Entretien avec Père Nathan le 2 janvier 2016

Comment vivre de la charité
vis-à-vis de nos enfants non-nés ?



Père Nathan. C’est très important et ce serait bien de le diffuser autant que possible.

Comment fait-on, comment une maman, comment une famille fait-elle pour retrouver son enfant qui est non-né, ses enfants non-nés ?
Comment fait-elle pour se réconcilier ?
Pour voir qu’il est vivant ?
Pour voir que c’est elle qui le fait vivre ?
Pour voir que c’est lui qui vit à travers elle aussi ?
Pour voir qu’il y a encore quelque chose de vivant dans sa liberté incarnée, dans sa mémoire ontologique, dans son corps primordial qui est en elle, et comment il peut comme Saint Jean Baptiste lui communiquer des surabondances au centuple du fruit des Sacrements qu’elle ne sait pas opérer elle-même.

Elle peut aussi donner la vie surnaturelle et la Res de chaque sacrement. Les enfants non-nés peuvent être justifié par la grâce, rentrer dans une confirmation de la puissance pour être les témoins dans la Transverbération du Cheval blanc de l’Apocalypse en eux et constituer cette cohorte irrésistible, cette chevauchée qui est symbolisée, et pas seulement symbolisée puisqu’elle est incarnée dans le Cœur vivant de Jeanne d’Arc, Reine de France.

Jeanne, c’est Saint Jean au féminin, c’est l’Eglise johannique qui est Epousée, c’est-à-dire que le Verbe de Dieu dans la Transverbération s’efface dans l’Union Hypostatique déchirée et devient Epousée, devient la Personne incréée de l’Epousée, deuxième Personne de la Très Sainte Trinité, dans la Sponsalité incréée du Père. A à ce moment-là, bien-sûr, nous rentrons dans le Trône et l’Autorité de Saint Joseph peut opérer à travers à travers le corps primordial dont nous avons repris possession : « La pleine prise de possession de soi dans l’innocence divine du corps » : le texte que je vous ai lu hier du Pape Jean-Paul II. Tous ces enseignements d’une immense clarté ont été donnés.

Ils ont été donnés parce les chrétiens de ce monde font du tambour pour faire de la purée innommable parce qu’ils sont paumés, ils sont dans une confusion totale alors ils se défendent par des mécanismes de défense où ils perdent leur temps, où ils pataugent dans un marécage terrible. Il faut avoir beaucoup de compassion pour les catholiques d’aujourd’hui.

Je me rappellerai toujours que le Père Emmanuel me disait : « Ecoute Patrick, je tiens à te dire tout de même : moi, je n’y serai pas, mais il va y avoir une confusion totale ! »

C’est l’esprit qui est confus. Pourquoi ? Parce qu’il ne voit pas. Il faut donc enseigner la vérité de l’Eglise pour pacifier, pour qu’il n’y ait pas cette confusion. Quand il y a la confusion vous êtes obligés de développer des mécanismes de défense, à ce moment-là vous rentrez dans une spiritualité dialectique – le philosophe parle maintenant – et si vous développez une philosophie dialectique, du côté de la matière vous rentrez dans le matérialisme dialectique, du côté de l’esprit vous rentrez dans la dialectique hégélienne, et avec ces deux mâchoires vous êtes absorbés directement par l’Anti-Christ. Il faut n’avoir aucun mécanisme de défense. C’est pour ça que la plupart des gens qui seront dévorés par l’Anti-Christ seront d’abord des catholiques, parce qu’ils rentrent dans une dialectique. Dialectique : deux : au niveau de l’esprit ça donne la dialectique hégélienne, au niveau de la matière ça donne la dialectique matérialiste, et au niveau de l’amour et de l’humanité ça donne le couple.

