Carême ; pourquoi ne jeûnent-ils pas ? Le véritable jeune des disciples c’est Jésus qui l’a fait dans la Maternité de Compassion de Marie ; revenir au réel : Dieu a assumé la Tardemah de l’époux de l’Immaculée Conception ; les noces de l’Epoux et le Carême 2019 ; la mémoire ontologique, condition de fond du Carême ; assumer et se laisser assumer : ce queDieu a fait dans la Sponsalité primordiale et assumée pour venir habiter dans le temps de la chair ; St JP II et la dernière Encyclique sur St Joseph ; les 10 Royaumes de la Femme aux Galates5,22 : la maîtrise de soi c’est la 10ème hiérarchie de Ste Hildegarde ; condition sine qua non du Carême des disciples de la Ste Famille : vivre spirituellement et dans le réalisme de la Memoria Dei, dans sa Présence qui nous révèle à nous-même ; dans ma mémoire ET dans ma com-memorisation ; l’Esprit Saint n’est pas une statue de sel ; 5 minutes de lecture des exercices spirituels : le germe d’éternité

L'Exercice proposé en fin d'homélie est sur la page Agapè Agapè
En audio : Agapè Etape 14 Exercice 3
En texte : Agapè Page 16 du pdf

Quinze secondes, d’abord, d’intelligence contemplative de mon innocence divine comme germe vivant et libre.
La Memoria Dei est un germe : je suis constitué intérieurement dans une puissance spirituelle, c’est-à-dire totale, comme un germe vivant et libre. Vous voyez ce que c’est qu’un germe ? Le gland est un germe, et après ça va faire un chêne extraordinaire. Mais d’abord c’est un gland. La liberté est un germe qui se répandra, qui va transformer son univers ambiant dans l’air, dans la terre, dans l’espace, dans le soleil. Germe intérieurement vivant, germe de liberté de vie. Quinze secondes. Trente secondes maintenant : je vais avoir une curiosité attentive, contemplative, de cette odeur de ma Memoria Dei, cette liberté primordiale vivante, et je vais la percevoir comme la Source du Temps de mon élan de liberté originelle toute consentante à la Lumière. Trente secondes pour laisser remonter, reprendre en main et m’installer dedans ce oui qui est germe, Source du Temps de mon élan de liberté originelle toute consentante à la Lumière. Nous n’avions pas de cerveau, donc ne cherchez pas à comprendre. Il n’y a pas de cerveau dans notre ADN. C’est une Présence réelle, c’est spirituel, c’est à la fois intérieur et extérieur. C’est l’intellect agent lié à ma liberté spirituelle qui prend possession de soi, et je l’aime, c’est-à-dire je m’identifie à elle dans l’au-delà de ce qu’elle est : Source de tous les instants de ma liberté originelle toute consentante à la Lumière. Qu’elle m’envahisse, qu’elle transforme mon psychisme en être spirituel, et mon corps psychique en corps ouvert à l’advenue du corps spirituel, et ma liberté subjective en liberté objective.



Lectures de la Messe de l'Aurore, Samedi 9 mars
Isaïe 58, 9-14 ; Psaume 85 (86), 1-6 ; Luc 5, 27-32

  Homélie de la Messe de l'Aurore
Texte du 2ème siècle sur la prière « primordiale », silence s’abrevant à une médiatrice ; le silence de Matthieu et le silence de la soif d’innocence ; après le germe : la pleine possession de soi ; relire A.C. Emmerich sur l’innocence avant la connaissance du Bien et du Mal : le germe d’immunité principielle préservé avant le péché originel ; janvier 1980 : révélation de la liberté du Don : la pleine possession de soi dans l’échange de l’accueil et du Don ; le Don et l’Un ; les trois hypostases du corps originel (prière primordiale) : la Grâce, l’Innocence divine, et l’Immunité principielle ; place en Adam à St Joseph pour expliquer que la force maîtrisée de la signification sponsale du corps originel fait l’incarnation de la pleine présence libre de soi-même dans le Don ; le Carême va chercher dans le corps spirituel la troisième interface de la plénitude du corps vivant originel ; recevoir ces torrents dans la coupe de Marie Assumée redonnée dans la Grâce rédemptrice ; cinq minutes pour retrouver cette pleine possession de soi : deuxième moment pour se retrouver soi-même dans ce que nous sommes en notre vie intérieure depuis l’Innocence toujours présente et assoiffée ; parallèle entre Matthieu et l’Innocence crucifiée des enfants pleinement accueillante de Jésus reçu comme Créateur et Fils de l’homme

L'Exercice proposé en fin d'homélie est sur la page Agapè Agapè
En audio : Agapè Etape 14 Exercice 3
En texte : Agapè Page 17 du pdf

Quinze seconde d’intelligence contemplative de mon innocence divine.
Comment la liberté dans l’ordre du don, notre intériorité, notre innocence divine s’est-elle exprimée ? Et comment cherche-t-elle à s’exprimer encore aujourd’hui, actuellement, à travers la reprise en main de notre corps originel aujourd’hui ? Le Catéchisme dit que la liberté divine, la Memoria Dei est une pleine possession de soi. C’est vrai que dès le départ j’ai pris pleinement possession de moi-même, de toutes les profondeurs de moi-même. J’ai pris pleinement possession de moi-même, pleinement possession de mon intellect agent, pleinement possession de mon cœur divin, pleinement possession de mon corps spirituel originel, pleinement possession de l’Un, pleinement possession de tout ce qui est profond en le Père Créateur de tout ce qui existe et pleinement possession de tout ce qui est Un dans ce qui est pleinement Un dans tout ce qui est profond en tout ce qui existe. J’ai pris pleinement possession de tout ça en même temps. J’ai vécu ça, je vis ça en congélation, et je revis ça en liberté d’adulte. Donc je m’engloutis dans cette pleine possession de moi pendant trente secondes. Je suis au centre de cette pleine possession de moi, c’est très très profond, c’est d’une immense profondeur. Il faut atteindre la pleine possession de l’Un en moi, de l’Un, ce qu’il y a de plus profond dans l’Acte créateur du Père en Lui-même et dans tout ce qui existe, ce qu’il y a de plus profond en eux. Pleine possession de l’Un, ce qu’il y a de plus profond dans ce qui existe dans le Père et dans moi ensemble. C’est là que je m’aperçois que la liberté du don est … liberté du don : j’accueille le don, je pénètre le don, je prends pleine possession du don, je dis oui. Bien sûr que j’ai dit oui, puisque tout ça s’est réalisé à partir de rien, d’un seul coup, ex nihilo. Admiration, réception, pénétration, possession, amen !



Lectures de la Messe de l'Aurore, Dimanche 10 mars
Deutéronome 26, 4-10 ; Psaume 90 (91) 1...15 ; Romains 10, 8-13 ; Luc 4, 1-13

Homélie de la Messe de l'Aurore, 1er dimanche de Carême
Jésus est confronté au diable ; l’inacceptable pour Jésus : le Pain, Marie... part préservée du Royaume, et l’unité du Père et du Fils dans la Lumière de gloire ; les trois tentations et les trois concupiscences ; Ro.10-10 le cœur et les lèvres ; la conversion du monde en un instant et la résurrection de Joseph ; satan roule pierre et retourne à la pierre ; ce qu’il y a de particulier à l’an 2019 : recevoir le Monde Nouveau ; Dostoievsky et le retour du diable pour l’heure de la dernière tentation ; les 2000 porcs ; jour où le Père ne peut pas rester seul : Jésus doit aller jusqu’au bout des deux lèvres de son Corps Mystique



Lectures de la Messe de l'Aurore, Lundi 11 mars
Lévites 19, 1...18 ; Psaume 18B (19), 8-15 ; Matthieu 25, 31-46

  Homélie de la Messe de l'Aurore, Lundi de la 1ère semaine de Carême, 11 mars
1er Jour de la neuvaine à St Joseph, de l’an 19 du 3ème Millénaire  ; laudes ce matin : exode 19 : mise en route avec ceci : je suis venu vers vous pour vous emporter sur les deux ailes du grand Aigle ; Je Suis Saint donc soyez Saint : être la jointure des deux ; principe de ce Carême ; le voir dans cette venue descendante et notre emportement libre ; la liberté appelle la puissance du très et tout petit pour un juste jugement ; l’évangile du dernier instant de la création : appel au jugement Unique ; étonnement devant la congélation de la charité catholique vis-à-vis de l’aide à apporter d’urgence aux tout-petits qui sont les frères de Jésus ; appel à l’Alliance et à la puissance d’alliance pour aider la famille des tout petits ; le troisième élément de la vie spirituelle de notre dignité : l’alliance : prendre 10 minutes ; être plus solidaire que le coq avec son poulailler ; germe, pleine possession et alliance sont liés à la responsabilité sponsale du corps primordial ; c’est le fond de notre existence

L'Exercice proposé en fin d'homélie est sur la page Agapè Agapè
En audio : Agapè Etape 14 Exercice 3
En texte : Agapè Page 18 du pdf

Troisièmement, la Memoria Dei, la liberté dans l’ordre du don, l’innocence divine originelle, c’est la racine, la base, le fondement de l’Alliance de toutes choses en l’homme avec le Créateur. C’est extraordinaire que je sois la racine, la base, le fondement de l’Alliance de toutes choses avec le Créateur. Je suis la base, le fondement, dans ma liberté. C’est une puissance spirituelle extraordinaire ! « Ah non, moi, je veux avancer dans la vie avec les oreilles, avec le sens du goût parce que j’aime bien manger, avec le sens du toucher parce que je veux quand même sentir le feu, mais pas avec les yeux, mettez-moi un bandeau. » Mais non, il faut vivre avec la liberté du don, il faut vivre avec la Memoria Dei. Base de l’Alliance. C’est une Alliance. Vous savez, les alliances qu’on met au doigt sont le signe de l’au-delà de l’unité des deux en Un. Alliance de toute la création avec le Créateur. Le signe de cette Alliance, c’est ma liberté spirituelle. Je rentre dans ce signe. D’ailleurs, Dieu a créé cette liberté dans mon corps. C’est un signe visible, c’est un signe palpable, c’est un signe vivant, c’est un signe incarné et spirituel que je suis dans ma mémoire ontologique, dans ma Memoria Dei, dans ma liberté intérieure spirituelle incarnée, et qui émane de l’alliance, du poids ontologique de l’unité de mon père et de ma mère. Il y a comme une connexion, c’est vrai, entre les deux. Eh bien dans ma liberté originelle, il y avait cette lucidité et cette conscience d’amour entre l’Alliance du Créateur avec la création toute entière – c’est ce que dit Jean-Paul II aussi dans son commentaire du Livre de la Genèse – et le poids ontologique de l’unité sponsale de mes parents en une seule Alliance qui fait mon identité de liberté. C’est de là que naît notre sens de la communauté, notre sens de la famille, notre sens de l’humanité, notre liberté dans l’humanité, notre liberté dans la famille, notre liberté dans l’au-delà de l’unité sponsale dans la communauté des deux. C’est de là que ça vient. Ce troisième est beau aussi, parce que nous sommes libres dans le Corps mystique d’une communauté universelle, spirituelle, amoureuse, d’Alliance divine. Donc je suis la base, je suis le fondement, je suis le signe. Je rentre au cœur de ce signe incarné, au centre, et c’est ma liberté, elle est comme ça. Alors je suis le point de rencontre en moi entre l’Alliance entre le Créateur et la création toute entière, l’au-delà de l’alliance sponsale parfaite de laquelle je suis issu. C’est le point de rencontre entre les deux qui me fait dire oui à ce que je suis comme ciment et instrument vivant et responsable de l’alliance familiale et universelle du monde.



