Père Nathan
Homélie de la Messe de Justification de Victor
4 octobre 2020



La méditation est du pape Benoît XVI.

Il n’y a que le Fils, Dieu le Fils, Ben Elohim, qui connaisse en entier Dieu le Père, et seulement le Fils, il est le seul à connaître Dieu le Père, lui, et ceux à qui comme Fils Dieu le Fils veut bien le révéler.

Commençons par cette dernière phrase : Seul le Fils connaît le Père, et celui à qui le Fils veut bien le révéler : elle est la clé de tout.

Le Fils, Dieu le Fils, seulement, connaît réellement Dieu le Père.

C’est que la connaissance dans la réalité de la Lumière présuppose toujours quelque chose que nous appelons l’égalité.

On connaît la formulation de Goethe dans le contexte d’une citation de Plotin. Il disait : « Si l’œil n’était pas solaire, il ne pourrait pas connaître le soleil ». Je répète : « Si l’œil n’était pas solaire, il ne pourrait pas connaître le soleil ».

Toute voie de connaissance inclut toujours, sous une forme ou sous une autre, une voie d’assimilation, une sorte d’unification intime et interne entre celui qui cherche à connaître et ce qu’il recherche, et cette identification varie en fonction du niveau ontologique de la personne qui connaît et de la personne qu’elle connaît.

Connaître réellement Dieu présuppose la communion avec Dieu, et l’union réelle, ontologique et vivante avec Dieu.

Dieu, personne ne l’a jamais vu ; le Fils unique, qui est dans le sein du Père, c’est lui qui nous donne de pouvoir le connaître (Jean 1, 18).

Dans sa prière de louange, le Seigneur nous dit exactement la même chose que ce qui figure à la fin du Prologue de St Jean. Cette parole fondamentale, elle est, comme nous le voyons aujourd’hui, l’explication de ce qui apparaît dans la prière de Jésus, dans son dialogue filial à la fin de l’Evangile.

Et en même temps, apparaît ici distinctement qui est « le Fils ». Il est nommé le Verbe, il est nommé le Fils, il est nommé Dieu le Fils.

Ce que ce terme signifie donc, c’est : l’accomplissement d’une communion de connaissance qui est en même temps une communion métaphysique et ontologique.

L’unité de la connaissance n’est possible entre Dieu le Père et Dieu le Fils, et ceux à qui le Fils veut bien le révéler, que si elle est une unité dans l’ordre de l’être et de l’existence.

C’est toujours assez réconfortant de voir le pape rentrer dans Goethe et dans Plotin pour nous expliquer Dieu le Père et Dieu le Fils, la distinction des Personnes.

Il y a une unité.

Et Dieu le Fils nous révèle Dieu le Père parce qu’il veut que ce soit à nous que ce soit révélé.

Si nous voyons dans notre vie contemplative, dans notre vie intérieure, dans notre vision vivante, réelle et… pas expérimentale – ce n’est pas ça, ce n’est pas beau comme mot, expérimentale – mais dans notre vie d’oraison où la chair, le sang, le corps, tout voit, tout est entièrement en train de voir, voit, pénètre et découvre la divinité de Dieu le Fils en elle pénétrant la divinité de Dieu le Père : ceux qui sont engendrés de Dieu dans leur oraison, c’est parce qu’ils ont été choisis, c’est une grâce qu’on appelle la grâce sanctifiante.

Pour rentrer dans la connaissance de Dieu, il faut que nous soyons réengendrés, il faut une nouvelle conception qui vient d’en-haut, qui se joint à notre conception d’en-bas et qui engendre en nous une Immaculée Conception purement divine et quasi incréée.

Tu ne peux pas connaître Dieu si tu n’es pas toi-même Dieu réellement, par participation peut-être, mais pas seulement par participation. Nous voyons très bien Marie par exemple : ce n’est pas seulement par participation qu’elle est la source conjointe de la grâce et de la gloire de Dieu, c’est par maternité, c’est une fécondité qui est inscrite à l’intérieur de la divinité produisant la divinité dans l’incréé.