« Ah moi, je suis un catho formidable : je connais tous les messagers, tous les messages je les connais, » – ici personne, heureusement – « la doctrine de l’Eglise, sa théologie mystique divine pratique sur le pos de l’infaillibilité de l’acte de Rédemption universelle et de Compassion universelle de tous les membres vivants de l’Eglise vivante pour passer le mur des cinquième et sixième Sceau de l’Apocalypse, ça je n’en connais pas le premier mot, mais les messages, vous pouvez aller dans ma bibliothèque, j’ai plus de douze mille pages. »

« Une confusion totale », disait le Père Emmanuel.

Tous ces messages, vous pouvez toujours les consulter, vous n’avez pas besoin de moi.



La Messe de Réconciliation pour les non-nés


Par contre là où nous avons besoin de la Doctrine de l’Eglise dans l’urgence des temps, c’est quelque chose qui n’est pratiquement jamais communiqué et qui nous indique comment on vit de la charité vis-à-vis des enfants, vis-à-vis des apôtres des derniers temps, vis-à-vis des  enfants qui sont sous l’Autel, comment on fait une Messe de réconciliation dans la Mission invisible des Personnes divines dans notre âme, dans notre cœur, dans notre chair, pour rentrer dans leur âme, leur cœur et leur chair dans la Mission invisible du Verbe de Dieu et du Saint-Esprit en nous.

C’est une chose qui est je pense assez facile à apprendre, à enseigner et à agir, à mettre en acte.

C’est pour ça d’ailleurs que nous avons fait ces Messes de Cotignac depuis presque trente-cinq ans, à peu près…

Une participante. Vingt-cinq ans, non, plus : vingt-huit, presque trente ans.

Père Nathan. … presque trente ans, pour qu’il y ait ce réveil, ce passage libre de l’innocence divine des non-nés à une paternité, une maternité, l’incarnation d’un amour surnaturel avec eux.



La Messe de Justification
quand l’enfant a donné son nom


La deuxième Messe, si je puis dire, entre guillemets, Mission invisible des Personnes divines, que nous devons apprendre – parce que cela s’apprend ; si on ne nous l’apprend pas, si nous ne l’entendons pas, nous ne le ferons pas – :

Il va falloir aussi bien sûr que cette adoption soit incarnée, qu’elle soit frémissante comme dit le Pape Jean-Paul II, et qu’elle soit actuelle, qu’elle soit vivante, qu’elle soit féconde, qu’elle soit efficace et que ce soit la personne elle-même qui soit présente, et qu’elle puisse se manifester dans la réciprocité de l’accueil et du don, et donc qu’elle puisse donner son nom.

Ces enfants donnent leur nom. Ce n’est pas toi qui donnes un nom, c’est l’enfant qui communique son nom, parce qu’ils sont les Pères des derniers temps.

Lorsque ces enfants ont donné leur nom à leur maman, leur papa, leur frère ou leur sœur, alors à ce moment-là oui, il y a une Messe, puisqu’ils indiquent la vérité de notre amour pour eux dans l’incarnation de notre amour spirituel incarné.

Ils ne donneront leur nom que lorsque nous aurons abandonné vis-à-vis d’eux un comportement d’avortement.

Si nous faisons célébrer une Messe en disant : « J’ai un enfant non-né, allez, je l’appelle Charles », vous avez bien compris le problème. J’ai célébré une Messe pour six enfants non-nés dont je me rappelle encore les prénoms. Quand j’ai revu la maman un an après, je lui ai demandé : « Vous rappelez-vous les prénoms que vous leur avez donné ? » et la maman m’a répondu : « Non, je ne m’en rappelle pas ». Elle avait fait célébrer une Messe et pour elle c’était terminé. Cela veut dire que tu n’es pas la maman, tu ne lui donnes pas la vie. Les survivants tu t’occupes d’eux, tu pries pour eux, tu les allaites, tous les jours, tu n’oublies pas leur nom, tu n’oublies pas qu’ils sont là.

