Attention!

  1. Ce genre de recherches
  2. pourrait comporter un grand danger
  3. sur le plan spirituel
  4. pour ceux qui seraient tentés
  5. d'interroger l'avenir.
  6. Prière donc de lire attentivement la monition de catholique du net sur la manière juste d'interroger la Sainte Ecriture avec ces logiciels
  7. ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;PAGE EN PDF /CLIQUER ICI POUR OUVRIR
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    Auteur : Christophe Lemoine    7, rue de Saint-Cloud    92150 SURESNES FRANCE

  9. "La Bible : le code secret" : danger !
    Mickaël N.
    ;voir ;PAGE EN PDF /CLIQUER ICI POUR OUVRIR ce tableau
    Ci-dessus : Couverture du livre La Bible : Le Code secret (© Robert Laffont, 1997) du journaliste indépendant américain, Michael Drosnin, traduit et publié chez Robert Laffont en mai 1997. On y voit l’un des fameux tableaux générés par ordinateur, avec en verticale, le mot-clé « Yitzhak Rabin », ancien Premier-ministre israélien, dont les lettres hébraïques sont entourées de cercles noirs. On y voit aussi en horizontale, croisant le « tz » de Yitzhak, l’expression-satellite « assassin qui assassinera » dont les lettres sont entourées de carrés noirs. Mais ce tableau « crypté » ou savamment « encodé » dans le livre de la Bible, qui l’y a mis ? Dieu, Moïse, ou l’ordinateur ?
    ***
    Nous travaillons depuis sept ans dans une équipe de recherche sur le Pentateuque  avec l’ordinateur. Il y a, dans notre équipe, un théologien (prêtre et moine catholique), des hébraïsants, des informaticiens, et un philosophe. À notre connaissance, nous sommes le seul groupe de recherche catholique en Europe travaillant sur le sujet. Nous sommes en relation avec les savants israéliens, qui les premiers, ont initié ces recherches, il y a 15 ans à Tel-Aviv et à Jérusalem. Nous sommes également en contact avec les protestants évangéliques qui, les premiers, ont fait connaître ces recherches en France.
    Nous avons lu le récent livre de Michael Drosnin, journaliste américain, publié aux éditions Robert Laffont et intitulé La Bible : Le Code Secret ( édition française publiée en mai 1997, réédité en livre de poche).
    Dans ce livre, M. Drosnin expose la découverte des chercheurs qu’il a rencontrés : il y a plus d’une quinzaine d’années, des savants israéliens ont introduit dans l’ordinateur la Bible en hébreu (à peu de livres près, notre Ancien Testament). Ils en ont retiré espaces, ponctuations, annotations, numéros de chapitres et de versets, titres etc ... Il reste le texte à l’état brut, celui que Moïse, les prophètes, et les scribes ont, selon la Tradition, reçu de Dieu et retransmis aux générations futures, parfois à partir d’une véritable révélation, parfois simplement inspirés.
    Avec des ordinateurs hyper-puissants, des algorithmes (3) appropriés et l’inspiration du Rabbin tchèque Weissmandel, l’un des précurseurs de ces découvertes (4), ces savants ont cherché des mots, des expressions ou des phrases en hébreu, dans cette « Bible brute », par progressions arithmétiques (pour parler en langage mathématique) ou plus simplement par « sauts de lettres » ; c’est-à-dire, en sautant systématiquement un certain nombre (toujours fixe) de lettres ou (ce qui revient au même) en prenant toutes les lettres multiples d’un même nombre.
    L’exemple classique, qui a d’ailleurs été découvert par Rav Weissmandel, lui-même est le suivant :
    Si on prend le premier Tav (š), ou « T » dans le livre de la Genèse et que l’on saute 3 fois de suite 50 lettres, on a :
    soit : T O Ra H
    L’alphabet hébreu ne contenant pas de voyelle, les vocalisations sont inscrites sur les lettres, à côté ou en dessous : c’est en reconnaissant TWRH que l’hébraïsant y voit TORaH.
    Ainsi, on lit par saut de lettre : Torah, c’est-à-dire la Loi de Dieu. On trouve ce même phénomène dans le livre de l’Exode, des Nombres et du Deutéronome. Ces 4 livres de Moïse sont en effet structurés par l’attente et par la réception de la Loi (cinquante). En revanche, dans le Lévitique, on trouve avec un saut de lettre de 26 (le chiffre de YaHWHé), le nom de AARON, le Grand-Prêtre de l’ordre de Lévi. En effet le Lévitique est structuré par l’institution, l’exercice et les modalités du sacerdoce juif.
