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La théorie de la Guerre en Islam


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Exposé à partir de textes exclusivement musulmans…

Basé en grande partie sur : "l'Esprit d'Islam : Doctrine et Enseignements" par Afif A. Tabbarah, "Islam en Procès (Essai)" par Shawki Abu Khalil, avec versets Quranic fournis dans la traduction anglaise du Quran du docteur R. Khalifa.


La guerre est une nécessité sociale

Sans doute la guerre est une nécessité sociale que pratiquent les nations pour résoudre leurs problèmes sociaux : c’est le secret qui défie et défiera toujours les idéaux pacifiques. Des communautés humaines se sont engagées dans des batailles non seulement pour de simples buts d’ordre matériel, mais aussi pour subvenir à des besoins éminemment moraux. Quelques historiens expliquent que , en absence de guerre, le progrès et la civilisation auraient été rendus impossibles.

Hegel, un pionnier de l'étude du développement historique, par exemple, dit qu’un changement profitable pour l’Esprit ne peut avoir lieu que quand s'opposeront des forces contraires dialectiquement en lutte l'une contre l'autre pour qu'un nouveau sursaut, plus fort et plus noble que les précédents, émane de cette confrontation. Cette conception dialectique de l’histoire fut adoptée par Marx et Engels. ; et à la faveur du Coran, il apparaît qu’à cet égard, il a été largement prophétique de cette évidence quatorze siècles auparavant : [2:251]..... Sans appui de DIEU pour dresser quelques personnes contre d'autres, il y aurait le chaos sur la terre. Mais douches de DIEU cette grâce qui est la Sienne sur les gens.

L'Islam a pu également considérer la guerre comme un moyen commode de résoudre quelques problèmes sociaux : pour venir à bout d’une tyrannie, ou à quelconque phénomène faisant obstacle à la justice.

Après avoir atteint un certain niveau de progrès scientifique et culturel, des pays occidentaux ont toujours eu tendance eux aussi, en ce monde de modernité, à résoudre leurs problèmes par voie de guerre. Il ressort de là, sur le plan très logique du raisonnement humain, qu’on ne voit pas pourquoi l'Islam devrait avoir rejeté la guerre quatorze siècles durant, alors que son intention consistait à susciter un développement universel sur la scène tant religieuse que sociale. Cela réfute la vue des gens hostiles à l'Islam qui la condamne comme étant "une religion militaire" et qui "a étendu son influence par le seul glaive et par force" . Dans "l'Encyclopédie de l'Islam," dit McDonald, "la diffusion des enseignements de l’Islam avec la force du glaive est le devoir religieux de tout musulman." Dans la suite nous essayerons de réfuter cette critique malveillante.


La vision différente du judaïsme et du christianisme sur la guerre

Un simple regard sur les religions anciennes montre que le Judaïsme imposa la guerre à ses fidèles pour protéger leur existence comme pour étendre leur influence et leurs conquêtes sur la terre.

Le christianisme est alors venu, faisant de la guerre un mal en soi. Dans l'Évangile de Matthieu, le Christ dit : "je vous dis : ne résistez pas au mauvais et si on vous donne une gifle sur la joue droite, présentez lui l'autre."

Voyons aussi ce que dit Jésus à Pierre : "remets ton épée au fourreau, ceux qui saisissent l'épée périront par l’épée."

Quelques Chrétiens ont sacrifié leurs vies pour la paix, pour lutter contre les professions armées. D'autres Chrétiens ont fait des efforts énormes pour réconcilier des enseignements Bibliques avec les nécessités de l'État et leurs efforts ont abouti à une différentiation entre guerre juste et guerre interdite. Une guerre est juste , selon eux, quand le prince la décide, à condition que son motif soit véridique sans avidité ni cruauté. Au quatrième siècle, qui a vu s’établir un État sous la direction de Constantin , Empereur romain, le Christianisme n’a pas pu employer la force pour déraciner le paganisme de l'Empire romain.