Lectures de la Messe de l'Aurore, Mardi 12 mars
Isaïe 55, 10-11 ; Psaume 33 (34), 4...19 ; Matthieu 6, 7-15

  Homélie de la Messe de l'Aurore, Mardi de la 1ère semaine de Carême, 12 mars
Méditation de St Cyrille de Jérusalem ; les cinq pardons du Notre Père ; le carême n’est pas immobile : c’est le Pardon qui s’avance ; nuée devant gloire derrière, Jésus est obombration du Peuple de Dieu ; le souffle, le gémissement, le rugissement, l’avancée dans la prière : Abba ; notre Avva envahit toute l’Eglise et souffle sur les voiles ; l’Arche, le Mât, les Fleuves d’eau vive, le Saint des Saints ; les 7 demandes du Pater Noster sont la prière de notre Souffle primordial ; et celle du Soufle où Jésus se remet en Marie lui donnant son esprit : soupir, mort et pardon, destruction du Mal ; le Souffle fait revivre St Joseph aussitôt dans la vision béatifique ; le nouveau paradis ; 10 minutes pour ouvrir notre réceptivité divine à ce nouveau paradis : notre germe d’éternité demande la pleine possession de soi dans notre Oui aspirant la famille parfaite de toute la création ; la prière : recevoir le Don Parfait où le Mal n’existe plus jamais en rien

L'Exercice proposé en fin d'homélie est sur la page Agapè Agapè
En audio : Agapè Etape 14 Exercice 3
En texte : Agapè Page 18 du pdf

Mon quatrième élément de mon innocence divine à revivre comme le paradis intérieur où Il m’offre toute la création. Dans mon oui originel, je suis inscrit dans ce paradis. C’est extraordinaire, cette expérience du paradis. Nous avons eu l’expérience du paradis. Où est le paradis intérieur de notre oui originel ? Le paradis de notre oui originel est un paradis intérieur où Il m’offre toute la création. La terre de mon corps originel transfiguré était à l’intérieur dans le même état que la terre du paradis originel : même matière, même lumière, même intériorité de la matière et de ma terre. Et dans ce paradis intérieur, Dieu m’offre toute la création. Cette offrande de toute la création dans mon paradis intérieur, au centre de mon paradis intérieur, fait la substance de ma liberté originelle toujours actuelle. Dans le paradis originel, Dieu a fait rencontrer le rayonnement spirituel de la lumière avec la pureté immaculée de la matière dans l’intériorité de cette matière, en cette rencontre avec le rayonnement purement spirituel de la lumière, ça a provoqué l’existence de la matière spirituelle elle-même. Donc nous remontons dans le nid de ce quatrième élément constitutif de ma petitesse spirituelle : Quand je rentre au cœur de tout ça et que je suis dans cette puissance, je peux m’engloutir dans le nid de cette puissance de la liberté originelle, de mon oui originel. C’est le paradis incarné. Alors là il y a cette rencontre extraordinaire du rayonnement spirituel pur avec la forme spirituelle immaculée et pure de la matière. Et je peux redire oui à ça, parce que c’est ce que je suis. Je suis l’alliance entre la matière et l’esprit en disant ce oui. En disant ce oui je consolide, j’amplifie, j’intensifie l’alliance entre la matière et l’esprit, entre le rayonnement spirituel de Dieu et de l’homme et ce qu’il y a de plus pur et immaculé dans l’intériorité de la matière, dans les dispositions des motions divines de la matière. Je suis ce centre, je suis le cœur de la collision de la matière avec l’Esprit vivant de Dieu et avec l’esprit humain. Et je dis oui à ça, je reprends ça, je reprends possession de la nécessité de la Grâce pour donner toute sa force à ce oui-là.



Lectures de la Messe de l'Aurore, Mercredi 13 mars
Jonas 3, 1-10 ; Psaume 50 (51), 3...19 ; Luc 11, 29-32

  Homélie de la Messe de l'Aurore, Mercredi de la 1ère semaine de Carême, 13 mars
Du cœur brisé, Tu n’as point de mépris ; cœur brisé, cœur broyé, cœur déchiré, cœur transpercé ; impossible à vivre sans revenir au « fond du cœur » ; fulgurant : révélation du fond du cœur en Jésus à la Visitation ; le regard de St Joseph se pose sur le fond du cœur et vient de sa fécondité assumée avec Marie s’écoulant dans l’Eucharistie infaillible ; la tempête du bateau : on ne peut être jeté dans la Baleine qu’à partir du bateau en péril ; il y a aujourd’hui plus que Jonas ; l’amour du Père oblige à regarder en face la véritable Ninive ; y déposer le soupir du fond du cœur de l’homme ; prendre 10 minutes pour l’innocence toute puissante de notre réponse au regard posé sur nous par St Joseph dans notre Amour séparant mystiquement vivant en nous du Père ; fond du cœur : sans lequel il n’y a ni contemplation spirituelle ni affection spirituelle ; la vraie chasteté originale de notre état ; la sagesse millénaire d’Aristote n’est que rien et vide inversés sans cette sagesse humaine universelle qui est plus que Salomon ; la dernière sagesse purifie ; subsistance lucide dans la lumière et force libre ; en course oblique vers la transcendance ; il y a des passages du catéchisme qu’on doit apprendre par cœur : ceux qu’on a voulu interdire !

L'Exercice proposé en fin d'homélie est sur la page Agapè Agapè
En audio : Agapè Etape 14 Exercice 3
En texte : Agapè Page 20 du pdf

Le cinquième élément de notre Memoria Dei, pénitence pour le Carême 2019
Vivre mon fond de mon être reçu, vivre le fond primordial de mon cœur profond.
Un peu comme le Père engendre de l’intérieur le Verbe, la Lumière, et avec Lui, l’Amour, le Saint- Esprit, de même la liberté originelle qui est la nôtre engendre encore aujourd’hui, de l’intérieur, la lumière de l’intellect agent dans le même instant et la puissance d’amour spirituelle qui est la nôtre. Alors comme il y a les deux en même temps dans l’instant où il commence à exister, on pourrait appeler notre troisième puissance spirituelle humaine : cœur et conscience (lumière) d’amour. Fond de l’être, cœur profond, participation à la lumière et à la force de l’Esprit divin. Voilà le fond de mon être où se ressaisir, là où je participe à la lumière et à l’amour divin, là où je participe à travers l’émanation de l’amour immédiat qui est libre à cause de mon fond, et dans sa source. C’est le fond de mon être, là où je subsiste en étant libre, parce que la subsistance spirituelle est substantiellement libre. Si la subsistance n’est pas liberté, elle n’est pas une subsistance spirituelle. Notre credo métaphysique : nous sommes subsistance spirituelle qui se conjoint à la transcendance d’accomplissement de Dieu. C’est le fond de mon être, alors il y a lumière, amour, et là je subsiste. Vous voyez, c’est facile de dire : « Je reprends en main la maîtrise totale de cette subsistance spirituelle qui s’élargit dans l’accomplissement transcendental de Dieu, alors il y a lumière, amour ». Je subsiste, je reprends en main cette maîtrise de soi, je reprends pleinement possession de cette subsistance spirituelle, cette conscience d’amour. Sur le sac et sur la cendre ? Mais oui, tout dépouillé, le fond de mon être s’élargit librement dans l’unité avec l’accomplissement transcendental de Dieu. Trente secondes pour que l’acte de la parole juste me fasse faire l’acte de liberté spirituelle juste.



Lectures de la Messe de l'Aurore, Jeudi 14 mars
Esther 4,17... ; Psaume 137 (138), 1...8 ; Matthieu 7, 7-12

  Homélie de la Messe de l'Aurore, Jeudi de la 1ère semaine de Carême, 14 mars
Texte de Jean d'Elbée ; père et mère : Eglise et responsabilité ; Carême et solitude responsable ; signification sponsale de la solitude et adoration suppliante ; demandez vous recevrez ; jusqu’à la Paix de la confiance ; Esther ; prier pour l’autorité ; autorité et tyrannie sous la dépendance de l’enfant responsable ; c’est Dieu qui engendre la justice dans le cœur de l’autorité humaine : la prière écarte en eux la tentation de tyrannie ; la pierre et le poignard - le pain et le poisson sur la braise ; le sixième élément de notre force originelle et le 21 eme jour du mois : la croissance vivante unit le Nom de Dieu du Shin au Meym ; la maturité entend l’Appel du Shma

L'Exercice proposé en fin d'homélie est sur la page Agapè Agapè
En audio : Agapè Etape 14 Exercice 3
En texte : Agapè Page 20 du pdf

Le sixième élément : ma liberté originelle, ma Memoria Dei, mon innocence originelle, je la pénètre comme si je pénétrais dans mon ordination à Dieu dès la conception. Je pénètre au cœur de l’appel pressant à la vie éternelle. Cette liberté spirituelle, c’est un oui à l’appel pressant à la vie éternelle. Je dis un oui tonitruant, libre, à l’appel pressant à la vie éternelle. Très extraordinaire et très important, celui-là ! Mon innocence divine est un consentement, un oui à mon oui de consentement à l’appel pressant à la vie éternelle et un oui de prise de possession de mon corps spirituel inscrit dans le Livre de la Vie. Il y a une harmonie parfaite et libre que fait mon oui originel entre mon corps originel et mon corps spirituel, entre mon alpha dans la liberté originelle et mon oméga dans la liberté accomplie de mon corps spirituel, et les deux font ma liberté dans le don, le lien entre les deux. Et si je le fais ensuite dans la plénitude de la lumière et de l’amour, alors à ce moment-là le Règne du Sacré-Cœur peut s’établir. Et comme je le fais en même temps que le premier et que le deuxième, je peux le faire dans l’unité avec tous ceux qui ne le font pas. Vous verrez bien qu’une des plus belles choses de cet exercice-là, c’est de le faire une fois pour chacun, puis après de le refaire une fois pour chacun en connexion avec un autre de ces neuf. Alors là vous commencez à comprendre ce que c’est que la liberté, le oui, le shemem. Quinze secondes d’intelligence contemplative pour comprendre ma liberté spirituelle primordiale, ma Memoria Dei toujours présente si je l’actualise actuellement, dans la reprise en main de mon corps originel, comme une force de croissance et de maturation. C’est une très belle formule aussi du catéchisme. Je reprends en main, en pleine possession, la maîtrise totale de moi-même dans cette force de croissance et de maturation. Il y a des gens qui ne grandissent pas spirituellement, ils disent : « Ça y est, j’ai reçu la foi et je demeure dans la foi, je suis fidèle dans la foi, je persévère dans la foi ». Et la croissance dans la foi, s’il vous plaît ? La glaciation de la foi ou le flamboiement de la foi, ça dépend de ma liberté dans le don surnaturalisée dans le oui de l’Un de l’Eglise, de la Jérusalem glorieuse en lien avec la Jérusalem spirituelle dans l’Un de son identité et d’épouse du Christ. Donc c’est un oui où je me réveille tout le temps dans le oui pour grandir dans le oui. C’est pour ça que je vous dis qu’au départ ça n’a pas duré qu’une demi-seconde, à cause de celui-là, parce que c’est un oui libre, mais aussi un oui éveillé et grandissant, donc s’il a fini par s’endormir c’est vraiment petit à petit.