    Les savants ont constaté que, souvent, l’ordinateur trouvait des dizaines, voire des centaines d’occurrences [5] de certains mots-clés. L’ordinateur affiche alors un « tableau » composé des lettres de la Bible agencées à la suite, dans l’ordre où elles se trouvent sur le texte papier. La largeur de ce tableau correspond au saut de lettres ayant permis de trouver le mot-clé [6] à tel ou tel endroit des écritures.
    Le tableau ainsi affiché fait bien évidemment apparaître le mot-clé recherché en verticale de façon très lisible. Mais ce qui est beaucoup plus surprenant, c’est que le tableau fait également apparaître d’autres mots, phrases ou expressions, qu’on appelle mots-satellites. C’est en établissant le lien sémantique et syntaxique entre le mot-clé et les mots-satellites s’y rapportant que l’identification d’événements historiques, de découvertes scientifiques, de créations littéraires ou artistiques dans le passé est possible. C’est parce que l’hébreu est une langue vivante, qu’on peut même lire des mots qui n’existaient pas à l’époque de Moïse mais qui sont cependant reconnaissables dans les tableaux par n’importe quel hébraïsant. Par exemple, américain se dit « Americani », SIDA, « AIDS », électronique, « Electroni », etc ...
    L’un des exemples que donnent les savants juifs est très parlant : on recherche « diabète » en hébreu avec l’ordinateur. La machine affiche un premier tableau qui « démarre en position 64930 » ( c’est à dire, dont le premier caractère est le 64930eme de la Torah, ce qui se trouve vers la fin du livre de la Genèse. Le tableau a une largeur de 312 caractères. On y trouve :
    D (+312) I (+312) A (+312) B (+312) E (+312) T (+312) E (+312)
    Autour du mot-clé, s’affiche en verticale le mot « SheM MHLH » qui veut dire « Nom de la Maladie », en hébreu.
    Plus loin, en position 67088 avec un saut de 7 lettres, soit un tableau de 7 lettres de largeur, apparaissent en diagonale, les 2 mots-satellites suivants : « DIABÈTE » et « DESCRIPTION ».
    Et plus loin encore : « LA MALADIE », « DESCRIPTION DE LA MALADIE » (symptômes), en verticale.
    Enfin, un troisième tableau de 113 lettres de large en position 66814 (toujours dans le dernier quart de la Genèse) affiche le mot-clé « DIABÈTE » avec cette fois-ci les deux mots-satellites :
    « NOM DU REMÈDE » et « INSULINE »... !!!
    Les savants israéliens ont également découvert de nombreux tableaux concernant le cancer, la tuberculose, le SIDA, la structure de l’ADN, la structure de l’atome, etc...
    En outre, par cette méthode, les noms de tous les grands rabbins juifs du Moyen-Age apparaissent avec leur date de naissance et le nom de la ville où ils ont enseigné. D’autres informations importantes enfin, sont données sur la Révolution Française, l’affaire Dreyfus, l’assassinat du président Sadate, le processus de paix au Moyen-Orient, l’élection et le ministère du Pape Jean-Paul II :
    Par exemple, dans le livre de la Genèse au chapitre 6, à partir du verset 13 où Dieu dit à Noé, en préparation du déluge, « De tout ce qui vit, de tout ce qui est chair tu feras entrer dans l’arche deux de chaque espèce » (trad. Bible de Jérusalem) on lit avec le mot-clé « Karol Wojtyla », les mots-satellites suivants « Évêque de Cracovie », « Élu Pape », la date de son élection, « Redemptor Hominis » (sa première encyclique) et bien d’autres informations concernant son pontificat et son enseignement.
    De semblables investigations ont également été menées avec l’ordinateur, dans leurs langues respectives, sur des textes aussi différents que Guerre et Paix de Tolstoï, Le Coran, Le Talmud, l’œuvre de Shakespeare (et même sur l’annuaire téléphonique de New York, sans que cela ait donné le moindre phénomène de ce genre : les phénomènes alphanumériques à ces degrés de probabilité et avec de tels enjeux n’existent que dans la Bible, Ancien et Nouveau Testament, comme le montrent les calculs de probabilité réalisés par les algorithmes israéliens. Ceci fait maintenant dire à de nombreux scientifiques, jusqu’alors agnostiques :
    La Bible est le seul livre qui ne soit pas l’œuvre d’une intelligence humaine. Les lois qu’on y découvre dépassent l’entendement humain. Il faudrait des siècles à une équipe de génies pour rédiger n’en serait-ce qu’un petit chapitre. Le sens en serait pauvre, la valeur morale, prophétique et mystique, nulle.