La deuxième Messe pour chacun d’entre eux est célébrée quand ces enfants-là manifestent à la mère, au père, au frère, à la fratrie, que : « Ça y est, oh merci !, j’existe vraiment pour toi » :

c’est du réel, ce n’est pas métapsychique, ce n’est pas une imagination, ce n’est pas le produit d’une espèce de déplacement-cristallisation-justification-et-on-passe-à-autre-chose, c'est-à-dire un comportement de défense face à un complexe qui fait surgir en nous tous les désastres des conséquences de la conscience de culpabilité, ce dont les petits exercices d’agapè pneumato-surnaturelle que nous vous avons donnés déjà depuis huit ans vous permettent de vous débarrasser.

Si la voie est bouchée, il faut déboucher cette voie, apprendre simplement à faire en sorte que cette adoption, cette vie, cette lumière, cet amour et l’incarnation même de notre paternité, de notre maternité, de leur filiation, de notre fratrie, soient réels, soient vivants, soient humains.

Le signe, c’est que le nom vous est donné. Vous vous réveillez le matin et vous entendez son nom.

Une participante. Il suffit parfois simplement d’en parler, comme le Père le fait, et vous avez un nom qui vous a traversé.

Père Nathan. Ah oui, il y a mille manières.

La même participante. Si vous avez un nom qui vous a traversé, c’est qu’il y a un enfant quelque part qui est en train de vous appeler. Nous avons eu trop d’exemple pour penser que ce n’est pas vrai. Et après il y a des libérations extraordinaires.

Père Nathan. Au moment donc où l’enfant dit son prénom, il manifeste par là qu’il est réintroduit dans la famille humaine. Quand il est réintroduit dans la famille humaine, il peut donner son nom. Tant qu’il n’est pas réintroduit dans la famille humaine il ne donne pas son nom, alors on peut lui imposer un nom mais il faut faire attention, il ne faut pas faire de blague, parce qu’on ne peut pas dire : j’immole un enfant et sur sa tombe je mets un nom, non, ce n’est pas comme ça. C’est pour ça qu’il y a une première Messe pour chacun de nos enfants, il y a une deuxième Messe lorsqu’il existe vraiment pour nous.

Lorsque l’enfant existe vraiment pour nous, qu’il est corporellement présent à nous avec son nom, alors à ce moment-là une Messe est célébrée pour la justification, qu’il reçoive la grâce sanctifiante qu’il n’a pas reçue par le Baptême, qu’il soit incorporé au Corps mystique vivant de Jésus vivant et qu’il soit consacré à son Ministère surnaturel de charité, d’espérance et de foi pure jusque dans le Saint des Saints de la Paternité vivante du Père. Cela, c’est la deuxième Messe.



La Messe Perpétuelle
pour la Communion des non-nés


Ensuite, nous ne l’abandonnons pas pour autant, évidemment, comme nos enfants, donc il va falloir par exemple qu’il puisse communier au Pain vivant descendu du Ciel. A chaque fois que je vais communier, je vais donner à mon enfant la Res, la Présence réelle de l’Eucharistie.

Mais si je n’y pense pas ?

Alors je propose de faire que ce soit possible de confier le prénom de cet enfant à l’Eglise, au prêtre, de manière que son prénom, son nom, soit sur l’Autel pour une Messe une fois par jour pendant cinquante ans tous les jours : la Messe Perpétuelle pour la Communion des enfants non-nés.

Si tu n’es pas capable de te rappeler du prénom de ton enfant, au moins tu charges quelqu’un de lui donner la Communion tous les jours pendant cinquante ans.

Pourquoi ?

Parce que vous le savez, je vous l’ai déjà dit, un enfant non-né ne disparaît pas dans son corps vivant puisque son corps vivant reste vivant dans les cellules staminales embryonnaires dans le corps de la mère pendant presque cinquante ans, à raison de quoi il peut être consacré aussi.

Pendant qu’il est nourri de l’Eucharistie, de la Présence réelle du fruit du Sacrement, il va grandir dans le centuple du fruit de ces Sacrements, il va nous dépasser très vite, et donc nous pouvons le consacrer jusque dans sa chair en le plongeant dans le Sang Très Précieux du Calice.