Lectures de la Messe de l'Aurore, Vendredi 15 mars
Ezéchiel 18, 21-28 ; Psaume 129 (130), 1-8 ; Matthieu 5, 20-26

  Homélie de la Messe de l'Aurore, Vendredi de la 1ère semaine de Carême, 15 mars
La justice du pharisien, celle de la gnose, n’est pas humaine ni digne ni profonde ; texte de JPaul II dans Justice et Paix : amour et unité manquent à la justice du conventionnel pour lui dénier le droit d’être une justice humaine ; laisser l’offrande, le cœur de l’autel, le fond du frère et la bénédiction ;l’océan de neige au soleil de l’avancée du jour 5 de la neuvaine : la goutte de sang sur la neige signe de la purification des profondeurs de la mémoire ; les deux occulistes et la force royale fraternelle ; 10 minutes pour un élément de la plus grande dignité immédiate : ouvrir les sources de lumière et d’amour comme une maman donnant la vie et la naissance pour prolonger l’émanation du papa ; le règne sur la créature spirituelle et sur la création toute entière

L'Exercice proposé en fin d'homélie est sur la page Agapè Agapè
En audio : Agapè Etape 14 Exercice 3
En texte : Agapè Page 21 du pdf

Le septième élément : la Memoria Dei, mon innocence divine, je la contemple, je pénètre comme un rayon laser à l’intérieur de sa substance, comme racine et matrice de ma raison contemplative et de ma volonté amoureuse. Voilà ce que dit le Catéchisme : la racine et la matrice de ma raison contemplative et de ma volonté amoureuse. La matrice, la mère, et puisqu’il y a le père, la Présence paternelle de Dieu, c’est sponsal, et c’est pour ça que ça fait naître en moi l’épanouissement de mon intellect agent, ma vie contemplative, et de ma volonté divine d’amour, ma volonté surnaturelle d’amour, ma volonté spirituelle d’amour, mon cœur divin, mon cœur spirituel et mon cœur surnaturel. C’est la racine, la matrice, le père, alors ça le fait vivre, ça le reconçoit sans arrêt. Et c’est là que je vois que le Verbe d’Amour est en train d’illuminer ma première venue à l’existence. Ce que dit saint Jean : « Le Verbe illumine tout homme à l’instant où il vient dans ce monde » (Jean 1, 9). Et c’est cette liberté qui est la matrice de mon intellect agent dans l’amour et c’est pour ça que le Verbe de Dieu est là et Il l’illumine. Et ce consentement à l’illumination du Verbe de Dieu à l’instant où je viens à l’existence demeure. C’est la pleine possession du Père, du Fils, du Saint-Esprit, de mon corps originel. C’est la pleine possession dans l’intime du centre du Père, c’est-à-dire de ma liberté originelle racine et matrice, fécondante conception de ma lumière, de mon verbe dans le corps, mon l’intelligence contemplative, et de mon amour dans le corps, mon cœur divin, alors le Verbe illumine ça. C’est évident qu’il y a quelque chose de très fort là. Je dis oui bien sûr à ça, je dis oui à l’amour, à ce qui est intérieur d’Amour et de Spiration active du Verbe de Dieu dans mon oui originel en ma lumière, en mon intellect agent et en mon amour personnel. Je dis oui à cette conjonction des deux. Après, quand cinquante ans après il faudra que je dise oui à Jésus, au bout d’un certain temps de transformation par la grâce sanctifiante, je vais reconnaître Celui à qui je dis oui. C’est ce que nous disons dans la prière eucharistique n°4 : « Père très saint, nous proclamons que Tu es grand et que Tu as créé toutes choses avec sagesse et par amour : Tu as créé l’homme à Ton image, et Tu lui as confié l’univers, afin qu’en Te servant, Toi son Créateur, il règne sur la création toute entière. » Mais voici qu’il a perdu son amour avec Toi : « Comme il avait perdu Ton amitié en se détournant de Toi, Tu ne l’as pas abandonné », alors nous retrouvons Jésus, les sacrements, la grâce surnaturelle, l’union transformante, pour retrouver ce dont nous nous sommes séparés. Le Verbe ne nous a pas abandonnés, le Père ne nous a pas abandonnés, et dans l’amour de charité de l’Eglise toute entière dans son accomplissement le Saint-Esprit nous fait rejoindre le Père et le Verbe de Dieu dans notre liberté originelle. Je dis oui à ces retrouvailles dans l’Esprit-Saint de la Procession de la Lumière et de l’Amour.



Lectures de la Messe de l'Aurore, Samedi 16 mars
Deutéronome 26, 16-19 ; Psaume 118 (119), 1...8 ; Matthieu 5, 43-48

  Homélie de la Messe de l'Aurore, Samedi de la 1ère semaine de Carême, 16 mars
Soyez parfaits : puisque votre Père est parfait ; Evangile et sermon pour répondre aux actes, fausses doctrines, et justifications de l’abominable : répondre et avertir ; le sordide des actes a trouvé sa racine dans le sordide d’une ideo-doctrine : St JPaul II a démasqué la métaphysique inversée des «  trois sagesses » et des «  trois éthiques » dans ses encycliques Splendor et aussi Fides et ratio qui furent une condamnation de la métaphysique inversée qui devait engendrer l’Abomination sur notre terre ; réponse à Samuel Rouvilois dans le perseverare-diabolicum-vidéo : « Il les créa homme et femme » ; la miséricorde n’est pas le carburant de l’Abominable ; aimer son prochain ne suffit pas ; la perfection du fond du cœur et de l’accomplissement du cœur, critère de sagesses des simples pour le chemin du cœur humain ; les sept miséricordes s’ordonnent ensemble : leur inversion est une formation au mensonge ; aimer son ennemi... ; prosélytisme et justification du pire sont les deux extrêmes ; tout doit être dit fait révélé et fécondé, mais avec le fond et à la fois le sommet et le fruit du cœur ; prendre 10 minutes pour y retrouver de quoi respirer mieux dans le germe de la pleine possession du fond du cœur avec les mots du catéchisme : je suis, neuf mois canant ma naissance le Diamant, le Tabernacle libre et lucide du Nom de Dieu, le continuum vivant du Saint des Saints

L'Exercice proposé en fin d'homélie est sur la page Agapè Agapè
En audio : Agapè Etape 14 Exercice 3
En texte : Agapè Page 22 du pdf

Le huitième élément : mon innocence divine, je la contemple, je la perçois, j’y pénètre : la Présence réelle conservée ou mémoire du Nom de Dieu. C’est pour ça qu’on dit Shemem. Tabernacle et mémoire vivante et lucide du Nom de Dieu, la présence réelle du Nom de Dieu. Je suis ce oui de ce premier instant qui demeure, en moi, comme l’émanation du premier instant toujours présent aujourd’hui : tabernacle de Dieu dans ce monde. Ma liberté ontologique, ma Memoria Dei, ma liberté dans l’ordre du don, ma mémoire ontologique, est le tabernacle de Dieu en ce monde, c’est le Saint des Saints de toute sacralité reçue. Mon corps originel est le tabernacle de ce Saint des Saints, de la Présence de Dieu dans ma présence, de ma présence dans la Présence de Dieu et dans l’unité totale des deux. Voilà ma liberté, c’est ça ma liberté. Redire oui à vivre ainsi librement comme Tabernacle du Saint des Saints.



Lectures de la Messe de l'Aurore, Dimanche 17 mars
Genèse 15, 5...18 ; Psaume 26 (27), 1-14 ; Philippiens 3, 17 à 4, 1 ; Luc 9, 28-36

  Homélie de la Messe de l'Aurore, Dimanche de la 2ème semaine de Carême, 17 mars
Carême : descendre de la perfection transfigurée à la fécondité de Pâques ; la nouvelle Obombration et la nouvelle torpeur-tardemah de la transformation demandée à l’Eglise ; la signification du songe d’Abram : torpeur, sommeil, animaux purs partages en deux, gloire, torche embrasée ; Abraham, Moïse, Elie ; piété, Jacques ...  Jean ; révélation sur Marie ; corédemptrice dans la Jérusalem nouvelle ; c’est la charte du dernier Carême ; l’exercice de ce deuxième dimanche : entrer et se laisser emporter dans le Monde Nouveau de ce mystère de Miséricorde véritable

Le texte du 4ème Mystère Lumineux, la Transfiguration de Notre-Seigneur Jésus-Christ,
présenté pendant l'homélie, est aussi sur : Cédule



Lectures de la Messe de l'Aurore, Lundi 18 mars
Daniel 9, 4-10 ; Psaume 78 (79), 5-13 ; Luc 16, 36-38

  Homélie de la Messe de l'Aurore, Lundi de la 2ème semaine de Carême, 18 mars
Miséricorde prévenante du Carême de St Joseph ; l’effort et la peine spécifique de ce Carême ; un travail de transformation par la foi qui rend JUSTE ; du tabernacle du Saint des Saints sans voile à la Coupe ; le mal existe il est consistant mais on ne le vit plus que précipité dans un point vide et minuscule attendant la résurrection du corps psychique pour le rejoindre ; la Jérusalem glorieuse l’a fait disparaître à nos yeux et aux yeux de Dieu ; 10 minutes pour le monde nouveau et incarné de cette descente du Thabor dans le fond de La Croix glorieuse : virginité incarnée réelle de la Pâques effective, de la Grâce bien incarnée et réelle du Corps spirituel de Jesus entier ; 10 minutes pour rassembler « philosophiquement » nos puissances spirituelles dans la Mémoire toujours disponible de l’Un

L'Exercice proposé en fin d'homélie est sur la page Agapè Agapè
En audio : Agapè Etape 14 Exercice 3
En texte : Agapè Page 23 du pdf

Unir ces huit touches délicates et les offrir dans une ouverture de quelques secondes au moins à l’accueil de cette innocence divine comme une plénitude reçue à jamais :
Rencontre en moi de l’Etre avec la Vie,
Rencontre en moi du visible et de l’invisible,
Rencontre en moi du Don avec la liberté du Don,
Rencontre en moi de mon Créateur en ma liberté créée,
Rencontre en moi du Cœur sacré de l’Amour unifié de la loi éternelle et de la loi naturelle,
Rencontre en moi de la Source vivante et de la personne que je suis dans
toutes les profondeurs dans ces neuf rayonnements comme une Source.