L'appel de l'Islam à la Paix

Dans la loi internationale, il y a un jeu de règles bien établies concernant les obligations des nations l'une envers l'autre dans les temps de guerre et de paix. La première de celles-ci est qu'un pays devrait baser ses relations avec d'autres pays en des termes de paix pour qu'ils puissent échanger davantage et coopérer avec d'autres de manière enfin à promouvoir l'humanité . Des liens pacifiques comme ceux-ci, disent-ils, ne devraient être violés que dans des cas extrêmes qui nécessitent la guerre, et à condition que toutes les solutions pacifiques aient échoué dans les tentatives de dialogue qui ont pu être entreprises pour résoudre les problèmes.

C'est ce que l'Islam a toujours dit et expliqué, puisque les relations des musulmans avec leurs voisins ne sont pas autrement basés que sur la paix et la confiance mutuelles. L'Islam refuse le meurtre des gens simplement parce qu'ils embrassent une foi différente, il n’autorise pas non plus aux musulmans de se battre contre ceux qui ne sont pas d'accord avec eux sur des questions religieuses. Il recommande vivement à ses fidèles de traiter de telles personnes avec bonté : [60:8] DIEU ne vous oblige pas de donner un appui amical à ceux qui ne se battent pas avec vous à cause de la religion et ne vous expulsent pas de vos maisons. Mais vous pouvez leur prêter cet appui amical et être équitables vers eux. DIEU aime l'équité.

En un autre endroit, il est écrit : [4:90] ........ Donc, s'ils partent, s’ abstiennent de se battre contre vous en t vous offrant la paix, alors DIEU ne vous donne aucune excuse pour que vous vous battiez contre eux.

Nous avons aussi : [8:61] s'ils recourent à la paix, faites vous aussi confiance à DIEU. Il est l'Auditeur, l'Omniscient.
Les instructions comme celles-ci fraient la voie à l'établissement de la paix et entrent en harmonie avec la tendance contemporaine d’aboutir à l'abolition de toute guerre.

L'Islam, en fait, fait du souhait de paix une salutation spéciale que les musulmans échangent chaque fois qu'ils rencontrent en disant, "Paix à vous" (Assalamu ' Alaykum). Le musulman prononce aussi cette parole à la fin de chaque prière.


Les cas pour lesquels l’Islam permet de se battre

A. Guerre d’ autodéfense :
Le Prophète a continué à prêcher le Message de Dieu pendant des années sans aucun combat ( seulement onze campagnes ans ses dix dernières années ), supportant patiemment les effets nuisibles subis par lui par les Arabes de la Mecque et des Juifs de Médine ( qu’il finit certes par expulser , puis passer par le glaive ). Le prophète n'avait à ce moment-là aucune permission de Dieu (d’après le Q’oran) pour leur résister. Les événements se sont alors développés : les polythéistes utilisant des méthodes différentes pour oppresser les partisans. Finalement ils se sont décidés à tuer le Messager. Quand ce dernier apprit leur intention, il émigra à Médine où il fut chaleureusement accueilli par des amis qui ont engagé allégeance dans la cause de Dieu.

Les athées ne se sont pas contentés d’essayer de le tuer, mais ils provoquèrent des tribus non-musulmanes contre lui pour mettre fin à son message. Cette étape atteinte, Dieu a donné la permission à Mohammed de se défendre.

En examinant de près les passages Coraniques dans lesquels Dieu demande aux musulmans de se battre, nous trouvons en ces termes : la guerre est le seul moyen de chasser l'agression et la tyrannie. Dieu dit : [22:39] on accorde la Permission à ceux qui sont persécutés, puisque l'injustice leur est arrivée : DIEU est certainement capable de les soutenir. [22:40] Ils ont été expulsés de leurs maisons injustement, sans raison autres que parceq u’ils ont dit que : "Notre seigneur est DIEU." Sans le soutien de DIEU de quelques personnes contre d'autres, des monastères, des églises, des synagogues et des masjids - où le nom de DIEU est commémoré fréquemment - auraient été détruits. Absolument : DIEU soutient ceux qui le soutiennent. DIEU est Puissant, Tout-puissant.