Nous ne pouvons pas continuer à marcher sur la terre, sur la terre chrétienne, sur la terre promise dans le Corps mystique du Christ comme membres vivants de Jésus vivant, si nous ne regardons pas la réalité intime qui est en nous : l’engendrement éternel de Dieu : nous sommes « Lumière née de la Lumière, Dieu véritable né du Dieu véritable, engendré, non pas créé ».

Et ceux que Dieu voit, qui par la foi sont allés au-delà du créé pour s’engloutir merveilleusement, pour s’écouler délicieusement dans la Vérité toute entière, qui acceptent ce qu’ils sont devenus, qui disent Oui à ce qu’ils sont, et qui sont les membres vivants du Dieu vivant à l’intérieur du Dieu vivant, ceux-là ont une vie d’égalité.

Il y a une complémentarité, pas seulement une complémentarité d’ailleurs mais il y a une affinité dans la vie d’union et d’abandon à l’intérieur de Dieu et Dieu s’abandonnant en nous, il y a une vie de sponsalité dans la grâce sanctifiante, et cette affinité implique, comme dit le pape Benoît, c’est vrai, une égalité.

C’est parce que par la foi nous allons toujours à la racine de l’Immaculée Conception de Dieu pour recueillir tous les fruits de la présence vivante de Dieu se livrant à l’intérieur de la présence vivante du Père pour multiplier transsubstantiellement cette présence vivante de sa propre nature, de sa propre personne, dans tous les membres vivants de Jésus vivant.

Il est beau d’ailleurs l’Evangile d’aujourd’hui (Matthieu 21, 33-43), il est magnifique !

Jésus, le Fils de Dieu, Dieu, vient, il éclate, il explose hors de l’Immaculée Conception, et il vient dire au peuple d’Israël, il vient dire à Abraham, à Moïse, il vient dire à ceux qui sont entièrement transfigurés, pour beaucoup d’entre eux, transfigurés par la grâce messianique qui est la sienne, il vient leur dire :

« Vous n’êtes pas allés jusqu’au bout. Vous êtes le peuple de Dieu mais il y a quelque chose qui fait que vous marchez en arrière, vous ne vous élancez pas jusqu’à Dieu. Vous êtes choisis par Dieu mais vous ne choisissez pas Dieu. Vous ne donnez pas à ma vigne son fruit. »

« Et même ça vous énerve, vous vous mettez en colère. Ce n’est pas possible, écoutez ! Et ça dure, ça dure ! Alors j’arrive au milieu de vous et vous voulez me tuer. Vous voulez tuer la personne même du Dieu vivant venu au milieu de vous ! Alors cette vigne, c’est-à-dire cette élection, ce choix, cette présence messianique… Je me suis donné de manière messianique dans ma propre vie depuis Abraham et Moïse, dans la foi de Marie. Entre la foi d’Abraham et la foi de Marie il n’y a aucune différence, c’est la même lumière surnaturelle, le même don. Et vous, qu’est-ce que vous faites ? Vous voulez tuer le Dieu vivant envoyé par le Dieu vivant au milieu de vous pour venir recueillir avec vous le fruit de la sponsalité d’une Jérusalem qui glorifie Dieu dans l’Esprit Saint. »

« En vérité je vous le dis, ce don de treize siècles où je me suis livré entièrement à chacun d’entre vous et à tout le peuple d’Israël, à toute la famille humaine engendrée de grâce divine, surnaturelle, messianique, transfigurante, et en répétant continuellement le don parfait de l’absolution, ça a abouti à ceci, c’est que je suis confronté au milieu de vous et que je vous inspire l’exaspération. »

« Eh bien la grâce sera retirée au peuple d’Israël. Votre nation, votre peuple, ne recevra plus la grâce, parce que ces treize siècles ont trouvé treize années dans l’Immaculée Conception et elle produit un autre peuple, et donc toute la grâce d’élection sera confiée à un autre peuple que le vôtre et ce peuple-là lui fera donner son fruit. »

Je trouve ça drôlement bien que Jésus ait dit ça, et Anne Catherine Emmerich dit que quand il disait ça, il a pointé le doigt sur les Romains qui étaient là, parce que les Romains qui étaient en Israël venaient de Gaule, ils étaient des Gaulois.