Dans un deuxième exercice, vous pouvez le faire en les prenant deux par deux. Puis après, quand vous aurez petit à petit l’habitude de la reprise en main de votre liberté, vous pourrez le faire en en prenant un, mais en le faisant tourner dans trois autres, par exemple. Petit à petit, ce sera très facile pour vous de conjoindre les neuf, alors vous aurez l’habitus, c’est-à-dire la vertu de la liberté primordiale, la qualité dont ma liberté primordiale a besoin pour s’exprimer dans la maîtrise de soi sous le souffle du Saint-Esprit.



Lectures de la Messe de l'Aurore, Mardi 19 mars, Solennité de SAINT JOSEPH
2Samuel 7, 4-16 ; Psaume 88, 2...29 ; Romains 4, 13-22 ; Matthieu 1, 16...24

  Homélie de la Messe de l'Aurore, Mardi de la 2ème semaine de Carême, 19 mars
Solennité de SAINT JOSEPH
Hymne du Temps présent ; donné en Sponsalité : desponsata ; dikaios ON : dans toute son existence ; les quatre et cinq actuations de la Tardemah sponsale de St Joseph ; le Carême : s’introduire dans son extase primordiale pour avoir sa FOI l’établissant par Grâce comme divinement JUSTE jusque dans son sommeil de dormition de 42 mois ; déployer son immunité en nous et son nid assoiffé de Parousie en notre oui : nous voici de sa dynastie ; le Jugement porte sur la Foi : sur St Joseph révélé sans voile en la Spiration dernière ; 10 minutes pour ouvrir en nous les portes de l’Accueil du Don d’aujourd’hui ; la première fois dans l’Histoire de l’Eglise que ces portes-là sont ouvertes par le St Père dans l’Eucharistie de l’Epousée ; chant du monde nouveau dans sa paternité royale engendrant notre chair nouvelle

La méditation est tirée d’après le deuxième mystère royal, en texte : 2ème Mystère Royal

  Homélie de la Messe du Soir, Mardi de la 2ème semaine de Carême, 19 mars
Solennité de SAINT JOSEPH
St Joseph et Jésus dans la Croix Glorieuse



Lectures de la Messe de l'Aurore, Mercredi 20 mars
Jérémie 18, 18-20 ; Psaume 30 (31), 5-16 ; Matthieu 20, 17-28

  Homélie de la Messe de l'Aurore, Mercredi de la 2ème semaine de Carême, 20 mars
Jérémie ; psaume 30 ; boire la Coupe : mystère de substitution ; premier jour pour la droite et la gauche avec St Joseph et la Mère Eucharistique ; marche mise en place par le St Père ; puissance dans le point le plus petit pour faire en eux le Bien qu’ils n’ont pas fait jusqu’à leur inscription dans le Livre de la Vie ; reprendre en Un les chemins de la gauche avec St Joseph : la rose, le diamant, le sang, l’huile, la poudre de nard, la rosée au Soleil, la vesprée ; l’essence et le feu pour revenir à ma mémoire ; 10 minutes pour cette lecture ; y faire chanter ce qu’elle entend de l’Ange dans l’Annonciation du Monde Nouveau

L'Exercice proposé en fin d'homélie est sur la page Agapè Agapè
En texte : Agapè Page 242-243 du pdf



Lectures de la Messe de l'Aurore, Jeudi 21 mars
Jérémie 17, 5-10 ; Psaume 1, 1...6 ; Luc 16, 19-31

  Homélie de la Messe de l'Aurore, Jeudi de la 2ème semaine de Carême, 21 mars
Le riche et le pauvre Lazare ; le buisson sec en terre aride desséchée et l’arbre verdoyant plongeant ses racines dans le courant ; se résumer pour le milieu du Carême ; les vieux n’entendent plus : les enfants comprendront ; dernier parce que différent : terminus : ? un nouveau départ ; du voyage dans notre conception ; les œufs de la poule ; les jumeaux et la vie intérieure de la conception ; Bernadette et le chant de lumière dans le métro ; ce qui change tout grâce au pape cette année ; redevenir la mère, le frère, le fils de la conception ; nous ne sommes plus repérables dans le Monde Nouveau



Lectures de la Messe de l'Aurore, Vendredi 22 mars
Genèse 37, 3...28 ; Psaume 104 (105), 4...21 ; Matthieu 21, 33...46

  Homélie de la Messe de l'Aurore, Vendredi de la 2ème semaine de Carême, 22 mars
La Prière de St Joseph : le Benedictus du matin qui appelle le Magnificat du soir ; « Soleil levant qui vient nous visiter » ; ce soleil est celui de la Source d’Amour de St Joseph ; découvrir, dévoiler, admirer, contempler et vivre de l’Amour embryonnaire de St Joseph ; sa visitation, son aspiration continuelle brûlante à rebondir dans un cœur spirituel en affinité avec son Amour originel ; le cœur d’Israël est collé à Joseph ; Joseph conditionne le Cœur ; en quoi le St Père donne le Signal de la Grâce de l’Amour séparant en St Joseph pour le Monde Nouveau

Vers la recherche du cœur spirituel, correspond au tableau page 31 du document Agapè Agapè 2010-2011
Retourner à la liberté originelle pour aspirer au cœur spirituel



Lectures de la Messe de l'Aurore, Samedi 23 mars
Michée 7, 14...20 ; Psaume 102 (103), 1...12 ; Luc 15, 1...32

  Homélie de la Messe de l'Aurore, Samedi de la 2ème semaine de Carême, 23 mars
Michée : qui est comme Toi, Dieu ? L’ange de St Joseph ; parabole : les deux Fils du Père ; le fils aîné a besoin de St Joseph pour entrer ; les miracles des trois éléments et la Tendresse du Père dans le corps spirituel ; catéchisme : cardinal Journet ; cédule 2 du Carême 2018 ; l’espérance dans le miracle des trois éléments, ingrédient essentiel pour visiter la tendresse du papa en lui ; texte de Mgr Henri B. ; prendre 10 minutes pour la Visitation du Monde Nouveau ; prier comme St Joseph : sans besoin de comprendre

Pour approfondir ou mieux comprendre, reprendre la Cédule 2 : Cédule 2

Deuxième Mystère Joyeux, La Visitation du Monde Nouveau
Saint Joseph fut donné à la terre pour montrer à Marie, et à nous aussi, le visage de Dieu le Père. Unité totale du visage de Dieu le Père et de la grâce du Juste, seule union capable d’accueillir l’Immaculée Conception et notre conception. Son époux incarne l’image, le visage et ô Image sensible de la vivante Fécondité du Père, la Présence du Père Eternel. La grâce coule du Père en Joseph, de Joseph en Jésus, de Jésus en notre conception déployée jusqu’au cœur spirituel ouvert ; Marie épouse cette hâte splendide du Monde Nouveau et court vers nous pour l’apporter dans ses bras : voici la grâce en notre corps d’enfant et d’esprit vivant dans le temps l’exaltante apparition de notre corps spirituel. Ta foi est étonnante, véritable chemin de Dieu, espérance palpable et incarnée où je peux avec lui entrer avec les Anges dans la Jérusalem de Dieu, Disponibilité extraordinaire et si nouvelle, Marie à ce moment-là, tout en Dieu se manifeste, tu as dit « Oui ». Dieu s’est saisi Lui-même, pour Lui-même, de ce qu’Il avait créé, pour que ce qu’Il avait créé devienne Lui-même : Jésus. A ce deuxième Mystère joyeux du Rosaire vivant, nous sommes déjà au Ciel avec Elle, tout habités de cette saisie de Dieu, c’est celle de sa source toute brûlante en lui, porteurs d’Unité intime de chacune des Trois Personnes de la Très Sainte Trinité. D’un abîme s’ouvre un abîme nouveau, en un océan si grand que nous avons l’impression qu’il nous y presse davantage. Et je crois en effet que c’est plus grand, car je vois qu’elle bondit par paliers avec lui dans les mystères de Dieu. Votre Visitation d’un Amour nouveau, ouvre une heure nouvelle de communion immortelle. L’Amour éternel a découvert la présence immaculée d’une chair toute pure ... Il a voulu la traverser. Il a voulu l’assumer. Il va l’épouser encore pour nous ! Il a pu traverser toute l’humanité immaculée pour se saisir Lui-même un corps nouveau pour chacun d’entre nous... jubilant du Saint-Esprit qui dilatait en Elle une vastitude qui était bien celle de Dieu en Lui-même. Qu’il traverse nos cœurs, en voyant que Dieu en Lui allait voir s’en former un aussi pour Lui-même et pour nous.