Quant aux Partisans victorieux, Dieu dit : [22:41] Ils sont ceux qui, si nous les avons nommés comme des dirigeants sur terre, établiront la Prière (Salat) et la charité obligatoire (Zakat) et préconiseront la justice en interdisant le mal. DIEU est le dirigeant suprême.

La victoire militaire ne doit pas être motivée par un désir d’expansion ou de domination comme ce fut le cas pour des régimes coloniaux ; il ne devrait pas non plus être engagés pour contrôler des sources de richesse, ou par arrogance pour faire que domine une race sur une autre. Des partisans victorieux n’ont d’autre but que "d’établir des prières régulières" pour atteindre l'exaltation spirituelle dans le service de Dieu et pour épurer leur humeur. Ils "établissent la charité obligatoire" et établissent ainsi la justice sociale en soutenant le droit des indigents pour vivre une vie convenable. Ils "préconisent la justice" en étendant la bienveillance partout et pour tous, "interdisant le mal" , se battant contre le mal et la corruption, les déracinant de la société.

Le Messager s'est battu seulement pour contrer l'agresseur, et après avoir reçu ses ordres divins : [2:190] Vous pouvez vous battre dans la cause de DIEU contre ceux qui vous attaquent, mais n'attaquent pas. DIEU n'aime pas les agresseurs.

B. Guerre pour cause divine :
La lutte pour cause de Dieu se résume dans ces paroles du Coran : [2:244] Vous vous battrez dans la cause de DIEU et saurez que DIEU est l'Auditeur, il sait tout. [22:78] Vous lutterez pour la cause de DIEU pour autant que vous devez lutter pour Sa cause....

La cause de Dieu est la cause de la justice. Chaque combat assurant la liberté de la religion (islamique ) est un combat dans la cause de Dieu; et chaque combat pour chasser l'oppression va permettre de soutenir l'opprimé contre l'oppresseur, soutenir le droit et la justice, et on dira alors que c’est un combat dans la cause de Dieu. Chaque effort fait pour atteindre ou protéger la justice, est ainsi considéré comme étant fait dans la cause de Dieu.

Le Coran exige des partisans qu’ils se battent dans la cause de Dieu, sans aucune intention temporelle. Les versets suivants, envoyés au messager à Médine, disent avec clarté quels sont les buts de la guerre : [4:74-75] Ceux qui se battent aisément dans la cause de DIEU sont ceux qui abandonnent ce monde en faveur de l'au-delà. Qui se bat dans la cause de DIEU,et est ensuite tué, ou atteint la victoire, nous lui accorderons sûrement une grande récompense. Pourquoi ne pas vous battre dans la cause de DIEU quand des hommes faibles, des femmes et des enfants implorent : "notre seigneur, délivrez-nous de cette communauté dont les gens nous oppressent et soyez notre seigneur et Maître."

Une allusion qui montre que , en Islam, la guerre n'est pas pour opprimer ou asservir des gens; mais pour la cause de Dieu et des gens faibles, comme ceux qui à la Mecque avaient été persécutés et opprimés par les athées Mecquois. C'est le devoir de chaque partisan de soutenir les gens comme ceux-ci et de les délivrer de l'oppression, pauvres qui n'ont plus aucun soutien et se tournent ainsi vers Dieu comme leur unique refuge.

Alors Dieu dit : [4:76] Ceux qui croient se battent contre la cause de DIEU, tandis que ceux qui ne croient pas se battent contre la cause de tyrannie. Donc, vous vous battrez contre les alliés du diable; or, le pouvoir du diable est nul.

Le mal signifie la transgression des limites. Ainsi quand on se comporte avec arrogance sur terre, asservissant d'autres, les privant de leurs droits, ou d'avoir part dans les richesses du sol, on dit que celui là se bat "dans la cause de Mal". C’est ce que Dieu critique sévèrement et considère comme la devise des athées. Le but du combat dans la cause de Dieu est d'étendre la Loi Divine (qui appelle à la justice et la liberté de la religion islamique) dans le monde sans qu’il y ait là quelconque intention égoïste ou arrogance terrestre, comme Dieu veut que cela soit : [28:83] Nous réservons le domicile de l'au-delà pour ceux qui ne cherchent pas d'exaltation sur la terre, ni de corruption. La victoire suprême appartient au juste.

