Paris! Qu'as-tu fait? La loi d’abomination a donc été votée le 11 décembre 2003, en la fête de St Daniel !!! voir Shiqoutsim Meshomem

Son châtiment annoncé par une multitude de prophéties :
DESTRUCTION DE PARIS PAR LE FEU


«Si les miracles accomplis chez toi l'avaient été à Sodome, elle subsisterait encore aujourd'hui. Aussi bien, je vous le dis, le pays de Sodome aura, au jour du Jugement, un sort moins rigoureux que toi» (Matt. XI, 23-24). «Si (Dieu) a condamné à une totale destruction et réduit en cendres les villes de Sodome et de Gomorrhe, (c'est) pour servir d'exemples aux impies à venir» (lIe Pierre II, 6).

Certaines grandes villes seront châtiées terriblement et parmi elles, mention particulière est faite de Paris, qui semble devoir être foudroyée par le feu. Quelques extraits de prophéties parmi d'autres :

De Saint Benoît-Joseph Labre, extrayons maintenant ce passage d'une lettre à Pie VI : «Paris sera détruit à cause de ses blasphèmes; une pierre n'y restera pas sur l'autre»

De Marie Lataste vit un jour «l'Ange exterminateur planer sur la Grande Ville. ...Il me semble être dans une grande place de Paris. Au milieu de cette place, je vis un jeune homme sur une petite colonne. Il était revêtu d'une robe rouge, il portait un diadème sur la tête; il tenait son sabre dans le fourreau et un arc entre les mains. Ses regards étaient foudroyants et sa bouche prête à lancer des menaces. Je vis inscrit au-dessus de sa tête en caractères de feu: l'Ange exterminateur. ….0 Paris, ville exécrable, depuis longtemps tu mérites mon indignation, et si je n'ai point fait tomber sur toi les flots de ma colère, c'est par un effet de miséricorde. J'ai arrêté mon bras vengeur déjà prêt à s'appesantir sur toi. J'ai épargné la multitude innombrable des pécheurs pour ne point frapper les justes. Tes habitants te maudiront un jour ...»

Notre Dame de La Salette : « Paris sera brulé ».

De Saint Césaire d'Arles: Elle a été tirée des Voix prophétiques de l'abbé Curicque publiées en 1872 (p. 559). Elle débute avec la peste qui sévit à Arles en 545, trois ans après la mort de saint Césaire, pour se terminer au lendemain de la venue de la Parousie des derniers jours : voir ce lien
30ème . "Horrible cliquetis d'armes ! Le fer et le feu enserrent la Babylone de la Gaule qui tombe dans un grand incendie, noyée dans le sang."
31ème. "Puis la seconde ville du royaume et encore une autre sont détruites." Saint Césaire (470-542)


Mélanie Calvat, voyante de La Salette revient souvent dans ses lettres sur l'incendie de Paris. Elle disait couramment: «Paris sera un jour effacé». Comme cette annonce verbale souvent réitérée ne suffisait pas, elle avait recours encore à un procédé plus étrange, destiné à piquer davantage l'attention. A Corenc, elle écrivait souvent ces trois lettres: P S B, ce qui veut dire: «Paris sera brûlé»:
Le 10 septembre 1870, Mélanie écrivait à l'une de ses amies et à sa mère: «Paris, foyer de la vanité et de l'orgueil, qui t'empêchera de périr si des prières ferventes ne montent vers le Cœur de Dieu?
En 1871, elle envoyait une lettre à Thiers, pour lui demander d'enlever de Paris la statue de Voltaire et tout ce qui ne vient pas de Dieu.
En 1896, elle écrivait: «Voyez-vous la Seine? Si vous saviez combien de gens y seront jetés! Mais le plus grand nombre vien-dront s'y jeter, tout affolés, fuyant le feu qui sera comme suspen-du au-dessus de la ville. Ils s'y jetteront comme fous de terreur, croyant éviter ainsi le feu menaçant».

