Père Nathan
Homélie du Baptême
de Saint Jean Baptiste



Evangile de Notre-Seigneur Jésus-Christ selon Saint Jean (1, 29-34)
Le lendemain, voyant Jésus venir vers lui, Jean le Baptiseur déclare : « Voici l’Agneau de Dieu, c’est lui qui enlève le péché du monde. C’est de lui que j’ai dit : « L’homme qui vient derrière moi est passé devant moi car avant moi il est ». Et moi je ne le connaissais pas, mais si je suis venu baptiser dans l’eau, c’est pour que lui soit manifesté à Israël. ». Alors Iohannan rendit ce témoignage : « J’ai vu l’Esprit Saint descendre du ciel comme une colombe et demeurer sur lui. Et moi je ne le connaissais pas, mais celui qui m’a envoyé baptiser dans l’eau, c’est celui-là qui m’a dit : « Celui sur qui tu verras le Saint-Esprit descendre et demeurer, c’est celui-là qui baptise dans l’Esprit Saint ». Moi j’ai vu et devant vous je rends témoignage, c’est lui le Fils de Dieu ».


Acclamons la Parole de Dieu.
Louange à Toi Seigneur.

Que ton Evangile Seigneur s’inscrive dans nos âmes, qu’il nous lave de toutes nos fautes, au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
Amen.

C’est pour ça que dans la prière d’Autorité de la nuit nous célébrons le baptême des juifs en même temps que le baptême des enfants avortés, et le baptême des enfants avortés en même temps que le baptême des juifs. « Celui qui m’a dit de baptiser dans l’eau, il m’a demandé de baptiser dans l’eau celui-là pour qu’il soit manifesté à Israël ». C’est une prophétie de ce que nous faisons aujourd’hui puisque l’Eglise baptise les enfants, elle forme la vie divine de Jésus dans les enfants qui n’ont pas la grâce et la forme de la vie divine de Jésus en eux, et c’est pour que Jésus soit manifesté à Israël. C’est pour ça que dans la prière d’Autorité, vous avez remarqué, les deux baptêmes sont simultanés.

Et puis alors il y a toujours, à propos de Jean Baptiste, le mystère lumineux de Jean Baptiste : « Celui qui m’a dit de baptiser dans l’eau ». Il y a quelqu’un qui lui a dit : « Baptise dans l’eau ». Ce n’est pas Jésus puisque Jésus, il le dit : « Je ne l’ai jamais vu,  c’est la première fois que je le vois, je ne l’ai jamais connu », « Je n’ai jamais vu le Messie, je ne le connais pas ». « Es-tu le Messie ? - Non, je ne suis pas le Messie ». Donc ce n’est pas Jésus qui lui a demandé de baptiser dans l’eau. Ce n’est pas la Torah. Alors c’est qui ?

« Celui qui m’a dit de baptiser dans l’eau m’a dit : « Quand tu verras l’Esprit Saint dans le baptême de l’eau sur celui-là, c’est lui qui baptise dans l’Esprit Saint, alors tu en témoigneras. Et comme j’ai vu l’Esprit Saint descendre sur lui, je témoigne : « C’est lui le Fils de Dieu ».

[D.] Donc c’est le Christ qui (…). Il devient Christ. De Jésus, c’est Jésus-Christ.
[P.N.] Mais il l’a toujours été. Il était le Messie avant d’être incarné dans la chair.
[D.] D’accord. C’est une question à laquelle je voulais avoir une réponse.
[P.N.] Il était le Christ avant, il ne l’est pas devenu.
[D.] Non, mais je voulais savoir.
[P.N.] Les gens disent toujours que le baptême de Jean Baptiste a établi Jésus comme Christ. Non. Ce sont les bouddhistes qui disent ça.
[D.] Non, ce n’est pas ce que je veux dire. Je veux dire : quand est-ce qu’il a été Christ ? Il était Christ avant.
[PN.] Beaucoup de gens disent ça, beaucoup de chrétiens disent ça, beaucoup de prêches, d’homélies disent ça : « Jésus est devenu le Christ ». Il n’est pas devenu le Christ, il est avant tous les siècles le Messie. C’est lui qui a engendré la Torah. C’est lui qui a engendré la Révélation de Moïse.