Dans ce but, Mohammed a envoyé ses délégués à huit dirigeants voisins avec des messages les appelant à embrasser l'Islam. L'appel a été rejeté. Certains d'entre eux ont même tué les délégués et certains ont déchiré le message et ont menacé les délégués qui l'avaient apporté. Les dirigeants de ce temps étaient un obstacle clair pour la liberté des individus et leur droit de vivre dans la justice et choisir de vivre cette religion librement. L'Islam était une avancée civilisée et les despotes de l’époque étaient une barrière claire à cette avancée religieuse. L'Islam a donc déclaré la guerre contre une forme désuète de direction tyrannique. Si l'Islam a employé la force, ce fut donc uniquement pour mettre en oeuvre la justice qui a abouti aux civilisations fascinantes que nous avons pu admirer en chaque pays où l'Islam a pu pénétrer.

Dans son livre "Esquisse de l'Historie Universelle," le docteur Najib Armanazi explique, "Quand les Arabes ont préparé le combat contre les Perses et les Romains, ceux-ci étaient enfermés dans une oppression et tyrannie qui exterminait leurs citoyens, infligeait des fardeaux injustes et tuait leurs sentiments patriotiques.... Mazdaisme et Christianisme .. se sont divisés en diverses écoles qui ont produit hostilité et haine et induit la souffrance des uns contre les autres.... Ainsi l'Islam n'a fait face à aucune résistance populaire pendant son extension... Les Arabes étaient certainement plus véridiques, juste et charitables."


La Capitation (Jizya)

Le Jizya ou la capitation sont un impôt personnel saisi sur les non-musulmans dans un État Musulman et comme tel il ressemble au Zakat (l'Impôt d'Aumône) qui est prélevé sur des citoyens Musulmans par l'État Musulman. La capitation est prélevée pour que tous les citoyens non-musulmans capables puissent contribuer, chacun pour sa part, au bien-être général de l'État et qu'en échange de cela, ils peuvent user de leurs droits comme ressortissants de cet État.

Le courage et la pitié ne sont pas oubliés ici, comme la capitation n'est pas exigée du faible et du pauvre. Dans son message aux gens de Hira, Khaled Ibn Al-Walid dit, "Quand une personne est trop vieille pour travailler ou subit un handicap, ou quand il tombe dans la pauvreté, il est libre du dû de l'impôt de traction; le Trésor public Musulman pourvoit à sa nourriture." Dans son livre "Al-Kharaj", Abu Yusuf dit, "n'est dû aucun Jizya sur des femmes ou de jeunes enfants en bas âge."

Quand le dû de la capitation est payé par ces gens, ils doivent être soutenus, protégés, accordé à une liberté de foi et traités par la justice à égalité avec des Musulmans. Ils sont appelés "Zimmis" (l'origine arabe, "Zimma", signifiant sécurité, protection et garde) parce que Dieu garantit à ces derniers leurs droits . Dans son livre "Futooh Al-Buldan" (Conquêtes des Pays), en ses commentaires Al-Balathiri sur cette énonciation, "Khaled Ibn Al-Walid, entrant à Damas comme conquérant, a offert une garantie de sécurité à ces gens et à leurs propriétés et églises et a promis que le mur de la ville ne serait pas démoli et aucune de leurs maisons démolie. C'était une garantie de Dieu, à condition qu'ils payent leur part du Jizya."