D'une religieuse, Joséphine Lamarine (1787-1850) de Damey en Lorraine ses prophéties reçues à partir de 1828 furent notées par sa soeur qui lui faisait office de garde malade; toutes ses prédictions concernant sa famille ou sa paroisse ont été vérifiées en leur réalisation nous dit Novaye ( ouv. cit p.266) :
«C'était dans une grande ville; la foule allait et venait, mais dans tout ce monde, personne ne s'occupait de Dieu; tous ne pensaient qu'aux plaisirs sensuels. Soudain des ténèbres épouvantables couvrirent toute la terre; c'était comme une fumée brune, tirant sur la couleur du feu. Le gros nuage se divisa en quatre parties qui tombèrent à la fois sur la grande ville, et en un instant elle fut en feu. A ce spectacle terrifiant, la foule se mit à fuir comme pour sortir de la grande cité. Tout ce peuple était tellement épouvanté que les cheveux se dressaient sur la tête...Et alors un craquement que nulle langue ne peut rendre éclata. Personne ne saurait exprimer cet horrible fracas. Ces menaces regardent Paris» ( Dompierre, p. 54.)

«L'éternité s'avance! Avec le drapeau rouge, les loups sont dans le jardin... Pauvre Paris, te voilà donc détruit!»

De Marie-Josèphe Levadoux (1832-1908), dont la «mission» fut de révéler ce que Dieu exigeait des hommes pour écarter les maux prédits à La Salette. Complètement illettrée, elle dicta ses révélations, qui «furent soumises à l'autorité de l'Eglise» vers le début du siècle. Voir H. Lainé, Ecrits de Marie-Josèphe, Diex et Volt éd., Le Houlbec (Eure), p. 66 pour le texte ici cité. Les annonces et conseils» de Marie-Josèphe ont leur importance par rapport aux événements qui se préparent): «Notre Seigneur me dit: «Avertis mon peuple, et s'il ne tient pas compte de mes avertissements, Je le frapperai comme j'ai frappé Sodome et Gomorrhe. J'ai vu Paris rempli de sang! Des monceaux de cadavres! J'ai vu aussi au milieu d'une vaste plaine noirâtre, une borne sur laquelle était écrit: Ici était Paris».

De Berguille : «Que ces ténèbres sont épaisses, ô mon Dieu! que ce feu est dévorant! Je vois tout consumé. Protégez ces pauvres enfants; ils étouffent au milieu des flammes. Oui, Paris est la plus coupable des villes. Malheureuse cité maudite. Un jour elle sera consumée jusqu'à la dernière pierre.
Malheur à ces diaboliques sociétés!... Je les vois, les misérables, ils accourent; quel affreux tumulte! Ville ingrate, elle n'est pas digne de prononcer le nom sacré de Jésus. Ville exécrable, tu veux nous mener aux abîmes»
.

D'une extatique, citons la prophétie dite de Grenoble (1853) : «A la lueur des éclairs et des flammes, elle vit Paris qui brûlait».

Dans la correspondance Hohenlohe de 1828 («On appelle ainsi une série de lettres reproduites sous ce titre dans plusieurs recueils de prophéties, notamment dans le «Nouveau recueil de prédictions» de Bricon (cité par Novaye, p. 221), on découvre ce fragment: «Paris sera détruit. Le feu qui tomba sur Sodome et Gomorrhe tombera aussi sur cette ville; et pour la détruire, le ciel s'unira à la terre…. Pendant trois jours, Paris sera enseveli sous une pluie de soufre et on n'y verra plus que des précipices….Cette ville ne sera plus jamais rétablie » (Dompierre, pp. 56-57. p.59 ).

Le R.P. Nectou écrivait en 1760: «Durant ce bouleversement épouvantable qui, parait-il, sera général, et non pour la France seulement, Paris sera entièrement détruit, non sans qu'il y paraisse des signes qui mettront les bons à même de s'enfuir; et sa destruction sera si complète, que vingt ans après, les pères se promenant avec leurs enfants sur les ruines et répondant à leurs enfants leur diront: il y avait là une grande ville mais à cause de ses crimes, Dieu l'a détruite».

La petite Marie des Terreaux dite aussi des Brotteaux nom du
quartier de lyon où elle habita longtemps, 1773-1843, petite servante
favorisée de 1811 à 1832 de nombreuses visions prophétiques (voir Adrien
Péladan: 'Nouveau Liber Mirabilis', Avignon 1871; voir aussi 'derniers avis
prophétiques', éd. Palmé Paris 1872; l'abbé Curricque donne un résumé des
prédictions de la petite Marie, qu'a reproduit Novaye (p 232 à 237 )
voyait cela de Lyon: «Paris sera détruit comme Sodome et Gomorrhe; et ce qui restera de ses habitants se réfugiera en grande partie à Lyon. Quand on verra leur fuite, le grand événement sera proche.» ( Dompierre, pp. 61-62 ).