Mais ce n’est pas lui qui a dit à Jean Baptiste : « Tu baptiseras dans l’eau ». Ce n’est pas lui qui a dit à Jean Baptiste : « Baptise ». Ce n’est pas lui qui a dit : « Quand tu baptiseras, quand tu verras l’Esprit Saint sur l’un des fils d’Israël, tu le reconnaîtras : c’est lui qui baptise, non pas dans l’eau comme tu feras, mais dans l’Esprit Saint, et tu en témoigneras ».

[D. à voix basse] C’est la Paternité divine alors.
[P.N.] Pardon ?
[D.] C’est la Paternité divine.
[P.N.] Je t’avoue que je ne sais pas.
[D.] Ah, d’accord !
[P.N.] Je reconnais que je ne sais pas. Mais je dis : quelqu’un lui a dit. Il faudrait que j’aie une révélation exceptionnelle, mais jusqu’à maintenant personne n’a eu cette révélation pour savoir qui a dit à Jean Baptiste de faire ça.

[C.] Vous aviez proposé Melchisédech un jour.
[P.N.] Oui. Il a fallu deux témoins pour ça, c’est sûr.
[D.] Merci Catherine.
[P.N.] Melchisédech et Elie, il fallait les deux. C’est un ministère d’Elie, c’est Jésus qui l’a dit, c’est l’esprit d’Elie auquel il obéit. Mais pour ce qui me concerne moi, je ne sais pas.

Mais c’est fort, ce passage-là, parce que c’est un petit peu la prophétie de ce qui se passe juste avant la conversion d’Israël qui est inscrite sur le blason du pape Benoît XVI. Notre ministère catholique aujourd’hui s’inscrit dans ces paroles-là sous le souffle d’Elie et de Melchisédech, donc sous le souffle victimal d’amour et sous le souffle prophétique johannique de la Parousie du Seigneur.

On nous dit : « Vous qui baptisez… ». Ce n’est pas dans le droit canon. Nous n’avons aucune permission à demander pour ça. C’est le sacerdoce mystique qui donne cette liberté intérieure aux enfants de Dieu de pratiquer le baptême de l’eau, c’est-à-dire le baptême de la formation de l’éternité divine de la vie de Jésus dans tous ses enfants, et en particulier les enfants d’Israël et les fils d’Abraham. C’est ce que nous faisons la nuit, c’est sûr, à notre manière. Et je suis sûr qu’il y en a d’autres qui le font à leur manière à eux. Mais c’est la mission de l’Eglise d’aujourd’hui.

Le Nom de Jésus, c’est Agneau Fils de Dieu : « Voici l’Agneau de Dieu », premier verset,  « C’est lui le Fils de Dieu », dernier verset. C’est son Nom, sa présence personnelle, actuelle, vivante, féconde et efficace. Nous vivons à l’intérieur de son Nom et du coup son Nom, c’est-à-dire sa présence personnelle, actuelle, vivante, féconde et efficace, demeure en nous. Les engendrés de Dieu, c’est lui, c’est nous. C’est ce baptême du Saint-Esprit qui fait ça, et ce baptême d’eau, donc il faut sans arrêt faire le baptême d’eau et le baptême de l’Esprit Saint, le baptême de l’Esprit Saint et le baptême d’eau.

[D.] Mais nous, en tant que laïcs, nous ne pouvons pas baptiser avec l’Esprit Saint, nous pouvons le faire avec l’eau.
[P.N.] Le baptême dans le temps, c’est-à-dire que nous l’actuons par la foi, par la charité, dans la communion de l’Eglise avec le Saint-Père, la plus grande charité possible, le baptême dans le temps c’est avec l’eau, et le Saint-Esprit, Melchisédech et le souffle d’Elie le prophète, l’Esprit du Père, ce souffle extraordinaire qui vient d’en-haut, le Dieu vivant vient en nous pour faire le baptême.