« Le Royaume de Dieu sera donné à une autre nation qui lui fera produire son fruit ».

Je trouve ça extraordinaire que Jésus leur ait dit en face.

Le véritable Israël de Dieu, le nouvel Israël de Dieu…

Et attention, Jésus, et nous c’est pareil, et les juifs c’est pareil, il ne regarde pas en arrière pour essayer de récupérer le morceau. « Celui qui regarde en arrière est impropre pour le Royaume de Dieu ».

Le véritable Israël de Dieu, c’est la France.

Le Règne du Sacré-Cœur, la victoire sur l’Anti-Christ, la venue du Fils de l’Homme venant sur les nuées du ciel, la mise en place du corps spirituel, la cause méritoire de la résurrection, de la première résurrection et de l’ouverture des temps, c’est la mission du véritable Israël de Dieu.

Si vous rajoutez à ces treize ans ces vingt ans, ces vingt siècles, vous arrivez à cette trente-troisième année de l’ouverture des trois derniers sceaux de l’Apocalypse.

Et ce qui nous arrive en ce moment, ce sont des gesticulations, vous comprenez ?, c’est un tintamarre, c’est pour détourner l’attention, mais la réalité c’est que nous touchons dans l’oraison, nous touchons dans la transformation de notre âme la découverte que nous sommes choisis pour vivre en présence de Dieu, en affinité avec lui, pour faire éclater le nouveau Nazareth du monde nouveau et le Noël glorieux du monde nouveau.

Si notre œil, notre vision n’était pas pleine du soleil, nous ne pourrions pas voir le soleil.

Pour l’éclatement de l’au-delà de la sponsalité glorieuse dans l’incréé, il faut au minimum une égalité, c’est-à-dire un amour de similitude.

Nous sommes semblables et notre vision de Dieu dans la grâce chrétienne, dans le fruit des sacrements, notre vision de Dieu fait que notre regard est ensoleillé du même soleil que le soleil incréé de Dieu, et donc il y a une pénétration de l’un en l’autre.

S’il n’y a pas un amour d’égalité, d’affinité, il ne peut pas y avoir d’amour, il ne peut pas y avoir cette émanation, cette ouverture des temps, cette cause méritoire de la royauté immaculée de Marie et de Joseph engendrant en le nouveau peuple de Dieu la cause méritoire de l’ouverture des temps, du corps spirituel venu d’en-haut, du miracle des trois éléments, du Règne du Sacré-Cœur se répandant partout à partir de la France, pas seulement dans le monde, mais dans le monde de la résurrection lui-même.

Il est extraordinaire, le fruit que nous devons porter à la gloire de Dieu, parce que le monde de la résurrection de la chair doit être lui-même envahi par le Règne du Sacré-Cœur, l’ouverture des temps, pour revenir ensoleiller la nouvelle jubilation du miracle des trois éléments et du monde séraphique sans limite et sans fin.

Toute la création nous appartient, et au sommet de la création il y a la lumen gloriae, la lumière de gloire, qui a happé, saisi, mobilisé, toutes les myriades angéliques, et puis les myriades et les myriades et les myriades et les myriades d’innocents qui ont dit Oui.

Qui ont dit Oui trois fois : une fois pour dire Oui dans l’image et ressemblance de Dieu, une fois pour dire Oui au don de leur vie dans le véritable Israël de Dieu et dans la charité, et une fois pour dire Oui dans le Oui de l’innocence divine triomphante de Jésus à l’instant de son incarnation.

Et ces trois Oui se sont conjoints pour faire d’eux des ressemblances parfaites de l’amour sans limite et sans fin de Dieu. Ils ont été choisis, ils ont vu.