Marianne Galtier dit à son tour: «La grande prostituée sera détruite par le feu; l'Ange du Seigneur avertira les justes de Paris. Personne ne saura d'où est venu le feu. Tous les mauvais périront. Les malheurs de la France seront si grands que plusieurs en mourront de frayeur».

Voici quelques autres textes prophétiques, relatifs à la destruction de Paris, extraits de la «Lettre mensuelle de Notre-Dame des pleurs de Bordeaux» ( N° 55 et 56, juin et juillet 1925 «lettre adressée aussi à l'Épiscopat». Le rédacteur de la revue précise: «Nous avons rassemblé ici les extraits des prophéties les plus notoires au sujet de Paris, du moins des plus incontestables» ) :

Prophétie bretonne (citée en entier par Novaye, dans Demain ? (pp. 116-117)): «Lorsque la terre tremblera et que le feu jaillira de ses flancs; quand Paris, la ville corrompue, sera fouillée comme une ruche; ce sera quand les chariots marcheront tout seuls... alors ce sera le temps prédit... Paris, la grande ville, avec tous les méchants qu'elle renferme, aura été engloutie dans l'enfer...»

De l'Abbé Souffrand (1755-1828), le saint curé de Maumusson en Bretagne; voir vie et prophéties de M. Souffrand, ancien curé de Maumusson, chez Bourgeois, Paris 1872.... Ses prédictions sont universellement connues et très populaires dans l'ouest de la france : «Paris sera détruit, tellement détruit que la charrue y passera».

Dans les notes de Marie Martel, (Voyante de Tilly notamment lors des apparitions de
1901) de janvier 1897, nous lisons ce passage: «La Sainte Vierge supplie les yeux tournés vers le ciel, et puis, se retournant vers moi, elle me dit: «Oh! Paris. Paris n'a pas respecté les lois de mon divin Fils... il sera châtié et détruit par le feu... Il y aura peu de monde qui restera... Ceux qui resteront ne se reconnaîtront pas... Paris sera détruit par le feu, s'il refuse de se convertir... voilà la punition qui lui est réservée » ! ….. Et encore (en septembre 1897) : «Le premier coup sera porté sur Paris: des théâtres vont sauter, des victimes vont brûler, le sang va couler»Le 7 juillet 1901, après la vision par Marie Martel d'une chute de boules multicolores, le Sacré Cœur lui «dit» qu'il s'agissait du feu du ciel pour Paris et différents (autres) endroits.

Voici une autre vision; elle émane de la religieuse trappistine de Chemillé : «Je vis la capitale pillée, saccagée, brûlée. A cette vue, je fus tellement épouvantée que je crus que nous allions tous périr» (Dompierre, ouv. cité, p. 78. )….. Et encore: «Le tonnerre grondait toujours dans les airs d'une manière effrayante lorsque j'entendis une voix qui me dit: «Ne crains pas! Mon courroux tombera sur ceux qui ont allumé ma çolère ; ils disparaîtront dans un moment. Tout l'univers sera étonné d'apprendre la destruction de la plus belle, de la plus superbe ville! Je dis: superbe, par ses crimes; car je l'ai en abomination; c'est cette maudite Babylone qui s'est enivrée du sang de mes saints; elle veut encore le verser... Elle mettra le comble à ses horribles forfaits; et moi je lui ferai boire le vin de ma colère; tous les maux tomberont à la fois sur elle dans un seul instant….. Je n'entendis plus la voix mais un bruit effroyable; le gros nuage se divisa en quatre parties qui tombèrent à la fois sur la grande ville, et en un instant elle fut tout en feu. Les flammes qui la dévoraient s'élevèrent dans les airs; et de suite je ne vis plus rien qu'une vaste terre, noire comme du charbon» .

Marie des neiges Holgado
née le 5 aout 1904 à Roncal, province de Navarre, en Espagne, guérie miraculeusement à Lourdes en 1926; ses premières visions et messages de Jésus crucifié commencèrent le 19 octobre 1917; elles en reçut bien d'autres de 1936 à 1938, des textes étonnants (Voix et visions d'Espagne de GL Boué, Imp. Lesbordes, Tarbes 1938 (dépeint la vie superficielle de Paris qui mène à la fange du péché et du vice: «Rêver à Paris, écrit-elle, c'est se voir entouré de ténèbres de mort. Ce n'est pas un songe délicieux, c'est une bousculade incessante, c'est trébucher continuellement jusqu'à tomber dans le mal et finalement être précipité dans la damnation éternelle. ….
Malheur à toi, Paris! Dans peu de temps, tes superbes avenues seront des sépulcres de mort. Pleure sur tes erreurs, il en est temps encore, mais ensuite ce sera trop tard! Que va devenir ton orgueilleux Opéra? Un monceau de cendres, un rien... C'est l'éternel aboutissement des centres de corruption et de péché.»