La formation de la vie divine dans une âme qui n’a pas encore la  vie divine de Jésus en elle parce qu’elle n’est pas encore baptisée, le fait de former la vie divine dans une âme qui n’a pas la vie divine de Jésus en elle, peut se faire par la foi, dans l’obéissance de la foi, donc c’est mystique. C’est un envoi, c’est lié aux envois des Personnes divines du Saint-Esprit et de l’Epousée dans notre âme. Alors à ce moment-là nous baptisons.

Nous baptisons dans l’eau, nous utilisons des paroles, il faut bien que nous choisissions une liturgie dont nous espérons qu’elle est inspirée, mais ce qui compte c’est qu’à travers elle – ça c’est le baptême de l’eau –, à travers elle nous venions pénétrer dans ces âmes, et quand nous nous séparons d’elles, elles ont la vie divine formée en elles, elles sont baptisées dans l’Esprit Saint. Et petit à petit les deux doivent être inséparables, inséparés, indivisiblement actués.

Le jour de l’Avertissement, notre âme embrasée par la Pentecôte du Saint-Esprit dans l’Immaculée Conception en toutes les conceptions viendra pénétrer, habiter, s’extasier dans le diaphane intérieur de toutes les âmes de toute la nature humaine entière, et quand les vingt minutes s’arrêteront, la vie divine sera formée en toutes. C’est le baptême du Roi. Il y a l’Avertissement, d’accord, mais il y a ce que fera le Roi pendant l’Avertissement. Et le Roi, c’est qui ? C’est l’ensemble de ceux qui sont rentrés dans le souffle d’Elie, le souffle du Saint-Esprit, dans le sacerdoce de Melchisédech. C’est un sacerdoce mystique. Ça ne veut pas dire mystico. Mystique, ça veut dire réel divinement.

Si je dis : « Je vous baptise » et que tout le monde entend : « Tiens, il a dit : « Je vous baptise » », ça c’est le baptême de l’eau.
[D.] Oui.
[P.N.] Mais si tu es emporté par Dieu dans les âmes, tu déploies l’union transformante à l’intérieur d’elles en communion avec toutes, eh bien quand tu reviens à toi, la vie divine est formée. C’est pour ça que former la vie divine dans les âmes et baptiser dans l’Esprit Saint du baptême du Précurseur à partir de la Paternité, c’est-à-dire à partir des missions invisibles des Personnes divines dans notre âme, c’est notre plus grande gloire.

[D.] Le Seigneur a dit : « Je vais faire connaître mon union transformante à certains ».
[P.N.] Oui, j’espère, c’est le B-A-BA.
[D.] Mais moi je ne suis qu’au B-A-BA.
[P.N.] Vous l’avez largement dépassé ! Bien sûr que non ! Evidemment que non, voyons ! Vous êtes dans l’union transformante depuis 2008 au moins. Voilà, encore douze ans et c’est bon.
[D.] Ah oui !

[P.N.] C’est bien. Saint Jean Baptiste, c’est trop bien ! Qui l’a envoyé ? Pendant des années je me suis demandé : « Mais c’est qui, « celui qui m’a envoyé baptiser dans l’eau » ? ». Alors tu es obligé d’éliminer : ce n’est pas Saint Joseph, ce n’est pas la Sainte Vierge, ce n’est pas Dieu le Père, ce n’est pas Jésus, ce n’est pas Moïse.

[P.] Moi je dirais que c’est l’Esprit Saint qui est en lui.
[P.N.] Non, parce qu’il dit : « Celui qui m’a dit de baptiser m’a dit : « Quand tu verras l’Esprit Saint » », donc l’Esprit Saint ne peut pas lui annoncer et l’envoyer pour lui indiquer ce qu’il est lui-même dans sa manifestation future sur la terre. Non, ça ne peut pas être l’Esprit Saint. C’est en présence de Dieu, évidemment, mais qui l’a envoyé ? C’est de toute façon Dieu qui envoie en nos âmes sur la terre les missions invisibles des Personnes divines dans notre âme et dans notre chair. C’est de toute façon Dieu qui envoie mais il passe toujours par des intermédiaires. Alors c’est qui, l’intermédiaire ? Qui est l’instrument ? Eh bien je vous réponds : moi je n’en sais rien.