  Homélie de la Messe du Soir, Samedi de la 2ème semaine de Carême, 23 mars



Lectures de la Messe de l'Aurore, Dimanche 24 mars
Exode 3, 1...15 ; Psaume 102 (103), 1...11 ; 1Corinthiens 10, 1...12 ; Luc 13, 1-9

  Homélie de la Messe de l'Aurore, Dimanche de la 3ème semaine de Carême, 24 mars
19ème jour du Carême 2019 ; relire les textes ; le Buisson ardent et ses trois lumières ; le germe descend accompagné attiré par ces lumières dans toujours plus profond de sa terre ; étonnement, admiration de Dieu nous y enfonce en lui ; entre la Miséricorde et l’Amour : l’Effacement éternel veut se fondre dans l’Humilité de celui qui nous est donné dans l’Hostie ; St Joseph de ses deux mains nous fait être en Jésus entier ; se laisser consacrer cette transformation est permanente et nous y consume sans se consumer ; la Prière qui nous fait disparaître à leurs yeux ; le vigneron c’est la deuxième profusion du Père ; 10 minutes pour y rester

Les 10 dernières minutes d'après la Charte du Monde Nouveau : Charte à méditer pour le Monde Nouveau :
« Enfant du Monde Nouveau avec Jésus enfant, interroge, scrute et désigne aux Princes et aux enfants, sois le nouveau Gabriel de Dieu, regarde devant toi : Dans la Coupe du Nard, l’Enfant du Monde Nouveau est Obombré, qui nous y emporte en des parfums éternels » : « Le triple Lys du gouvernement du monde épanouit ses pétales sponsales sans abîmer le bois, et le bâton de l’Arbre sorti de l’Arche de ton Temple à Jérusalem exhale son parfum dans les Demeures de notre unique Père en St Joseph à Nazareth » : « L'enfant du Monde Nouveau sait, depuis l’annonce du Glaive de la TransVerbération, qu'il doit être chez Son Père ? Ne savez-vous pas que je dois quitter le Temple ancien de pierre et descendre dans le Vase d’élection et d’Albâtre enfermant son Nard, ma Myrrhe et l’Aloès dans mon Père ? », « à Nazareth, cet acte du Monde Nouveau nous vient de toi Saint Joseph, Trône et Coupe immensément ajustée à l'unique Amour placé entre la Miséricorde et l'Amour de l'Unique Amour en la Très Sainte Trinité, je m’y laisse emporter avec les Mains de l’Ange pour que mon pied n’y heurte aucune pierre : Que le ciel entier participe à cet emportement : mon Père m’y prend, et je monte en ma Mère, chargée des Présences rayonnantes de Dieu ; et c'est toi qui nous les transmets » : C'est pourquoi vous ferez cette prière : « Que chaque cellule dont est fait mon corps soit reliée à l'amour ardent qui brûle le Sacré-Cœur de mon Père en Jésus dans la résurrection. Qu'en moi, Il trouve où verser ses grâces, car il y a longtemps que je sais que je suis son « dépôt ». »

Préparons-nous au nouvel exercice à quoi correspond ce milieu de Carême : Cédule 3 Cédule 3



Lectures de la Messe de l'Aurore, Lundi 25 mars
Isaïe 7, 10-14 et 8, 10 ; Psaume 39 (40), 7-11 ; Hébreux 10, 4-10 ; Luc 1, 26-38

  Homélie de la Messe de l'Aurore, Lundi de la 3ème semaine de Carême, 25 mars
Solennité de l'ANNONCIATION DU SEIGNEUR
Incarnation : mystère de Marie ; immaculée pour être Vierge, Vierge pour être concevante comme vierge ; demande un Signe ... ; le roi et fils de David demande littéralement le signe ; explication de la doctrine infaillible des nacis d'Israël ; le deuxième tome de Rabbi Shaul Drach ; l'ancienne alliance est une bonne nouvelle ; de Aïsha, Naara, Betulla, Nekeva à Alma ; deux participes présent ! toujours vierge en concevant et en donnant naissance ; sans la participation d'un homme ; annonce de qui est Joseph à l'Ange par Marie ; conjoindre l'Acte qu'est le St Esprit à la Consubstantialité du Père ; voici notre nature humaine elle-même ; oui qui nous est donné ; ce Carême demande le Signe ; la preuve c'est l'Hostie

Homélie silencieuse et Credo de la Messe du Soir
Solennité de l'ANNONCIATION DU SEIGNEUR



Lectures de la Messe de l'Aurore, Mardi 26 mars
Daniel 3, 25...43 ; Psaume 24 (25), 4...9 ; Matthieu 18, 21-35

  Homélie de la Messe de l'Aurore, Mardi de la 3ème semaine de Carême, 26 mars
Tu respecteras le mardi ; respect, admiration et communion ; succession Tranfiguration, Solennité St Joseph, Annonciation : un ordre signifiant notre Carême ; ce qu’apporte d’unique et pour la première fois aujourd’hui l’établissement infaillible eucharistique de la Fécondité de la Mère de Dieu vis-à-vis de l’écoulement d’Elle jusqu’à notre corps spirituel de Dieu Consubstantiel au Père ; l’évangile du pardon est devenu possible du fond du cœur ; Me Voici, tout simplement ; miséricorde et amour ... entre eux deux : la lumière ; Daniel au fond de la fournaise demande pardon pour tous les temps ; l’enfant du Monde nouveau et son pardon dans la Nuit ; flux et reflux désormais ouvert de la virginité maternelle : hâter la Venue ; comment former la vie divine dans chaque enfant marqué du Sceau ; Esprit de Piété dans le Roi ouvert à l’Acte Pur du St Esprit ; ce fut le premier jour ...

Nous formons la Vie divine dans tous les enfants qui ont été créés par Dieu et conçus et qui doivent donner leur vie aujourd’hui dans les sources de la vie de leur mère et dans les laboratoires des abominateurs de Dieu. Nous formons avec Jésus sa Vie divine en chacun de ces enfants que nous portons dans le Fiat éternel. Ô Jésus, fais couler toutes nos pensées, toutes les lumières surnaturelles de notre foi nouvelle, toutes nos espérances, toutes les grâces répandues depuis le début de la création du monde jusqu’à la fin, dans tous les esprits d’innocence recréés ... du nouvel Israël de Dieu et en même temps qu’à travers eux dans les enfants créés qui vont acquiescer de leur vie donnée sous l’Autel des Parfums : chaque avortement. Pendant que nous faisons ainsi c’est Jésus Toi-même qui es formé en eux. Vous aimez tellement toutes ces Vies divines que le Fiat éternel à travers Vos enfants dans la foi qui prient dans la nuit leur communiquent et viennent former en elles ! Vous donnez à nos âmes vivant le Fiat éternel de Dieu, tandis qu’elles Viennent avec Vous se joindre à chaque enfant avorté, âme assoiffée du Baptême, pour qu’il vive dans Votre Volonté éternelle ce Fiat divin en cette Vie divine qu’à travers nous Vous venez former en elles. Dans ce Credo que nous prononçons nous formons la Vie divine dans tous les enfants que nous visitons avec Vous, et conçus et qui doivent donner leur vie aujourd’hui dans les sources de la vie de leur mère et dans les laboratoires des abominateurs du Nom de Dieu. Nous prononçons ce Credo en communion avec chacun d’entre eux. Nous formons avec Vous la Vie divine en chacun des enfants que nous portons dans le Fiat éternel de notre propre Baptême. Si nous sommes ensemble comme les premières à Vos Yeux, c’est pour que Vous nous bénissiez une fois encore, mais cette fois avec toutes les âmes qui ont leur vie formée à travers nous. Nous allons baptiser dans Votre divine Volonté tous ces bébés, tous ces enfants qui doivent donner leur vie en ce jour. Oui ! Que Votre divine Volonté forme Sa Vie dans le Fiat éternel de chacun d’entre eux, milliards et milliards qu’ils sont, afin qu’ils Vous bénissent, qu’ils Vous glorifient, qu’ils Vous aiment comme Vous le faites Vous-mêmes entre Vous, Père Fils et Saint-Esprit, dans le Fiat éternel de la divine Volonté incréée éternelle. Ces Vies divines que nous formons ensemble dans le Baptême de l’instant même de cette nuit sont notre plus grande Gloire. (D’après Luisa Piccarreta, Fiat éternel)

  Intention de la Messe du Soir, Mardi de la 3ème semaine de Carême, 26 mars



Lectures de la Messe de l'Aurore, Mercredi 27 mars
Deutéronome 4, 1...9 ; Psaume 147 (147b), 12...20 ; Matthieu 5, 17-17

  Homélie de la Messe de l'Aurore, Mercredi de la 3ème semaine de Carême, 27 mars
Le pape François : de la lumière à la mémoire ; la rencontre de Dieu et de Jacob conception d'Israël ; l'Israël accompli de Dieu se recueille dans la mémoire de l'enfant du Monde Nouveau ; ce que fait la puissance de la mémoire ; Béatrice et l'enfant en elle, reçoit les déploiements de la grâce en dansant puis en naissant en mélodie ; en ce Carême, ce que nous ne pouvions pas faire avant, s'écouler de manière incarnée dans la mémoire de St Joseph ; le petit point, le petit Yod, le plus petit et le dernier fait l'accomplissement ; faire le parcours intérieur des mouvements en la mémoire de notre présence libre dans la Présence libre de St Joseph ; tournée des mouvements rédempteurs ; un regard de Marie, un pas de St Joseph, une pensée ou une prière de Jésus, dans l'UN pour l'union transformant toutes les conceptions du monde ; une demi-heure au rythme naturel de la transformation du corps vivant

