"... Elle
est "le fruit le plus excellent de la Rédemption"
: dès le premier instant de sa conception, elle est totalement préservée
de la tâche du péché originel et elle est restée
pure de tout péché personnel tout au long de sa vie." CEC
Article 508, p. 136 (Voir également l'article 722, p. 196)
.. Dans la matrice ci-dessous, le terme "Vierge Marie"
croise pile la phrase du texte littéral qui dit ceci : "Que
le péché de sa mère ne soit point effacé !"
( la mère de Marie s’appelle Ste Anne ]
[ autre interprétation : « que le péché
de la mère ne soit point effacé » est un principe
qui regarde tous les fils d’Adam ; mais concernant le Messie, sa mère
la « Vierge Marie » vient BARRER et faire exception
à ce principe, selon l’enseignement traditionnel juif lui meme
commentant Isaie 7, 14]
En rapport avec la seconde matrice (plus loin en dessous),
"Enfin, la Vierge immaculée, préservée par Dieu de toute atteinte de la faute originelle, ayant accompli le cours de sa vie terrestre, fut élevée corps et âme à la gloire du ciel, et exaltée par le Seigneur comme la Reine de l'univers (donc, bien entendu aussi Reine des cieux-)" CEC Article 966, p. 254
Le célèbre "Ave Maria" le dit aussi clairement :
AVE MARIA
Ave, Ave, Ave Maria (bis)
Les Saints et les anges,
En chœur glorieux,
Chantent vos louanges,
Ô Reine des cieux !
Ô Vierge Marie !
À ce nom si doux,
Mon âme est ravie
Chante à vos genoux.
Comme au temps antiques
Chanta Gabriel,
Voici mon cantique,
Ô Reine du ciel ! ...Etc
Hors le terme "Vierge Marie" croise le verset 19 du chapitre 44 du livre du prophète Jérémie qui "tance" vertement les juifs pour leur culte rendu à une divinité païenne appelée... "reine des cieux" justement : Jérémie 44:19 "Et si nous avons brûlé de l'encens à la reine des cieux, et si nous lui avons fait des libations, est-ce sans nos maris que nous lui avons fait des gâteaux à son image, ou que nous lui avons fait des libations ?" La première lettre du terme "Vierge Marie" barre pile... le mot Heh-Samek-Kaf, qui signifie "libation" ou "idole" (qui apparaît également 2 autres fois en code utilisant le même Samek que l'occurrence non codée sur laquelle s'accroche la lettre du terme) ! J'ai regardé la définition du mot libation dans le dictionnaire et voici ce qu'il signifie :
> libation (nom féminin)
Action de répandre du vin en l'honneur d'une divinité.
Donc, si je comprends bien le sens de tout cela, Dieu, l'auteur des codes,
semblerait considérer le culte de marie comme Reine des Cieux en opposition
avec son substitut antécédant idolâtrique !
Une autre lettre de "Vierge Marie" s'accroche dans un verset du livre d'Ezékiel qui dit : Ezékiel 30:13 "Ainsi parle le Seigneur, l'Éternel : J'anéantirai les idoles, Et j'ôterai de Noph les vains simulacres ; Il n'y aura plus de prince du pays d'Égypte, Et je répandrai la terreur dans le pays d'Egypte"
Une autre encore s'accroche dans un verset des Psaumes qui dit : Psaumes 1:4 "Il n'en est pas ainsi des méchants : Ils sont comme la paille que le vent dissipe." Et la lettre croise cette expression codée (lettres en vert dans la matrice) dans ce passage par une lecture différente du texte (code : + 1) "Car la mère est comme un oppresseur (ou de la paille, une chose vaine. Ce qui est souvent la façon dont la Bible définit les idoles)"
Je m'arrêterais là pour aujourd'hui en me contentant de dire que les autres versets "points d'accrochages" sont du même acabit !
Difficile de croire à une coïncidence, d'autant que le terme "Vierge Marie" est plutôt long en hébreu (9 lettres) et que les passages où il est parlé de cette "reine des cieux" ne sont pas légion...
En rapport avec la troisième
matrice :
Deux choses à constater :
La Vierge Marie vient détruire le péché contre l’Eternel et les idolatries d’Astarté, un peu comme le code secret nous a montré l’insuline venant contrecarrer la maladie du diabète
1) La deuxième lettre du terme codé "Vierge Marie" s'accroche dans le verset 5 du 5 ème chapitre du Lévitique juste à côté de ce message en code de + 1 : "Péché contre (ou envers) l'Eternel"
2) Sa sixième lettre s'accroche pile dans le mot "Ashtaroth" (ou "Astarté" suivant les traductions) dans le verset 3 du chapitre 7 du livre de 1Samuel qui dit ceci : 1 Samuel 7:3 "Samuel dit à toute la maison d'Israël : Si c'est de tout votre coeur que vous revenez à l'Éternel, ôtez du milieu de vous les dieux étrangers et les Astartés, dirigez votre coeur vers l'Eternel, et servez-le lui seul ; et il vous délivrera de la main des Philistins."
Voilà, je m'arrêterais là pour aujourd'hui, les autres occurrences de "Vierge Marie" (11 au total) présentant toutes les mêmes caractéristiques que celles qui viennent d'être exposées!
Nota bene : réponse
à ceux qui induisent une identification entre Astarté et sa
condamnation avec celle qu’elle voulait indiquer ou supplanter par anticipation
: Marie
les textes à siginification "théologique" ne peuvent
guère trouver d'authentification interprétative qu'en fonction
de la kabbalah première dite de Moïse tradition doctrinale orale
transmise de Naci en Naci en Israël depuis Moïse/Aaron jusqu'à
Hillel/Shamaï
pour la reine des cieux par ex ce texte est commenté par les nacis
d'Israël comme rejet idôlatrique d'un culte qui pourtant réfère
à une figure du futur messianique
comme pour les figures du messie, il ne faut pas en faire d'image AVANT QU'IL
NE SOIT INCARNE après, c'est différent, on pourra en faire des
images et des représentations
A llez voir sur le site cultes et religions rubrique judaîsme ; en spécial
les explications extrêmement expertes du Rabbi Drach
D u coup vos occurrences vont prendre une signification parfois à l'inverse
de votre sentiment initial ; tel est le principe de l'exégèse
rabbinique: elle n'existe qu'en rapport avec l'Auteur inspiré ( Haggadah
) et sa doctrine divine . Voilà pourquoi le nouvel age par exemple
qui s'obstine à chercher la Mère divine derrière le "Principe
non manifesté " .... des énergies de l'Anatman rejoint
tout à fait le péché contre le Seigneur visé par
vos dernières lignes concernant Astarté
La Vierge d'Israël est toute autre que ces idolatries métapsychiques
Le Bereshit qui La contient en l'intention de La sagesse créée
qui préside à toute chose est tout autre que la Lumière
qui actue le diaphane cosmique du trône déchu de la Lumière
Bref, il faut suivre les règles fixées par Moïse pour l'interprétation
non seulement des textes de la Torah et du Tanach mais aussi évidemment
de leurs occurences cachées sous les codes
sinon, on tombe nécéssairement dans le "subjectivisme"
PAS TROP COMPLIQUE ?
Père Nathan