[P.] Un ange.
[P.N.] J’aime penser, parce que Jésus le suggère, que ce soit Elie le prophète, et Melchisédech, parce que ce sont les grands personnages d’amour victimal. D’ailleurs il commence par l’Agneau de Dieu et il termine par le Fils de Dieu, et entre les deux il y a l’Esprit Saint posé sur lui.

[S.] Il y a Hénoch quand même.
[P.N.] Il y a Hénoch, mais est-ce que c’est Hénoch qui lui a dit ça ? C’est possible. Tu peux toujours dire ça, oui. C’est pour ça, je vous dis que je n’en sais strictement rien mais j’aime de penser que c’est Melchisédech et que c’est Elie, c’est un double ministère. Mais en fait je n’en sais rien.

[S.] Ou Saint Jean, sinon ?
[P.N.] Mais Saint Jean est un disciple, donc ce n’est pas lui qui envoie le maître.

A la grâce de Dieu ! Nous, nous sommes envoyés pour baptiser les enfants avortés. C’est sûr que nous sommes envoyés pour ça. Ça nous est vraiment demandé par une nécessité d’amour intérieure, un tourment qui nous saisit pour le faire, c’est parfaitement clair, c’est vrai. Nous n’avons pas à faire quelque chose si nous ne sommes pas envoyés. Il y a des gens qui s’envoient eux-mêmes. Voilà, excusez-moi, c’était juste pour dire ça.

[C.] Mon Père, j’ai cherché dans le catéchisme, est-ce que c’est dit quelque part qu’on ne doit pas baptiser les enfants non-nés ?
[P.N.] Oui. Parce que le baptême dans le catéchisme a une signification précise : il a la signification du sacrement. Donc nous ne devons pas donner le sacrement de baptême à un enfant non-né puisqu’un enfant non-né ne peut pas recevoir un sacrement. Nous ne pouvons pas donner à un enfant non-né un baptême qui dans le catéchisme a signification de sacrement, mais nous pouvons former la vie divine en eux pour leur justification. Mais ce n’est pas un baptême comme sacrement, donc ils ne reçoivent pas le caractère du baptême sacramentel. Nous ne pouvons pas leur donner le caractère indélébile du baptême dans leur âme. Ce sont les précurseurs, nous leur donnons le baptême de Jean Baptiste, nous leur donnons le baptême de ceux qui dans leur offrande victimale d’amour rendent possible le baptême d’Israël, c’est-à-dire le baptême de la France en fait. Mais ce n’est pas un baptême sacramentel. Oui ils ont raison dans le catéchisme. On ne doit pas donner le sacrement de baptême aux enfants non-nés, c’est strictement interdit.

[S.] C’est un baptême…
[P.N.] C’est pour ça que nous ne disons pas que nous célébrons une Messe de baptême.
[S.] … de désir.
[P.N.] Nous célébrons une Messe de justification. Parce que nous ne pouvons pas donner un sacrement à quelqu’un qui est mort. Nous ne pouvons pas donner la communion eucharistique à une âme du purgatoire. « Je donne la communion à tous ceux qui sont présents et puis je convoque deux âmes du purgatoire, je prends une hostie et hop elle disparaît, c’est l’âme du purgatoire qui l’a prise » : non, je ne peux pas. Nous ne pouvons pas donner un sacrement à une personne qui est morte.

[P.] Il faut une intercession.
[P.N.] Mais je peux donner le fruit des sacrements à une personne décédée. Je peux faire miséricorde, donner la surabondance et la sanctification, l’incorporation et l’appartenance au corps mystique de la Jérusalem spirituelle, et la justification. Mais sur les cinq propriétés du sacrement, il ne reste justement que cette justification et cette présence de la grâce prévenante, c’est-à-dire la grâce sanctifiante rédemptrice universelle finale. Ça oui : le fruit des sacrements.