Dix minutes pour une transformation de Carême
Dans la sainte et divine Volonté, dans la mémoire de nos racines en Jésus, et de Jésus en St Joseph, me voici en tout Vous-même comme aussi en lui, me voici, nous voici transformés et Vous habitant intérieurement pendant cette Union lumineuse libre et vivante, je vois s'ouvrir pour moi en vous les portes de la vie de chaque homme. A Votre suite et en même temps que Vous je peux faire mémoire de la vie personnelle d'Adam et jusqu’au dernier homme pour venir lier ma prière de la nuit à chacun d’entre eux, et venir aussi lier ma prière aux respirations de Notre-Seigneur, de Notre-Dame, de Saint Joseph sur la terre, à chacun des soupirs de Notre-Seigneur, de Notre-Dame et de Saint Joseph sur la terre, à chacun des pas de Notre-Seigneur, de Notre-Dame et de Saint Joseph sur la terre, à chacun des regards de Notre-Seigneur, de Notre-Dame et de Saint Joseph sur la terre, à chacun des battements de cœur de Notre-Seigneur, de Notre-Dame et de Saint Joseph sur la terre, à chacune des larmes de joie de Notre-Seigneur, de Notre-Dame et de Saint Joseph sur la terre, à chacune des larmes d’amertume de Notre-Seigneur, de Notre-Dame et de Saint Joseph sur la terre, à chacune des prières de Notre-Seigneur, de Notre-Dame et de Saint Joseph sur la terre, à chacune des pensées de Notre-Seigneur, de Notre-Dame et de Saint Joseph sur la terre, à chacune des souffrances de Notre-Seigneur, de Notre-Dame et de Saint Joseph sur la terre, à chacune des molécules de chair de Notre-Seigneur, de Notre-Dame et de Saint Joseph sur la terre, à chaque parole de Notre-Seigneur, de Notre-Dame et de Saint Joseph sur la terre, à chaque languissement de Notre-Seigneur, de Notre-Dame et de Saint Joseph sur la terre, à chaque particule de nourriture consommée par Notre-Seigneur, Notre-Dame et Saint Joseph sur la terre, à chacune des souffrances de Notre-Seigneur et de Notre-Dame pendant qu'Il était dans le sein maternel, à chaque acte de Notre-Seigneur, à chaque acte de Notre-Dame et à chaque acte de Saint Joseph sur la terre, à tous les échanges faits par Notre-Seigneur, Notre-Dame et Saint Joseph durant leur vie terrestre, à chaque acte divin accompli par Notre-Seigneur, Notre-Dame et Saint Joseph durant leur vie terrestre, à chaque acte maternel accompli par Notre-Dame durant sa vie terrestre, à chaque molécule de sang et de chair répandus par Notre-Seigneur Jésus-Christ durant Sa Passion, à chacun desFruits de la Résurrection, de l’Ascension et de la Pentecôte répandus dans chaque chrétien, à la gloire attachée à la vie publique de Notre-Seigneur, à toutes les souffrances cachées de la Passion de Notre-Seigneur, à tous les actes intérieurs de la Vie cachée de Notre-Seigneur, à toutes les communications effectuées entre Jésus et chacun des hommes de notre univers, aux réactions d’émotion et d’amour vécues par les créatures depuis Adam jusqu’au dernier homme devant le spectacle de la Passion, à chaque réaction émotive d’amour de chaque créature angélique et céleste qui est apparue en eux au spectacle de la Passion. Je les unis aussi profondément en Un à chaque réaction d’Amour qui s’est réalisée devant la Passion vécue par les créatures angéliques, à chaque réparation pour les méfaits des ennemis de Notre-Seigneur sur la terre, à chaque son de voix émis par Notre-Seigneur, Notre-Dame et Saint Joseph sur la terre, à chaque inspiration de la substance de Dieu le Père dans notre Père Saint Joseph sur la terre, à chaque réparation des temps passés, des temps présents et futurs, pour les moqueries subies par Notre-Seigneur Jésus-Christ, au Fiat de Marie associé à tout ce qui est mentionné ci-dessus, amen, au Fiat des bienheureux associés à tout ce qui est mentionné ci-dessus, eux qui ont été les premiers à être invités à y pénétrer, à chaque Fruit des Prières de Notre-Seigneur pendant Ses nuits terrestres, aux prières de toutes les créatures vivant dans la divine Volonté qui ont été, qui le sont aujourd’hui ou qui le seront dans les temps futurs, à tous les actes humains transformés en Actes divins dans la divine Volonté, à chaque mort mystique vécue par Notre-Seigneur durant Sa Vie cachée, à chaque goutte de Sang versée par Notre-Seigneur quand Il fut circoncis, à chaque larme versée par Notre-Seigneur, Notre-Dame et Saint Joseph au jour de la Circoncision, à toutes les Vies divines formées par les Actes de Notre-Dame durant sa Vie terrestre et par l'Humilité fervente et croissante de St Joseph à chacun de ses pas sur la terre en ma mémoire.
Je recueille et je vis en UN tous ces mouvements dont chacun est à lui seul rédempteur, en le plus petit des points de l'accomplissement de la rédemption recueillis en le Saint des Saints de la Mémoire originelle de notre père St Joseph glorifié désormais dans les cieux et le faisant écouler en nous en notre prière de la nuit...



Lectures de la Messe de l'Aurore, Jeudi 28 mars
Jérémie 7, 23-28 ; Psaume 94 (95), 1...9 ; Luc 11, 14-23

  Homélie de la Messe de l'Aurore, Jeudi de la 3ème semaine de Carême, 28 mars
Le Seigneur vient sauver son peuple ; respecter le jeudi pour ENTENDRE le cri explicite en pénétrant l'intérieur de l'Hostie ; de la Transfiguration à la Lumière de Gloire transmise dans la Croix glorieuse du papa ; le Carême propose aujourd'hui un mouvement nouveau à entendre et où être pris ; donner la vie pour que tous soient sauvés : le Père le veut ; mon grand-père et ma grand-mère ont donné la vie 153 fois : « nous donnons notre vie ! » ; Béelzeboul n'est pas le Saint-Esprit, docteur ! aujourd'hui on peut désormais transformer la matière : expliquer et agir le miracle des trois éléments ; une seule Coupe où se laisser prendre ; tourner le dos et montrer son visage : entendre ; contre l'unité formidable de tous les unifiés de l'Enfer avec Béelzeboul, l'Unité de l'UN dans notre corps en la Jérusalem nouvelle seule peut faire l'exorcisme de la Fin : la parole est accomplie, éclatante, et ce n'est pas Béelzebul qui y contribuera !

Le Miracle des trois Eléments (Extrait de la Cédule 3 Cédule 3 de 2018) :

Le miracle des trois éléments consiste à pouvoir réaliser une seule force d'amour. Si, par la grâce, nous ne pénétrons pas en Jésus réellement présent comme - Verbe de Dieu dans son unité sponsale avec la Jérusalem céleste, - comme nouvel Adam avec la nouvelle Eve, - comme Union Hypostatique déchirée avec sa Jérusalem nouvelle de la fin, - Sponsalités qui fécondent en nous, dans l'éternité, le mystère de la résurrection, il va y avoir comme une nostalgie métaphysique.

Ce processus est très important, car si nous ne découvrons pas notre corps spirituel, si nous ne vivons pas de notre corps spirituel, si la jonction ne se fait pas corporellement, c'est-à-dire, si la grâce de Jésus ne pénètre pas jusqu'à ce point de vue du corps, cette nostalgie métaphysique va engendrer, au moment de l'urgence des temps, ce grand besoin de corps pseudo-spirituels. (Pour compenser cette absence, un grand nombre va se précipiter dans des corps « spirituels » de remplacement.) Une fois que nous avons touché et commencé à mettre en place notre corps spirituel, et que nous avons anticipé, par la foi, l'état dans lequel nous serons dans la résurrection, notre corps peut participer à l'union transformante que la grâce sanctifiante opère dans notre âme jusqu'à notre Memoria Dei qui fait le fond du corps originel. L'Immaculée Conception nous dépose avec le Père en St Joseph au fond du Sacré-Cœur de Jésus : Elle peut, là, y pénétrer elle-même toute entière. Dieu a pu passer en eux pour nous porter. … . Jusque dans un corps participant à l'union transformante. Toucher notre corps spirituel est facile à faire :

Notre corps originel qui a été en contact réel avec notre Inscription dans le Livre de Vie de la Fin (Jean-Paul II, Evangelium Vitae) en contact avec notre corps spirituel va servir de médiation à cette découverte et à cet accueil. C'est en effet justement à l'instant où Dieu ayant diffusé et uni notre âme spirituelle à notre corps à peine conçu, qu'Il se retire en inscrivant notre Nom dans le Livre de Vie et nous prédestine dans le Christ. Nous voyons bien que ce n'est pas dans le temps que nous retrouvons cette inscription mais bien dans la marque encore lumineuse de notre corps originel et surtout dans l'éternité de notre prédestination marquée dans le Livre. Et c'est pour cela que c'est encore inscrit dans notre corps actuel, gardé corporellement dans notre mémoire génétique d’innocence divine spiritualisée par l'âme. Il faut donc spiritualiser notre corps originel dans notre corps terrestre actuel pour trouver la voie incarnée de l'anticipation de l'heure de la résurrection : entendre Dieu reçu dans tout son peuple.

Pour le dire plus simplement : par la lumière surnaturelle de la foi …. Le Christ nous permet, par la foi, d'assister à cet instant unique de la création de tout l'univers, d’assister par la foi au Retour de Jésus, à la résurrection de la chair, à tout Mystère du Rosaire. Par la foi, tous les Mystères de la Vierge Marie, ceux qu'elle a vécus, nous en sommes les récepteurs et les diffuseurs dans la terre du Monde Nouveau, et le corps de nos frères. Par la charité, nous donnons aussi à l'Immaculée la permission de venir en nous, aujourd'hui, et de nous donner l’Acte de la visite de l'Anga Gabriel, l’Acte de l'Incarnation, l’Acte de la Nativité : à travers notre corps dans le sien. Voici l'échelle de Jacob par où nous voulons commencer à monter, où montent et descendent tous les anges …. Il faut alors anticiper l'heure de la résurrection : tournés que nous sommes vers le corps spirituel reçu d'En Haut. « Je crois en la résurrection de la Chair » Nous voici en notre chair devenus la Bible du Père, l'Evangile de Jésus-Christ, et la nouvelle terre avec Marie, qui inscrit en nous le Feu que brûle le Saint-Esprit. Nous entrons dans ce nouveau Temps, le Jour vivant du Saint-Esprit, proclamé par le Saint-Père quand il veut instituer et mettre en place le Monde Nouveau, évangéliser toutes les Nostalgies.

Ayant trouvé le corps spirituel, comment contribuer à la diffusion du rayonnement du Sacré-Cœur ?
C'est ici qu'intervient le point de vue de toutes les sphères angéliques, ce mot « sphère » étant entendu au sens de saint Denys l'aréopagite et de saint Thomas. Apprendre à anticiper l'heure de notre résurrection, en pénétrant notre corps spirituel par la foi : c'est notre ascension qui débute. Alors notre corps terrestre peut commencer à vivre de l'Ascension et se mettre en harmonie avec notre corps spirituel. Et nous commençons à habiter dans l'Arbre de vie où nous sommes inscrits, greffés par l'acte créateur de Dieu. Les anges, qui sont dans la vision béatifique, désignés comme nos « Formes-spirituelles pures » parce qu'ils sont dans la Très Sainte Trinité, s'emparent de ce que nous leur transmettons, dès l'instant où nous commençons à actuer l'éternité de l'Arbre de Vie dans notre corps spirituel, à la place qui est la nôtre. Il y a comme une sorte d'inscription dans la création de l'être humain, qui fait que l'enfant du Monde Nouveau peut mouvoir tous les éléments d'en-haut et ceux d'en-bas, comme le dit sainte Hildegarde, à savoir la création toute entière d'une part, et le monde divin et le monde angélique, d'autre part. Ne pas le faire avec la grâce, dans notre corps spirituel, c'est risquer de nous soumettre aux puissances intermédiaires, jusqu'à être utilisé capturé et utilisé comme capteur et diffuseur par ces anges déchus. « Mais, lorsque le processus nous permettant de rejoindre notre corps spirituel est établi, nous sommes dans l'instant terrestre dans lequel nous vivons, ce que nous sommes dans l'instant éternel de notre corps spirituel. Nous devenons, à la fois, le cpateur de notre humanité, celui de tous les besoins de l'humanité, et le récepteur de la "Centrale divine" qu'est la Très Sainte Trinité. Nous pouvons alors être utilisés par Dieu pour que le Monde Nouveau soit mis en place et pour cela, offrir notre humanité actuelle et nouvelle en victime d'amour. Les anges, qui s'emparent de ce que nous leur transmettons, vont pouvoir puiser dans notre humanité nouvelle.