Nous ne pouvons pas tout dire d’un seul coup, mais ils sont les apôtres de la plénitude sacerdotale de la sainteté des derniers temps, et bien sûr ceux qui ont été créés par Dieu en disant Oui à la vocation sacerdotale auront fonction sacerdotale. Mais cela, c’est une autre affaire.

Une participante. Et nous avons eu des témoignages du Brésil où ils font aussi la même Messe que nous, même origine. Vous savez, le Seigneur travaille comme Il veut. Et comme il y avait un évêque là-bas qui y était très favorable, il a institué une congrégation, une communauté de religieuses pour préparer, comme il y a énormément de prostituées là-bas, il y avait des femmes qu’il avait pris et donc elles avaient préparé pour cette cérémonie. Au moment de la célébration, presque toutes ces femmes ont eu un flash leur expliquant comment leur propre mère avait essayé d’en avorté sans réussir, et avec quel instrument, elles l’ont su. Ils sont très charismatiques, les Brésiliens, ils sentent beaucoup de choses. Et puis il y avait un qui s’était manifesté à sa mère, sa mère lui a demandé : « Mais de quoi est-ce que tu souffert le plus ? » – ça  faisait trente ans – il a dit : « De l’oubli. Tu m’avais totalement oublié. » La peine de ces enfants n’est pas physique, c’est le fait qu’on ne s’en souvienne plus. Ils ne sont pas encore en Dieu, ils sont là à attendre que nous les remettions en mémoire et c’est pour ça que nous faisons cela au moment du mémento des morts à la Messe. Et quand je pose la question aux prêtres : « Est-ce qu’il ne faudrait pas s’en souvenir à la Messe ? », eh bien presque tous les prêtres me disent : « Ah oui ! », ils comprennent très bien qu’il faut s’en souvenir à la Messe.

Père Nathan. C’est l’enseignement du Pape Jean-Paul II. J’ai vu un texte, c’était il y a huit jours, je ne me rappelais plus la date : c’était à Noël de l’an 2000 ou 2001 – ça m’est encore sorti de la tête, mais c’était un jour de Noël – qu’il a remercié tous les prêtres qui au mémento de la Messe, quand nous invoquons pour les engloutir dans la Présence réelle du Sacrifice de la Messe que nous célébrons en cet instant, invoquent, c’est-à-dire – invocere – qu’ils donnent explicitement et de manière audible à l’intérieur du Sacrifice eucharistique le nom des enfants non-nés et avortés. Il a remerciés tous les prêtres qui faisaient cela. En les remerciant, c’était une manière pour le Pape Jean-Paul II de leur demander de le faire, bien-sûr, et à tous les catholiques.

Il faut savoir où est le fer de lance de la victoire sur Lucifer, et surtout sur l’Anti-Christ d’abord. Le fer de lance est là. La troisième guerre mondiale touche ce point-là. C’est ce que Lucie de Fatima a dit au cardinal Caffarra : ça touche la procréation, la sponsalité et la fécondité de la famille avec Dieu. C’est là-dessus que porte la victoire au dernier moment.

Regardez, quand il va y avoir l’ouverture du cinquième Sceau de l’Apocalypse, c’est-à-dire cet accès libre, lucide et très extraordinairement guéri, avec une délivrance totale – le démon ne pourra pas s’approcher pendant ces vingt-deux minutes –, tout le monde va retrouver sa mère, tout le monde va retrouver son enfant, et donc regardez la joie de tous ceux qui ont été oubliés : ce sera une joie phénoménale !

Mais il faut bien que cette charité soit déjà présente avant, sinon nous ne pouvons pas en obtenir la manifestation.

D’accord ?

Donc réfléchissez bien à cela. Pas seulement réfléchir. Ce qu’il faudrait, c’est que nous fassions une interview avec des questions, en disant : « Mais comment je fais avec cela ? », qu’il y ait quelque chose qui puisse être communiqué, un petit peu comme nous avons fait les cinq interviews sur M et le 3eme secret. Parce que c’est simple, finalement. J’aimerais bien que nous ayons passé ces quatre jours pour pouvoir sortir cela et le donner. Ce serait bien de faire cela.