C’est pour ça que cette nuit c’était la prière de la Tournée de la Divinisation à partir des fruits des sacrements. Nous récoltons tous les fruits des sacrements, même les fruits des sacrements qui n’ont pas été célébrés, nous récoltons tous les fruits et nous arrivons avec ça dans les âmes pour qu’elles puissent leur donner elles-mêmes leur fécondité.

Ça oui, et ça ce n’est pas un sacrement, c’est un ministère d’amour, c’est un ministère sous le souffle d’Elie, donc c’est dans l’union transformante que nous pouvons le faire, c’est-à-dire à l’intérieur des missions invisibles des Personnes divines dans notre âme. Si à cet instant-là il y a une mission invisible du Seigneur dans notre âme, c’est-à-dire si nous sommes dans la cinquième, sixième ou septième demeure, là oui, si nous le faisons à cet instant-là, nous formons la vie divine dans les enfants.

Si nous ne sommes pas dans la cinquième, sixième ou septième demeure, si nous ne sommes pas dans un instant où se réalise la mission invisible d’une Personne divine dans notre âme, nous le faisons comme un baptême de l’eau et nous nous unissons à ceux qui en communion avec nous le font en même temps dans la mission invisible d’une Personne divine dans leurs âmes, jusqu’à ce que nous, nous puissions nous engloutir en eux et être dans la fameuse mission invisible d’une Personne divine dans notre âme.

C’est pour ça que je vous ai souvent dit que l’essentiel de la vie chrétienne, c’est d’apprendre ce que c’est que le fruit des sacrements et comment nous rentrons de manière habituelle – c’est un habitus, c’est un pli – dans la mission invisible d’une Personne divine dans nos âmes.

Si un catéchisme doit être donné sans donné ça, le catéchisme est stérile parce qu’il ne fait pas aboutir notre vie chrétienne à son terme échu, à son terme terminant. C’est complètement ridicule ! Tu as cultivé ton cerisier toute l’année, et au moment de la récolte, pas de cerises ! Le catéchisme n’est intéressant qu’à cause de la fin, dans sa cause finale. Sinon c’est du droit canon, et dans ce cas-là il n’y a qu’à regarder les règles religieuses des intégristes. Dans toutes les religions il y a des règles. Ça ne va pas plus loin. Ça n’a pas plus de valeur dans le droit canon du christianisme que dans les règles tibétaines. Il y a des études qui ont été faites là-dessus. Les règles du droit canon, les structures de la mystique chrétienne sont plutôt moins honorables – c’est René Guénon qui en a fait la preuve – que celles des autres religions.

Mais la cause finale, ce n’est pas pareil ! Le fruit des sacrements, les missions invisibles des personnes divines dans notre âme, l’union transformante ! Amen. Dire ces choses-là à quatre heures du matin, c’est…

Le Nom de Jésus ! C’est beau de rentrer dans une âme qui n’a pas la forme de la vie divine, invisiblement, sans aucune parole explicite de notre part, d’habiter dans son cœur, d’habiter dans son âme, se dilater, vivre la mission invisible de la Personne du Saint-Esprit  dans notre âme, déposer à ce moment-là le Nom de Jésus et s’en aller. C’est magnifique !

Tu es béni Seigneur, Toi qui nous donnes ce pain, fruit de la terre et du travail des hommes, nous te le présentons, il deviendra le pain de la vie.
Béni soit Dieu, maintenant et toujours.

Et quand tu as déposé le Nom de Jésus dans une âme, tu as formé la vie divine en elle et cette personne-là n’est plus condamnée, tu as supprimé sa condamnation. C’est le deuxième jour de la création de la vie divine dans son âme.

Comme cette eau se mêle au vin pour le sacrement de l’alliance, puissions-nous être unis à la divinité de Celui qui a pris notre humanité.



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