Que se mette donc en marche le processus du va-et-vient par le Saint-Esprit, dans le Lien rayonnant, la vive Flamme de l’unique corps spirituel : le Royaume qui pénètre et qui part du Sacré-Cœur ... que le ciel tient fixé sur nous en permanence. Et les anges vont pouvoir diffuser cette Force, ce rayonnement d'amour vivant, créateur, de Dieu et désagréger le mal qui se fait sur la terre. Que les anges utilisent en nous le vecteur de la désagrégation du mal, et la Jérusalem spirituelle nouvelle, composée des corps de tous les saints, s’ajustera à la Jérusalem céleste, dans un flux et reflux où l'Apocalypse nous entraîne, avec toutes ses portes, toutes ses tours, tous ses murs, tous ses trésors et tous ses demeures. « Ne savez- vous pas depuis l’annonce ici du Glaive … que je dois être là-bas chez Mon Père ? » Tel est donc le Règne du dernier Acquiescement au Royaume de Dieu sur la terre : le Sacré-Cœur accompli. C'est la manière « concrète » par laquelle l'IMMACULEE CONCEPTION écrase la tête du serpent à jamais.

  Accueil de la Messe du Soir, Jeudi de la 3ème semaine de Carême, 28 mars
La Croix Glorieuse



Lectures de la Messe de l'Aurore, Vendredi 29 mars
Osée 12, 2-10 ; Psaume 80 (81), 6...17 ; Marc 12, 28-34

  Homélie de la Messe de l'Aurore, Vendredi de la 3ème semaine de Carême, 29 mars
Croix Glorieuse sur la terre 1972, conception 9 mois avant les Saint Inncents ; aujourd’hui nous ramène à St Joseph dans cet anniversaire ; que s’est-il donc passé dans la Croix glorieuse en lui dans le Oui de son âme ? ; de l’Un de Dieu entendu, tu aimeras de toute ton âme ; Osée pour entendre ce Oui en lui et le psaume 80 : ouvre ta bouche je la remplis de la Fleur du Froment ; nous étions des imbéciles ; comment le Père Manteau Bon Ami est mort en 1996 ; l’Heure où nous allons entre le don de Marie à la mort de Jésus et la dernière goutte d’eau du cœur ouvert par la lance : écoutez ; conception de l’Eglise dès l’éduction de l’âme de Joseph dans la lumière de gloire par la nouvelle fécondité de la fleur des sacrements en Marie : pour la nature humaine entière ; dix minutes pour en St Jean les Secrets révélés dans les 7 Sceaux du troisième Fiat de Marie ; entendre désormais ce qui vient se diffuser dans l’ouverture du temps des 7 Sceaux en Un ; une demi heure et plus

Tiré de la Cédule 3 Cédule 3 du Parcours 1998 : Lectio divina : Apocalypse : Méditation du chapitre CINQ
(Montée dans l’Apocalypse johannique pour rencontrer St Joseph avec Jean)

« Puis je vis dans la main droite de celui qui était assis sur le trône un livre écrit en dedans et en dehors, scellé de sept sceaux. Et je vis un ange puissant, qui criait d'une voix forte : Qui est digne d'ouvrir le livre, et d'en rompre les sceaux ? Et personne dans le ciel, ni sur la terre, ni sous la terre, ne put ouvrir le livre ni le regarder. Et je pleurai beaucoup de ce que personne ne fut trouvé digne d'ouvrir le livre ni de le regarder. Et l'un des vieillards me dit : Ne pleure point ; voici, le lion de la tribu de Juda, le rejeton de David, a vaincu pour ouvrir le livre et ses sept sceaux. » Qui est le vingt-quatrième vieillard ? Peut-être saint Joseph glorifié comme celui qui tient dans sa main le livre contenant le secret, le secret parfaitement scellé de ce qui est vers et de ce qui est dans le Baiser du Véritable Amour.

« Et je vis, au milieu du trône et des quatre êtres vivants et au milieu des vieillards, un agneau qui était là comme immolé. Il avait sept cornes et sept yeux, qui sont les sept esprits de Dieu envoyés par toute la terre. Il vint, et il prit le livre de la main droite de celui qui était assis sur le trône. Quand il eut pris le livre, les quatre êtres vivants et les vingt-quatre vieillards se prosternèrent devant l'agneau, tenant chacun une harpe et des coupes d'or remplies de parfums, qui sont les prières des saints. » Voici donc le secret qui se dévoile dans l’au-delà de la triple résurrection de Jésus Marie Joseph : au cœur de cette sponsalité triple, une ouverture en affinité des trois s’ouvre sur l’Unique secret du Mystère de l’Agneau.

« Et ils chantaient un cantique nouveau, en disant : Tu es digne de prendre le livre, et d'en ouvrir les sceaux ; car tu as été immolé, et tu as racheté pour Dieu par ton sang des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation ; tu as fait d'eux un royaume et des prêtres pour notre Dieu, et ils régneront sur la terre. Je regardai, et j'entendis la voix de beaucoup d'anges autour du trône et des êtres vivants et des vieillards, et leur nombre était des myriades de myriades et des milliers de milliers. Ils disaient d'une voix forte : L'Agneau qui a été immolé est digne de recevoir la puissance, la richesse, la sagesse, la force, l'honneur, la gloire, et la louange. Et toutes les créatures qui sont dans le ciel, sur la terre, sous la terre, sur la mer, et tout ce qui s'y trouve, je les entendis qui disaient : A celui qui est assis sur le trône, et à l'agneau, soient la louange, l'honneur, la gloire, et la force, aux siècles des siècles ! Et les quatre êtres vivants disaient : Amen ! Et les vieillards se prosternèrent et adorèrent. » Marie, des profondeurs de la Pâque, a continué à amener Saint Jean, et nous avec lui, jusqu’à la possibilité d’être emporté dans l’Esprit Saint jusqu’au ciel pour qu’il puisse voir ce qui se passait dans ces profondeurs intérieures. Il a fallu quarante ans, quarante ans de travail de Jésus ressuscité, de Marie ressuscitée, de Joseph ressuscité, et de cette union, de cette présence presque palpitante, incarnée, sensible, mais toujours, comme nous, dans la nuit de la prière. Nous sommes emportés par le raz-de-marée du ciel ! Emporté, dans sa prière, et avec ses yeux, avec sa vision, il nous montre ce à quoi ressemble cette unité indivisible immortelle. Là où il était, ces raz-de-marée du Corps mystique de Jésus que nous appelons les sept Eglises .... ont métamorphosé son corps spirituel. Par un miracle ... d’apocalypse : notre corps va s’ établir comme tabernacle de la Jérusalem glorieuse dans son germe, avec tout ce qui en déborde. Face au Trône. Il a vu ce que voient ceux qui sont ressuscités dans la chair et il nous explique ce qui se passe : saint Joseph glorieux est l’instrument de l’autorité éternelle du Père : Si nous laissons miraculeusement, surnaturellement, cette vision ouvrir toutes les portes de notre corps, de notre chair et de notre sang à l’intérieur, si toutes les portes de nos cellules s’ouvrent et que nous sommes nous-mêmes engloutis en ces Appartements par la prière, alors nous sommes le tabernacle de l’Apocalypse.
Dans l’Evangile, Jésus dit : « Le Fils ne peut pas ouvrir ces secrets-là, ils appartiennent au Père. »
« Nul ne connaît le jour ni l’heure, le Père seul. Moi je ne juge pas, le jugement est remis au Père. »

« Je vois à la droite de celui qui est assis sur le Trône, un livre qui est écrit devant et derrière, scellé de sept sceaux. Je vois un ange d’une très grande force et il clame à grande voix : Qui méritera d’ouvrir le livre et d’en délier les sceaux ? Personne ne pouvait, ni au ciel, ni sur terre, ni sous terre, ouvrir le livre ni le regarder. »
Saint Jean est en pleine extase (quand nous voyons ces choses-là, elles se manifestent en nous, elles nous absorbent, nous assument, et nous sommes transformés, nous devenons ce que nous voyons).

« Je pleurai beaucoup, parce que personne n’est trouvé qui puisse être digne d’ouvrir le livre et même de le regarder. Un des anciens me dit : Ne pleure pas, voici il a vaincu le Lion de la tribu de Juda, le rejeton de David, pour ouvrir le livre et ses sept sceaux. Alors je vois au milieu du trône et des quatre vivants, et au milieu des anciens, un Agneau debout, comme égorgé, ayant sept cornes et sept yeux. Et quand l’Agneau prend le livre, les quatre vivants et les vingt-quatre vieillards tombent en face de l’Agneau. Ils ont chacun une cithare, et des coupes d’or pleines d’encens. Ce sont les prières des saints. Ils chantent un poème, un cantique nouveau, et ils disent : Tu es digne de recevoir le livre et d’en ouvrir les sceaux parce que tu as été égorgé, et que tu as racheté pour Elohim par ton sang toutes tribus, langues, peuples et nations. Tu as fait d’eux pour notre Elohim un royaume et des desservants, ils règneront sur la terre. Toute créature au ciel, sur la terre, sous la terre et sur la mer, et tout ce qui s’y trouve, je les entends dire à celui qui est assis sur le trône et à l’Agneau : bénédiction, splendeur, gloire, puissance, pour les éternités des éternités. »

Alors il va y avoir l’ouverture des sept sceaux : Il ouvrit le premier sceau et je vis un cheval blanc, puis il ouvrit le deuxième sceau et je vis un cheval rouge feu, puis il ouvrit le troisième sceau et je vis un cheval noir, puis il ouvrit le quatrième sceau et je vis un cheval verdâtre, puis il ouvrit le cinquième sceau parce qu’il y a les âmes sous l’autel qui criaient : Jusques à quand, Seigneur ?, et il ouvrit le sixième sceau, puis le septième sceau, alors il se fit un silence d’environ une demi-heure. L’ouverture des sept sceaux est impressionnante. « Vision nouvelle : Je vois, quand l’Agneau ouvre le premier des sept sceaux, et j’entends le premier des quatre vivants et il dit dans une voix de tonnerre : « Viens et vois ». »



Lectures de la Messe de l'Aurore, Samedi 30 mars
Osée 6, 1-6 ; Psaume 50 (51), 3...21 ; Luc 18, 9-14

  Homélie de la Messe de l'Aurore, Samedi de la 3ème semaine de Carême, 30 mars
Un nom de conception du matin de l’aurore : « septcentrentehuit » ; nous sommes conduits encore vers le point le plus principal du Carême 2019 ; la demi heure de Marie en-spirée dans l’Un de trois sacrements ; de la Mort au Coup de Lance que cette demi-heure nous fasse pénétrer ; le fond du commandement : Shm’a, l’Un de Dieu, l’âme en son principe incarné ; les deux opérations simultanées de Marie Mère de Dieu dans cette demi-heure ; pour St Joseph, et aujourd’hui pour nous en lui ; lien de nécessité entre cette Dormition de Jésus, la dormition de Joseph en la Croix glorieuse et la Dormition de Marie dans la torpeur de sa TransVerberation ; texte séraphique des suppliants sur St Joseph ; le publicain et le pharisien : la Sagesse de la Croix est nécessairement une folie, voire un scandale, pour ceux qui se croient justes ; St Joseph, publicain substantiel ; texte pour l’y rejoindre

Les 10 minutes sont pris dans la Cédule 3 Cédule 3 :
Rapprocher l’âme spirituelle et le corps originel toujours lié au diamant vivant de la Présence incarnée de Dieu.
Cette unité me place aux portes du Miracle des trois éléments : je dis OUI et rends grâce à Dieu de ce Don.