La capitation est une petite somme d'argent en effet comparée aux services que l'état Musulman offre pour protéger les Zimmis et soutenir l'armée responsable pour protéger leurs biens contre divers assauts éventuels. Dans son livre "Al-Kharaj", Abu Yusuf donne les rapports suivants : " Après une période de prospérité et de relations de paix en Syrie, où s’était organisé le rassemblement du Jizya et le Kharaj, des nouvelles ont un jour atteint Abu ' Ubeida qui apprit que les Byzantins avaient amassé leurs troupes pour l'attaquer. L'émotion fut grande sur Abu ' Ubeida et les Musulmans. Il envoya donc des messages aux dirigeants de ses villes avec qui il avait fait la paix, leur demandant de rendre systématiquement à leurs sujets toute somme payée au titre de la Jizya et du Kharaj, avec instruction de dire ceci : ' nous vous rendons par la présente l'argent vous nous avez payé, à cause des nouvelles qui nous arrivent de l’agression des troupes ennemies amassées pour nous attaquer, mais, si Dieu nous accorde la victoire contre l'ennemi, nous maintiendrons notre engagement de vous garder en sécurité selon l’accord établi entre nous. ' Quand les Zimmis ont ainsi vu leur argent revenir à eux pour cette raison, ils dirent aux Musulmans : Dieu puisse vous rendre à nous et vous accorder la victoire sur eux! "

Dans son livre, "l'Esprit des Lois," à propos des impôts prélevés par le gouvernement, Montesqieu dit, "de tels impôts prélevés étaient une raison de la facilité étrange que les musulmans accordaient à leurs populations envahies . Les gens, alors, ont préféré - au lieu d'être soumis à une série infinie d’amendes qui pouvaient être inventées au gré de l’imagination de tyrans avides – se soumettre au paiement de cet impôt minimal qui leur assurait le bien-être."


Accords dans Islam

Dans beaucoup de versets Coraniques, on exige des Musulmans qu’ils respectent les accords qui ont été signés : [17:34] Vous accomplirez vos accords, car un accord est une grande responsabilité.

Dans la description des qualités de partisans véridiques, Dieu dit que : [23:8] Quant aux dépôts qui leur ont été confiés, aussi bien que pour les traités qu’ils ont signés , ils sont dignes de confiance.

Dans la vision du Coran, trahir la confiance ressemble à un rejet d’une vertu d'humanité : [8:55-56] les plus mauvaises créatures dans la vue de DIEU sont ceux qui n'ont pas cru; ils ne peuvent pas croire. Vous faites des traités avec eux, mais ils violent leurs accords chaque fois; ils ne sont pas justes

En honorant des accords avec ses partenaires, l'Islam n'a pas d’autre intention que d’établir la paix : [16:91-92] Vous accomplirez votre accord avec DIEU quand vous faites un tel accord. Vous ne violerez pas les serments après le serment (par Dieu) pour les respecter, car vous avez fait de DIEU un garant pour vous. DIEU sait tout ce que vous faites. Ne ressemblez pas au crage qui démêle son tricot dans des piles de débris cassés. C'est votre exemple si vous abusez des serments pour profiter l'un de l'autre. Si un groupe est plus grand que l'autre, DIEU vous met ainsi à l'épreuve. Il vous montrera sûrement le Jour de Résurrection tout ce que vous aviez discuté.

Le Coran charge des Musulmans de respecter leurs accords, même s'il pourrait les empêcher de se précipiter au secours de leurs frères qui vivent dans un État non-musulman et avec qui ils ont un traité d'alliance mutuelle. Quoiqu' aussi le Coran considère que les musulmans, malgré leurs races différentes et nationalités diverses, constituent une unique Nation et que chaque agression infligée sur une communauté musulmane puisse être considérée entoute justice comme une agression contre votre nation propre. Dieu dit en effet : [8:72]..... Cependant, s'ils ont besoin de votre aide, comme des frères dans la foi, vous les aiderez, sauf contre les gens avec qui vous avez signé un traité de paix. DIEU est le Voyant de tout ce que vous faites.

Cependant, si de tels gens violent les termes du traité, on permet aux musulmans de se battre contre eux : [9:12] s'ils violent leurs serments après l'engagement de tenir leurs accords et attaquent votre religion, vous pouvez engager le combat contre les chefs du paganisme - vous n'êtes plus liés par votre accord avec eux - .

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