    En somme, une découverte authentique , confortée par les sciences statistiques avec un enjeu considérable, puisque d’après l’un des grand rabbins de l’histoire du Judaïsme, tout est contenu dans la Torah, la Parole vivante de Dieu, tout l’univers et son histoire, ... soit explicitement, soit par mode de symbole, soit par prophétie soit encore par code caché ...
    *
    Exemple de Tableau (ci-dessous) : Dans le livre de la Genèse, au chapitre 15, verset 5, Dieu dit à Abram : « Lève les yeux au ciel et dénombre les étoiles si tu peux les dénombrer. » (trad. Bible de Jérusalem). A partir de ce verset, l’histoire du premier homme sur la Lune est codée en diagonale avec le mot-clé « homme sur la lune » et le mot-satellite « vaisseau spatial ». Deux autres mots-satellites apparaissent dans le même tableau, un peu plus loin, : « Apollo 11 » et la date de l’événement « 5729 », soit l’année 1969 dans le calendrier juif. Tout y est : la description « journalistique » de l’événement, présente depuis plus de 3000 ans dans l’Écriture sans qu’on puisse la voir. (vrai tableau donné par Drosnin dans son livre, p.38. © Robert Laffont, 1997)
    voir ;PAGE EN PDF /CLIQUER ICI POUR OUVRIR ce tableau
    *
    Cependant, malgré la véracité de toutes ces découvertes, le livre de Michael Drosnin a vraiment de quoi faire bondir : il s’agit ni plus ni moins d’une imposture journalistique, d’une thèse à sensation, dont le but est essentiellement lucratif :
    Premièrement, de nombreuses informations données dans cet ouvrage sont incontrôlables, puisque les lecteurs, pour la plupart, ne possèdent pas le logiciel qui permet de les contrôler et les outils statistiques qui permettent d’en vérifier la pertinence [7]. Il est très probable qu’aucun des nouveaux tableaux [8] reproduits par M. Drosnin (mis à part ceux déjà publiés par Doron Witztum et Eliyahu Rips [9]) n’ont été validés scientifiquement. Il ne suffit pas de repérer un phénomène ; encore faut-il vérifier s’il est statistiquement probant.
    Deuxièmement, ce qui est encore plus grave, l’auteur affirme pouvoir, à partir de la Torah [10] et du logiciel israélien commercialisé depuis quelques années [11], prédire des événements (pour la plupart tragiques) à partir de connexions de mots-clés hébreux relatifs, dans un même passage, à certaines dates, certains lieux et certains personnages connus.
    D’un point de vue épistémologique [12], ces prédictions sont complètement invalides. En effet, l’ordinateur ne peut afficher un tableau de mots-satellites [13] autour d’un mot-clé principal, que si l’utilisateur du logiciel lui donne à l’avance ces mots à rechercher dans le texte. Or ces mots-satellites sont précisément ceux dont la relation sémantique par rapport au mot-clé (donc au thème historique en question) n’est donnée à l’utilisateur qu’une fois l’événement terminé et interprétable.
    Autrement dit, le "capital de connaissance" indispensable à l’homme pour faire fonctionner le logiciel sur des bases historiques n’est acquis qu’après le déroulement de l’événement.
    Donc l’interprétation certaine d’événements ou de découvertes à venir est strictement impossible : le passé et le présent peuvent être sondés, mais pas l’avenir !!!
    Prenons un exemple purement fictif :
    Admettons que vous ayez cherché il y a une dizaine d’années dans la Torah, l’expression « Prince Charles » (ce sera le mot-clé). Les mots-satellites suivants auraient très bien pu apparaître dans un tableau :
    « 1998 » ; « Diana Spencer » ; « Reine d’Angleterre » ; « Londres » ; « Couronnement ».