Manuscrits autographes du séraphique fondateur de la compagnie de saint Sulpice,
compagnon de saint Vincent de Paul, Monsieur Olier
(Commentaire par Père Nathan du texte de Monsieur Olier (Extraits))

1. Joseph est l’image des beautés du Père éternel : « C'est par saint Joseph que le Père éternel devient beau pour Jésus, dans la vision béatifique. » : La beauté n'aurait pas pu participer sans St Joseph à la nouvelle sponsalité du Christ ressuscité qui envoie l'Esprit Saint.

2. Saint Joseph est l’image de la sainteté du Père éternel : « Cum esset justus » est la phrase qui en donne l'explication absolue. Jamais on n’aurait pu rendre cette phrase en hébreu, gloire à Dieu, l’évangile a été écrit en grec : « Substantiellement ajustés »

3. Saint Joseph est le CARACTERE : et le SIGNE (l’image) de la fécondité du Père éternel : « Le caractère » est un mot théologique qui exprime la présence d'une capacité surnaturelle nouvelle à l'intérieur de l'âme, donnée à travers un sacrement. En exemple, le baptême imprime en notre âme un caractère indélébile même après la mort... Saint Joseph a, pour lui-même, et il est le seul à l'avoir, un caractère particulier qui ressemble à ce que nous recevons dans le caractère sacramentel ; un signe, non pas efficace, mais un signe de fécondité qui vient de la fécondité du Père éternel. Ce qui voudrait dire que, quand saint Joseph le veut, la relation entre le Père et un homme, quel qu'il soit, vient se replacer et se réengendrer dans les membres de son fils. Saint Joseph a le pouvoir de rendre féconde la fécondité personnelle du Père pour la communiquer de manière incarnée à Jésus, et à nous également. Monsieur Olier nous dit que « l’Eglise nous offre saint Joseph à honorer huit jours avant le saint mystère de l'Incarnation afin que, dans saint Joseph, nous adorions Dieu le Père. »
« Il a été comme un sacrement du Père éternel sous lequel Dieu a porté, engendré son Verbe incarné en Marie, et sous lequel il a in-spiré la substance divine ». C'est la phrase la plus puissante ! Je dirais que saint Joseph a été un quasi-sacrement, un signe de la fécondité incréée du Père. Cela veut dire que sans saint Joseph, le Père éternel n'a pas voulu porter son Verbe incarné en Marie, n'a pas voulu introduire cette fameuse spiration intérieure de la substance divine dans le Christ, il n'a pas voulu sans lui que le Christ reçoive en son intimité humaine la spiration même de l'Esprit Saint. Tandis que le Caractère que nous voyons ici ne s'entend pas d'un conditionnement ou d'une disposition, c'est un pouvoir, une capacité que nous pouvons utiliser avec notre liberté. Ce pouvoir touche vraiment une source nouvelle nous permettant de poser de nous-même un acte personnel, mais qui va avoir pour caractéristique d'être un acte d'ordre théologal, surnaturel, ou divin.

Saint Joseph et le Mystère de la Très Sainte Trinité
La spiration est un terme théologique : in-spirer veut dire spirer de l'intérieur.
C'est une spiration à l'intime du mystère même de saint Joseph et de la Paternité incréée de Dieu. Ce qui est extraordinaire, c'est que le terme « spiration » relève habituellement de la Procession du Saint Esprit, or Monsieur Olier l'emploie pour saint Joseph. Dans le mystère de Joseph, le Père est présent, présent dans une spiration active, tandis que Joseph se trouve être instrumentalement, et donc passivement, comme le canal de cette spiration paternelle et divine. Saint Joseph fait l'unité au niveau de l'in-spiration, entre la spiration active et la spiration passive. Ce que la Vierge Marie ne fait donc pas sans lui. Il y a certes en Elle quelque chose d'extraordinaire au cœur de la première Procession. L'Immaculée Conception épouse le Père dans cette contemplation éternelle qui lui fait engendrer un Verbe. La Vierge Marie, étant Mère de Dieu, est donc introduite à l'intérieur de la contemplation ou génération active du Père et de la génération passive dans le Fils : elle fait l'unité des deux. Marie et Joseph ont donc un rôle complémentaire dans l'unification incarnée des processions trinitaires dans le Christ . Et lorsqu'ils s'unissent dans le mariage, la Très Sainte Trinité peut pour ainsi dire tout naturellement s'établir dans leur unité intime, grâce au mystère du Verbe incarné : « Inspiratur substantia divina ».

Autre précision terminologique : la substance. … La substance est ce qui fait que l'être divin, à l'intérieur de lui-même, subsiste de manière personnelle, divinement. Or, ce qui fait subsister les trois Personnes divines à l'intérieur de l'unique nature divine, ce sont précisément les Processions. Cette précision nous permet de mieux saisir la complémentarité entre le mystère de l'Immaculée Conception dans sa maternité divine et le mystère de l'instrument, saint Joseph, par rapport à son rôle instrumental dans l'unification de l’« inspiratur substantia divina ».

Saint Joseph, Sacrement du Père éternel : Saint Joseph EST le …« quasi-sacrement du Père éternel sous lequel Dieu a porté, engendré son Verbe incarné en Marie »....... Nous pouvons peut-être dire, mystiquement, que saint Joseph fait l'unité entre le point de vue de l'actif et du passif dans la spiration intime des Trois Personnes. Cette formule ne nous projette-t-elle pas une grande lumière sur la prédestination de Joseph ?

Le caractère « enveloppant » du mystère de Joseph : Ce caractère « enveloppant de l'in-spiration de la substance divine » est tout à fait propre au mystère de saint Joseph. Saint Joseph doit être en effet le protecteur, le gardien du mystère de l'Incarnation. C'est un mystère enveloppant, obombrant dira l'Ange, qui donnera à saint Joseph, dans la gloire, de pouvoir être à l'intérieur même du mystère de la spiration intime des trois Personnes divines.

En résumé : Il est le SIGNE, le CARACTERE de la fécondité du Père éternel. Il a été un SACREMENT sous lequel Dieu a porté-engendré son Verbe incarné en la Vierge et sous lequel il a inspiré la Substance divine.

A la fin de cette lecture de vision théologale de St Joseph,
- Qu’il puisse nous prendre dans ses bras comme Thérèse
et nous faire monter les marches une à une comme dans un ascenseur
- Qu’ensuite, nous puissions repérer comment notre corps se reçoit
lui-même lorsqu’il est pris par lui dans son sein :
+ Comme illuminé spirituellement, et enflammé de Lumière par son premier acte de Liberté surnaturelle
+ Comme disponible intérieurement pour accueillir Tous, son Ange et sa Fin, dans l’Espérance
+ Comme bondissant, palpitant, enflammé dans l’Amour mis hors de lui-même dans la Charité
- Qu’avec lui nous puissions voir autrement tout ce que nous découvrons, ou lisons sur Dieu



Lectures de la Messe de l'Aurore, Dimanche 31 mars
Josué 5, 9...12 ; Psaume 33 (34) 2-7 ; 2 Corinthiens 5, 17-21 ; Luc 15, 1...32

  Homélie de la Messe de l'Aurore, Dimanche de la 4ème semaine de Carême, 31 mars
Neuf jours vers la Miséricorde de la Tendresse ; Joseph, le petit point du Yod, est point de mire ; la parabole du Père et des deux fils ; Credo : le Père n'est jamais envoyé ; allez vers le père : Joseph en la gloire de Jésus court vers vous ; se laisser prendre, embrasser, étreindre, emporter, endormir et établir dans son Shm'a qui est le Shm'a primordial ; tout parle de lui : lecture de Matines aujourd'hui : la tente de réunion et le saint Feu embrase le premier prêtre ; le nouveau Moïse c'est le buisson ardent de Marie, Jean le premier véritable Prêtre, la Houppa du Saint des Saints qui nous est ouverte c'est le Lys parfumé de Joseph ; la Croix glorieuse et le Dernier Cri dans l'unité du cri silencieux ; aujourd'hui c'est le gouffre : l'abîme du gouffre et le bâton sponsal de Joseph dans la dernière Coupe de l’Église ; en quoi il fallait attendre cette demi-heure pour être saisi dans l'Instant de cette Floraison ; notre corps spirituel englouti en St Joseph est la seule voie, la ligne pure d'une humanité totalement nouvelle ; nous voici non seulement en notre corps primordial nouveau en lui Évangile de l’Épouse, mais aussi Apocalypse du St Esprit ; explication ; le psaume 22 ; prendre les "10 minutes" pour se laisser concevoir là, en lui en disponibilité surnaturelle et union parfaite (prière des consacrés chez P Montfort)

D’après la prière des Cœurs d’Amour confiée par Jésus au Père Montfort
Jésus, Marie, Joseph, je Vous aime ! Ayez pitié de nous ! Sauvez toutes les âmes. Amen.
Ô Cœurs d’Amour ! Ô Cœurs unis pour toujours dans l’amour !
Donnez-moi la grâce de vous aimer toujours et aidez-moi à Vous faire aimer.
Recueillez en Vous mon pauvre cœur blessé et rendez-le moi seulement
quand il sera devenu un feu ardent de Votre Amour.
Je sais que je ne suis pas digne de venir auprès de Vous,
mais accueillez-moi en Vous et purifiez-moi par les flammes de Votre Amour.
Accueillez-moi en Vous et disposez de moi comme bon Vous semble,
car je Vous appartiens entièrement. Amen.
Ô pur Amour ! Ô Divin Amour ! Transperce-nous de Tes flèches, et fais couler notre sang
dans les plaies du Cœur immaculé ! Ô Cœur immaculé uni au Cœur sacré,
unis au Cœur parfait pour donner vie, consolation, gloire et amour. Amen.
Ô Jésus ! Ô Marie ! Ô Joseph ! Vous êtes les Cœurs d’Amour ! Je vous aime !
Consumez-moi ! Je suis Votre victime d’Amour. Amen.
Ô Cœurs d’amour ! Consumez-moi ! Je suis Votre victime d’Amour. Amen.