Priez, demandez au Seigneur, demandez-vous à vous-mêmes : « J’aimerais bien savoir comment on fait pour ça…, pour ça…, il y a un truc qui m’échappe aussi là…, ce serait bien de préciser ça…, ça…, ça… ou ça… ». Sur le plan concret, sur le plan vivant, pour ne pas que ce soit psy, vous voyez ?, pour que ce soit du réel, du réel vivant, du réel surnaturel, du réel incarné.

Une participante. Est-ce qu’un homme peut donner un nom ?

Père Nathan. Il peut recevoir, bien-sûr. Le papa…

La même participante. Non, donner. Pas recevoir, donner.

Père Nathan. Il reçoit d’abord et du coup il donne son nom. L’enfant donne son nom quelquefois au père, pas seulement à la mère. J’ai vu l’enfant donner son nom au père, pas à la mère. J’ai vu l’enfant donner son nom à son frère ou à sa sœur et pas au père ni à la mère.

Une participante. Souvent c’est à la personne qui prie le plus.

Père Nathan. Nous allons nous reposer, nous pacifier avec cela, avec ce souci tranquille, si vous voulez bien, de noter une question pratique sur le plan affectif, cordial, de la tendresse, de la présence. « Comment est-ce qu’on fait pour adopter la spiritualité du Monde Nouveau des apôtres des derniers temps ? » D’accord ?

Et puis demain, si Dieu nous le permet, nous essayerons de répondre à ces petites questions tranquillement, gentiment, les unes après les autres.

Et je crois que nous aurons fait quelque chose de sympa du point de vue de la charité pratique.

Parce que quand même, deux cents milliards d’enfants, ça fait beaucoup, et nous ne pouvons pas les laisser oubliés comme ça jusqu’à la prochaine session. Non, je crois que c’est maintenant. Deux cents milliards, c’est énorme ! Vous vous rendez compte la soif ?

Tu passes sur le chemin : les deux cents milliards sont de l’autre côté, tu passes de l’autre côté du chemin en disant : « C’est pas mon truc, moi je fais de la politique, je mobilise les cathos pour la manipulation pour tous pour qu’ils se fassent bien bananer et qu’ils ne regardent surtout pas » ? Non, nous ne pouvons plus faire ça.

Je crois qu’il faut que nous puissions proposer quelque chose comme l’Eglise peut le proposer à toute l’humanité. Je crois que c’est facile à faire. Nous allons le faire, nous allons essayer, enfin je vous le propose en tout cas, parce que depuis les années et les années que nous travaillons cela ensemble, je crois que nous pouvons quand même finir par le formuler de manière à peu près exacte, dans la ligne pure, vous ne croyez pas ?

Une participante. Mais peut-être qu’il faut accepter que le moment pour que ça passe vraiment n’était pas encore venu parce que les gens n’étaient peut-être pas suffisamment conscients de … de je ne sais pas quoi.

Une autre participante. C’est bien aussi parce que c’est l’année de la Miséricorde et que le Pape a quand même dit quelque chose d’important.

Père Nathan. Ce serait bien qu’il soit fait Miséricorde aussi à ces deux cents milliards d’enfants.

Une autre participante. Nous souhaiterions que le Pape adopte spirituellement, si on peut dire, entre guillemets, tous les enfants non-nés du monde quelle que soit la religion, et à ce moment-là, s’il leur ouvre les portes du Ciel, comme il a les clés, à ce moment-là il paraît que l’iniquité qui se déverse sur le monde se retournera comme une vague et convertira le monde, et Satan sera vaincu. Et tout dépend des enfants et de l’Eglise.

Une autre participante. Et de nous, donc.

Un participant. Padre Pio le disait aussi.

Père Nathan. Alors on va canoniser Mère Teresa de Calcutta qui disait cela aussi, n’est-ce pas ?


Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus le fruit de vos entrailles est béni.
Sainte Marie Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs,
maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen.


Merci beaucoup d’avoir accepté la destruction totale du mal de vous en passant par les portes de la Miséricorde.

Soyez bénis.



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