    L’interprétation audacieuse de la succession au trône par le Prince Charles et Lady Diana Spencer en 1998 est très séduisante, si ce n’est qu’en 1997, à l’heure où nous écrivons, le Prince Charles est déjà divorcé et que Lady Diana (avec tout le respect que nous lui portons) est tragiquement décédée. [14]
    Cette « lecture » faite en 1988, n’aurait pas vu qu’une expression-satellite supplémentaire se situait un peu plus bas dans le même tableau : « Ils ne succéderont pas ». Cette expression-satellite était difficile à lire, puisque décalée par rapport aux autres mots et en diagonale [15].
    Troisièmement , l’Esprit de Dieu (la Rouah Qadosh des juifs ) qui a révélé la Torah, a mis dans cette Torah ainsi que dans les livres prophétiques de l’Ancien Testament [16] et du Nouveau, des interdictions formelles concernant la prédiction de l’avenir, autrement dit la divination. Voici les références des textes où le Seigneur met l’homme en garde contre de telles pratiques : [17]
    Lévitique 20, 27 - Nombres 22, 7 - Deutéronome 18, 9-14 - 1 Samuel 15, 23 - 2 Chroniques 33, 6 - Isaïe 8, 19 - Jérémie 2, 7-8 - Ezéchiel 13, 6 et 13, 23 - Michée 3, 11 - Actes des Apôtres 16, 16.
    Jésus a été tenté par le satan dans le désert. Le démon s’est servi des Écritures Saintes pour tenter de faire chuter le Fils de l’Homme. Ils sont donc à plaindre, ceux qui utilisent la Parole de Dieu pour détourner le peuple de la voie humble du salut et le faire sombrer dans ces « divinations pernicieuses ».
    Enfin, saint Paul dit : « [Dieu] nous a rendus capables d’être serviteurs d’une nouvelle Alliance, non de la lettre, mais de l’esprit ; car la lettre tue, mais l’esprit fait vivre » [18]. La Torah vue par l’ordinateur n’est guère qu’une suite morte de 304 805 caractères [19]. C’est la Foi dans le Mystère Révélé qui permet de recevoir Vie de cette Écriture.
    Michael Drosnin, par son livre à sensation (publié chez un éditeur par ailleurs très connu pour ses publications ésotérico-occultes) a jeté le trouble chez beaucoup de chrétiens et de juifs. Il a coupé l’Écriture Sainte de son essence historique [20], prophétique, morale et mystique.
    Les équipes de recherche juives, protestantes et catholiques travaillent sur l’intelligence et l’unité de la lettre, inspirée et habitée par l’Esprit Saint. Nous-mêmes faisons ces recherches en vue de servir la Parole de Dieu. Parmi les chercheurs armés des outils et du logiciel capables de travailler sur le texte original de la Torah, on peut donc légitimement se demander si une déontologie ne doit pas être explicitée et appliquée. Distinguer les approches gnostiques [21], ésotériques ou divinatoires, de l’approche rigoureusement théologique, qui revient à pratiquer dans un premier temps une exégèse littérale respectueuse de l’intention de l’auteur sacré du texte, devient indispensable et urgent.
    Il faut expliquer aux lecteurs du livre de Michael Drosnin que l’approche judéo-chrétienne de ce travail de recherche implique la Foi et le respect de la Loi Divine : elle ne s’appuie en aucun cas sur la Kabbale [22] magique qui rejette la méthode interprétative de la Loi de Moïse contenue dans les Traditions juives et chrétiennes. Elle n’est pas un chapitre à rajouter à la gnose ésotérique qui recherche la connaissance à caractère occulte ou initiatique. Elle est tout intérieure à l’étude de la Révélation objective, à la lumière de la Tradition, du Magistère et de la Foi. Notre approche a donc pour but de dégager les enseignements révélés en exégèse littérale, grâce à la rapidité des instruments informatiques de lecture, d’écriture et de calcul.
    En résumé, Drosnin travaille sur la lettre seule, vide et morte. Il ne sert pas la Parole... Il s’en sert à des fins millénaristes [23] et mercantiles. Merci à tous ceux qui, au contraire, sont fidèles à l’esprit profond du judéo-christianisme et poursuivent ces recherches informatiques sur la Bible avec humilité et amour de Dieu.
    BIBLIOGRAPHIE
    ABELLIO (Raymond), La Bible, Document Chiffré, Gallimard, 2 t., Paris, Gallimard, 1949.
    BARDET (Jean-Gaston), Le Trésor Sacré d’Israël, Paris, Trédaniel, 1987, 2è édition.