Conchita Mateos, âgée de Il ans, l'une des voyantes d'Ezquioga, parle à son tour:
Samedi 10 décembrê 1932. Je vis la Vierge douloureuse, bien, bien triste et elle me dit: «Vois ma fille, demain je commencerai à te raconter le châtiment, si tu as le courage de m'entendre».
Dimanche Il décembre 1932. «La Vierge dit qu'elle accordera toutes les demandes sauf celles qui ont trait au châtiment parce que, sans châtiment, le monde ne peut pas être sauvé... Ce siècle est le dernier de tous... Paris sera carbonisé, Marseille englouti par la mer» .

Le Saint curé d'Ars (1859) a dit également: «Paris sera démoli et brûlé tout de bon, mais pas tout entier» .

La prophétie de Prémol mentionne également l'incendie de Paris et sa destruction par le feu. La prophétie de Prémol connue en France et très soigneusement présentée par Adrien Péladan dans son 'Nouveau Liber Mirabilis'. Le prophète inconnu qui vivait à la Chartreuse de Prémol près de Grenoble; voir ce livre à la lib. Bricon, Paris 1831: ce texte prophétie de Prémol contient 113 paragraphes a été publié à nouveau dans un ouvrage d'Henri d'Allaines ; voir

De Mélanie de La Salette : Comme l'abbé Rigaux, revenant de La Salette avec Mélanie, traversait Paris en voiture avec elle, de la gare de Lyon à la gare du Nord, elle lui dit, en désignant la rive droite: «Tout ce que vous voyez de ce côté là-bas sera rouge. Tout cela brûlera. Les flammes s'arrêteront à peu près là». Elle montrait le canal Saint-Martin.
Alors l'abbé Rigaux : «Mais pourtant, c'est un mauvais quartier celui-ci». Et Mélanie: «Ces maisons seront vides car les habitants seront partis dans les quartiers riches pour piller, avec des draps». Passant devant la statue de la République, elle ajouta: «La gueuse! Elle ne sera pas fière quand Paris brûlera en ce jour-là». …. Le feu du ciel s'ajoutera aux autres. «Oui, précisa une autre fois Mélanie, il foudroiera certains points, le Palais Bourbon quatre- vingts fois en une seconde » . «Et les députés, s'écria l'abbé Rigaux, seront-ils dans l'enceinte? » - «Vous êtes bien curieux! Eh bien oui, ils seront suffoqués, morts grillés».
Mélanie a «vu» la population s'efforcer de fuir Paris: «des désordres inexprimables»….. et d'indiquer: «On sortira le premier jour, le deuxième jour avec grand'peine, le troisième jour on ne pourra plus». Même les conducteurs de voitures qui «s'insulteront, blasphémeront, seront pris dans la même souricière». Le tout dans «une fumée asphyxiante»
Et Mélanie disait à l'abbé Rigaux, son confesseur et père spirituel , curé d'Argoeuves en Somme, mort à un age très avancéen 1896 : «Paris sera brûlé par sa canaille ».