Nous allons être de plus en plus éblouis, étonnés, de voir la réalité non seulement touchante mais évidente de la dignité, la grandeur, la profondeur, la splendeur, la lumière, la sainteté des enfants lorsqu’ils sont dans ce tourbillon, cette tornade d’amour, de lumière, de don, pour faire une nouvelle réalité avec l’ange avec l’Immaculée Conception de Dieu dans son innocence crucifiée, divine et triomphante.

Tous ces enfants-là sont donnés au nouvel Israël de Dieu pour arracher à Lucifer la nature humaine toute entière.

Avec une crainte, un tremblement, un frisson d’admiration, la découverte que font ceux qui sont à l’intérieur de Dieu en rentrant en communion avec les enfants avortés est extraordinaire !

On organise un confinement et puis dans la chambre de l’enfer on ne voit que deux discussions dans la plus grande urgence : une loi sur l’avortement et une loi sur la bioéthique. C’est débile mais c’est comme ça ! C’est absurde ! Ce mépris, cette ignorance sur la dignité, sur la royauté, sur la splendeur intérieure, c’est à donner le vertige ! Donc en ce moment on discute : « Voilà, on va passer l’avortement de dix à vingt semaines… », et dans la loi de bioéthique : « Oui, les avortements, c’est rien ».

Comment ça ? Ce n’est pas rien ! Ces enfants sont nos modèles. Ils sont nos modèles d’égalité de Dieu avec Dieu, d’égalité vivante de Dieu à l’intérieur de Dieu. Ils en sont les modèles parce qu’ils voient qu’ils ont été choisis, ils le voient et ils en rendent grâce.

Et si le Bon Dieu permet que les temps se prolongent, c’est parce que l’Eucharistie, elle est pour eux, elle n’est pas pour les gens de la terre qui ne les regardent même pas… ou qui les regardent mais ne comprennent pas.

Mais le Roi, le grand Monarque, le véritable Roi d’Israël, le Saint, la cause méritoire d’humilité substantielle qui dirige le monde du peuple de Dieu, choisi pour ouvrir les temps de l’affinité avec le corps spirituel qui doit ressusciter d’entre les morts avant l’apparition du sixième sceau de l’Apocalypse, lui oui, il est, un peu comme Ste Thérèse de l’Enfant Jésus, aspiré, attiré vers les enfants, englouti en eux.

Il circule dans cet escalier du ciel et de la terre avec les multitudes et les myriades d’anges qui montent et qui descendent, et il pénètre à l’intérieur de chaque diamant avec les multitudes et les myriades d’anges qui y pénètrent aussi dans le miracle des trois éléments.

Le Saint-Père réalise la prolongation des temps parce que l’Eucharistie est désormais célébrée pour que la Maternité divine de Marie engendre la vie réelle, vivante, le soleil brûlant de la divinité de Dieu à l’intérieur de ceux qui sont en affinité.

S’il n’y avait pas les enfants, il n’y aurait pas la prolongation des temps d’aujourd’hui et la France n’existerait plus depuis longtemps.

Quand Dieu nous regarde, quand les enfants nous regardent, ils sont tous suspendus à ce que nous puissions recevoir dans l’union d’abandon la vie divine à l’état pur.

Quand nous recevons l’Immaculée Conception, nous la laissons visiter notre conception.

Nous laissons dans l’Hostie la conception immaculée de Jésus, dans les premiers jours de sa conception dans le sein de la Vierge, visiter notre conception.

Lorsque nous laissons ces deux conceptions divines, si je puis dire, visiter notre conception, dans ce mélange des trois nous sommes en affinité avec la conception angélique d’avant la création de l’univers et nous avons capacité d’y pénétrer dans un flux et un reflux qui fait que nous sommes choisis, et l’engendrement du coup de la conception incréée de Dieu qu’on appelle la deuxième Personne de la Très Sainte Trinité est en affinité avec nous, il y a une égalité totale.