    Bible Osty, Paris, Seuil, 1973 (avec la collaboration de Joseph Trinquet).
    Bible Koren, Jérusalem, éd. Koren, Hertzog 33, Yerushalayim, Israël.
    Catéchisme de l’Église Catholique, Paris, Mame/Plon, 1992.
    DANNEELS (Godfried), Le Christ ou le Verseau ?, (Parole de Vie n° 191), Mechelen, Service de Presse de l’Archevêché de Malines-Bruxelles, 1991.
    DELANNOY (Pierre), Le Code Secret de la Bible, Paris-Match, 29 mai 1997, p. 104-106.
    DROSNIN (Michael), La Bible : Le Code Secret, Paris, Robert Laffont, 1997 ; trad. par Arthur G.H. Ynchboat, d’après l’édition originale, The Bible Code, Simon & Schuster, New York, 1997 (à déconseiller fortement).
    EPHRAÏM (Frère), éditorial in Feu et Lumière, n°65 (juillet-août 1989).
    Expériences, n°65 (1er trimestre 1987) : "La découverte Extraordinaire de 8 Savants Israéliens", Carhaix (Bretagne).
    Expériences, n°73 (1er trimestre 1989) : "La Troisième Partie de la Découverte des Savants Israéliens", Carhaix (Bretagne).
    FELLER (W.), An Introduction to Probability Theory and Its Applications, 2, Wiley, New York, 1966.
    GURFINKIEL (Michel), "La Bible a-t-elle été écrite sur ordinateur ?", Valeurs Actuelles, 5 juillet 1997, p. 8-12.
    Hashomer Israël, Revue Messianique, n° 38 (1987), Carhaix (Bretagne).
    Jewish Studies Magazine, Yeshiva Dvar Yerushalayim, 33, Jerusalem, été 5747-1987.
    KATZ (Moshe), CompuTorah : On Hidden Codes in the Torah, Israël, U.S.A., 1997.
    MACHET (Anne), La Voie des Nombres : Comptes de la Bible Grecque, Presses Universitaires de Lyon , 1996.
    Mystical Leaps "Search" : Unlock the Secret Codes of the Torah, documentation éditée par Torah Soft, Jerusalem, Israël, POB 61419.
    PANIN (Ivan), La Structure Numérique de la Bible, textes sélectionnés et traduits par Maurice Bertrand, Paris, Association Ivan Panin, 1990.
    Phénomènes Numériques dans la Bible, numéro hors-série de Keren Israël, n°2, éd. par Jean-Marc Thobois, Carhaix (Bretagne), 1989.
    POPINEAU (Guillaume), 70 et 72 : Nombres Sacrés, Garches, 1992.
    RAUSKY (Franklin), La Bible, Les Codes Secrets, notice Bibliographique, Actualité Juive, n° 528 (31 juillet 1997), p.26.
    RIPS (Eliahu), WITZTUM (Doron), Conférence de Presse de Juin 1997, Israël.
    THOBOIS (Pasteur Jean-Marc), "Mise en garde des savants Israéliens au sujet d’un livre à sensation consacré aux codes de la Bible", supplément à Keren Israël, Carhaix (Bretagne), juin 1997.
    TRULL (D.), Cracking « The Bible code », Parascope, 1997 (www.parascope.com/articles/0697/bibcode.htm).
    VALDÉS (Don Ariel Alvarez), Quel Sens Donner aux Chiffres dans la Bible ?, trad. de l’espagnol par C. Bertrand.
    VAN INGEN (Frédérika) et BONY (Eric), "Le Code de la Bible", Nouvelles Clés, n°16 (Hiver 1998), p.12-23.
    WEISSMANDEL (H.M.D), Torah Hemed, Yeshivath Mt. Kisco, Mt Kisco, 1958.
    WITZTUM (Doron), HaMaimod HaNossaf, (La Dimension Additionnelle), Israël, 5749-1989.
    WITZTUM (Doron), RIPS (Eliyahu), ROSENBERG (Yoav), "Equidistant Letter Sequences in the Book of Genesis", Statistical Science, Volume 9, n°3 (Août 1994).
    Mickaël N., Informaticien
    [1] Les cinq premiers livres de la Bible : Genèse, Exode, Lévitique, Nombres, Deutéronome.
    [2] Voir les articles du Pasteur Jean-Marc Thobois publiés dans la revue Expériences.