Marie-Julie Jahenny de La Fraudais en Blain (Loire Atlantique); 1850-1941; humble paysanne, stigmatisée en 1873, un des cas de stigmatisation les plus extraordinaires jamais connu; durant certaines périodes de sa vie, elle fut en outre aveugle, sourde, muette, et paralysée, une vie abreuvée d'une somme inimaginable de souffrances en signe de communion aux souffrances secrètes du Christ; voir sa biographie par
Pierre Roberdel, ed. Resiac 1972. Le futur pape Pacelli était venu la visiter plusieurs fois dans son lit de souffrances. Elle condamne la « Chambre de l’Enfer » , « où se font les mauvaises lois », stigmatisant spécialement « la loi d’abomination », et met en relation un feu du ciel dans le passage suivant: «Ils arriveront à attirer sur la France des châtiments de feu... Le ciel s'ouvrira par trois ouvertures épouvantables... Ce sera un effondrement de feux de différentes couleurs. Et ces trois ef-fondrements épouvantables seront aperçus de tout le peuple... Il y aura des cris épouvantables, des pleurs, des gémissements, des tortures du corps... L'œil apercevra des figures difformes, des traits, mais des traits qui ne ressembleront pas aux enfants du Ciel... Dans ces trois effondrements de feu, il y aura un son lugubre... Et c'est à ce moment, où l'air deviendra une peste insupportable à l'odorat humain, mais surtout presque insupportable à l'odorat des élus... Ce sera à ce moment le grand déluge et le jugement de la Sodome coupable, le jugement des crimes accomplis... Le sol ne sera plus qu'un tombeau effondré; et, gisant sur ses pierres brûlantes, des cadavres inanimés... Il ne restera rien de ce foyer où se forgent les mauvaises lois, d'où l'on va achever la mort de la foi dans les âmes; d'où l'on va jeter la dernière souillure dans l'âme des enfants dont la plupart sont déjà condamnés à ne jamais me voir, à ne jamais m'aimer». … Et Marie-Julie Jahenny dit encore (révélation reçue en 1903) : «Le feu du ciel tombera sur Sodome (Paris) et principalement sur cette salle de l'enfer où se fabriquent les mauvaises lois. Elle sera engloutie et sa place sera comme une immense carrière de laquelle, jusqu'à la fin du monde, on ne pourra s'approcher sans un frémis-sement d'horreur».
Elle dit aussi :
« Différentes villes, notamment Paris, seront terriblement châtiées...» et elle ajoute ailleurs: «Dans l'intervalle, Paris aura été détruit», insistant sur «les terribles châtiments qui fondront sur la grande ville»

Catherine Filljung est encore plus explicite. Qui est-elle? Vierge lorraine, extatique, stigmatisée, offerte à la Justice divine en victime d'expiation. (L'ouvrage d'Eugène Ebel, Téqui 1928, "soeur Catherine, Notes biographiques sur la mystique lorraine) ; ses prophéties s'échelonnent de 1873 jusqu'à sa mort, remarquables par leur diversité et leur précisions, la plupart s'étant déjà réalisées... Son biographe rapporte:
«37. Catherine redoutait pour Paris le sort de Jérusalem. Très souvent, autrefois, on l'avait entendu s'écrier en extase: « 0 Paris, seconde Jérusalem par tes crimes, seconde Jérusalem par ton châtiment».
«38 Après cela, elle voyait «comme le feu du ciel qui tombait». C'était la vengeance divine. La grande ville était assiégée. Tandis que l'ennemi la pressait du dehors, elle était en proie aux fureurs de la révolution, et à une famine si horrible que les mères dévo-raient leurs enfants».
«39. Les émeutiers saccageaient, incendiaient Paris, principale-ment les beaux quartiers.
«40. Après la guerre, Paris perdrait sa primauté; une autre ville, une ville du centre' devenait la capitale...»
Certaines prédictions furent adressées de Paris à Mgr Baillès, le 30 août 1853 :
"J'ai vu, depuis, un orage à faire mourir de frayeur. C'est un tonnerre comme jamais on n'en a entendu; il semble tenir toute la terre et gronde sans relâche. Une pluie de feu tombe du ciel, comme quand il neige en grande abondance; et 'il y a des morceaux de fer de différentes grosseurs, dont certains de la gros-seur et de deux fois la longueur d'un chapeau d'homme. Ce feu du ciel embrase les contrées les plus coupables et brûle les malheureux habitants. Les maux seront si grands qu'on se croira à la fin du monde".

Ces avertissements concernent bien Paris, car la voyante annonce qu'il faudra quitter Paris pour ne pas être massacré et consumé par les flammes.

S'agit-il du châtiment annoncé par Maria Bordoni? Maria Bordoni (née à Rome en en 1927), favorisée de nombreuses visions chrétiennes, chargée de nombreux messages pour les prètres, et aussi pour le monde, stigmatisée, vivant à Rome sous une stricte direction spirituelle, fondatrice de deux communautés religieuses de 'victimes expiatrices'; ses textes sont pour la plupart publiés sous imprimatur, ed. St Michel à St cénéré, trad. abbé Mazué Voyons le signe qu'elle donne: «Il y aura un mort à Paris; et le moment de cette mort sera le signal de la justice divine pour Paris et pour la France».

____________________________________________________________

 

 

 

 


PROPHETIES CONCERNANT

LA DESTRUCTION

DE PARIS