Et je supplie, je me supplie moi-même d’ouvrir largement toutes mes portes pour qu’il y ait cet engendrement incréé et vivant de Dieu de ces cinq conceptions ensemble et qu’il y ait le soleil, le royaume ensoleillé qui fait resplendir tous les soleils du monde incréé de Dieu dans le soleil du resplendissement de la grâce venant de la fin pour venir être notre soleil brûlant d’amour, notre vie.

Pendant treize siècles, Israël, les pharisiens, le sanhédrin, n’ont pas produit ce fruit.

La France et les chrétiens de notre génération sont choisis pour vivre dans l’oraison cette transformation, et s’ils sont les rois du monde céleste et incréé de Dieu avec les enfants, c’est parce qu’ils ont été conçus pour ça.

Nous avons été conçus pour ça, nous sommes nés pour ça.

La grâce en est donnée.
« Cette grâce sera donnée à un peuple » : cette grâce est donnée.

Il n’y a qu’une seule chose à faire, c’est d’être en disposition surnaturelle parfaite pour le recevoir et le laisser surabonder jusque dans le mariage spirituel, parce que c’est par la vision de Dieu que nous devenons Dieu.

Et vous voyez, la tentation contre ça, c’est de s’occuper du tintamarre pas seulement inutile mais attristant, stupide, idiot !

Alors qu’il y a une ligne pure qui est au fond de la Mère eucharistique, de Marie, et de l’infaillibilité du peuple nouveau de Dieu, qui nous entraîne, qui nous tire.

Une ligne pure qui en même temps a la forme de cercle glorieux et incréé.
Elle est en même temps séraphique, c’est-à-dire sans limite et sans fin.

En cette ligne pure tout devient immaculé et nous devenons ce pourquoi Dieu nous a fait naître sur la terre dans cette génération d’aujourd’hui.

En elle tout s’épure, tout s’immaculise, et nous voyons à ce moment-là tout ce qui se passe à l’intérieur de Dieu dans tous les mystères profonds incréés, et créés aussi, mais glorieux, intimes, qui scrutent toutes les profondeurs de Dieu dans chacun de ses mystères divins, nous rentrons dans la sanctification et puis nous nous laissons entièrement transformer dans la sponsalité, dans la Spiration, pour que nous puissions être les quasi incarnations du Saint-Esprit dans le mariage spirituel de l’union parfaite où c’est Dieu qui opère tout en tous : nous avons été choisis pour ça.

L’intention de la messe aujourd’hui, c’est pour un petit garçon.

Il n’est pas si petit que ça, il a l’âge de la sagesse, il nous a réclamé une messe pour rentrer dans le combat divin de la sainteté de Celui qui doit diriger tous les peuples avec le fond délicieux, merveilleux, exaltant, de la Croix glorieuse.

Alors nous allons célébrer la messe pour lui, pour qu’il y rentre, qu’il y soit ajusté et qu’il passe devant nous.

Il s’appelle Victor.

Nous allons dire Je crois en Dieu avec lui pour qu’il soit introduit dans les torrents sans limite et sans fin de la lumière surnaturelle de la foi qui se conjoint à la Lumière née de la Lumière, et qu’il soit lui-même engendré dans la Lumière comme Dieu vivant dans le Dieu vivant.


Je crois en Dieu le Père Tout-Puissant,
Créateur du ciel et de la terre,
et en Jésus-Christ, son Fils unique, Notre-Seigneur,
qui a été conçu du Saint-Esprit, est né de la Vierge-Marie,
a souffert sous Ponce Pilate, a été crucifié, est mort, a été enseveli,
est descendu aux enfers, le troisième jour il est ressuscité des morts,
il est monté au ciel, il s’est assis à la droite de Dieu, le Père Tout-Puissant,
d’où il viendra juger les vivants et les morts.
Je crois au Saint-Esprit, à la Sainte Eglise catholique,
à la communion des saints, à la rémission des péchés,
à la résurrection de la chair, à la vie éternelle.
Amen



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