    [3 ] C’est-à-dire des méthodes de calcul qui seront ensuite programmées en langage informatique.
    [4 ] Un des autres précurseurs, un russe agnostique né en 1855, expatrié aux États-Unis, puis converti au christianisme, s’appelle Ivan Panin.
    [5] Une occurrence est l’apparition d’un mot, d’une expression, d’une lettre, d’une phrase etc ...
    [6] Un mot-clé : mot important pour la connaissance d’un thème. Exemple de thème : Moïse. Exemples de mots-clés : Pharaon, Sinaï, Buisson-ardent, Tables de la Loi, Égypte, Terre Promise, Josué, etc...
    [7] Voir l’article de D. Witztum, E. Rips et Y. Rosenberg publié dans la revue américaine Statistical Science.
    [8] Comme nous l’avons déjà expliqué, un tableau est en ensemble de caractères hébraïques de largeur x et de hauteur y composé d’une suite ininterrompue de lettres juxtaposées provenant de la Bible (c.à.d. sans ponctuations, ni espaces, ni annotations).
    [9] Doron Witztum est physicien au Jerusalem College of Technology, Eliyahu Rips est mathématicien et informaticien à l’Université Hébraïque de Jérusalem. Ils font partie de l’une des deux équipes de savants israéliens qui travaillent sur la Torah depuis des années, avec des ordinateurs parmi les plus puissants au monde.
    [10] Terme hébraïque pour désigner ce que les chrétiens nomment Pentateuque (Torah veut dire « Loi »).
    [11] Torah Search 386 Professional, édité par Torah Soft, P.O.B. 61419, Jérusalem, Israël.
    [12] Donc, méthodologique, en l’occurrence.
    [13] Mots topologiquement et sémantiquement voisins du mot-clé qui a servi à la recherche.
    [14] L’auteur lui-même fait ce type de remarque à propos de sa prédiction relative à l’assassinat de Yitzhak Rabin. Les savants Israéliens l’ont fait avec le Président français à propos de son élection. Ils ont quant à eux eu l’honnêteté de ne pas prédire l’événement mais de vérifier sa description, présente dans la Bible, une fois l’élection de Monsieur Chirac annoncée dans la presse.
    [15] Nous précisons que la dite lecture se fait bien sûr en hébreu, en verticale (de haut en bas ou de bas en haut), en diagonale ou en horizontale (de gauche à droite ou de droite à gauche). La combinatoire des possibilités textuelles est impressionnante (quelques centaines de milliards de lectures). L’absence de voyelles accroît encore le nombre de combinatoires, contrairement à des tableaux composés de caractères grecs (dans saint Matthieu par exemple) où la précision est exemplaire à cause de la présence de voyelles.
    [16] Ces prophètes sont les Navi, d’où la suite de la Torah, Navihim, le livre Des Prophètes.
    [17] Cette interdiction a d’ailleurs été répétée et expliquée pédagogiquement par l’Église dans son Nouveau Catéchisme de l’Église Catholique, § 2110 à § 2117.
    [18] 2 Co 3, 6-7 (traduction Osty)
    [19] Cette comptabilité officielle a été faite par ordinateur à partir d’une version informatique de la Bible "Koren", qui est le couronnement de plusieurs siècles de travail philologique en Israël. On peut se procurer une version papier de cette Bible dans quasiment n’importe quelle bonne librairie juive en Israël ou en Europe.
    [20] Il s’agit, ici, de l’Histoire du Salut et non pas de l’histoire réductrice et superficielle de Drosnin, entachée d’idéologie.
    [21] La gnose est une connaissance pour la connaissance dont la finalité est de se sauver soi-même (cf. Cardinal G. Danneels)
    [22] Nous parlons de celle du Moyen-Age et non de celle des premiers siècles de notre ère véhiculée par les "Docteurs d’Israël" comme Hillel, Gamaliel, Rabbi-Aqiba, etc ...
    [23] Le Millénarisme est une doctrine religieuse, condamnée dés les premiers siècles par l’Église (et d’ailleurs par Jésus lui-même), annonçant la période des « mille ans » prophétisée dans l’Apocalypse. Par extension, il s’agit de toute doctrine visant à annoncer la date ou les circonstances précises du retour du Christ, de la fin du monde, etc... Drosnin prétend dans plusieurs de ses tableaux (notamment p. 272-275) prédire la fin du monde et l’avènement de l’Holocauste atomique